Depuis lundi 13 février 2023, au Royaume-Uni, les personnes de moins de 50 ans qui ne présentent pas de comorbidités ne sont plus autorisées à recevoir un rappel vaccinal saisonnier dans le cadre de la campagne de vaccination anti-Covid-19 du gouvernement.
- Les mises en garde du Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI)
En novembre 2021, l’organe consultatif du gouvernement britannique (JCVI) avait conseillé des rappels pour les adultes en bonne santé âgés de 40 à 49 ans en raison de l’épidémiologie du moment. Avec l’émergence du variant Omicron, fin novembre 2021, puis des sous-variants d’Omicron, l’offre avait été étendue aux individus en bonne santé âgés de 16 à 39 ans dans le cadre d’une réponse d’urgence.
Néanmoins, malgré un taux d’incidence en forte hausse à cette époque et les recommandations gouvernementales d’effectuer ce rappel, les Britanniques jeunes n’ont pas été nombreux à suivre les conseils des autorités sanitaires.
En effet, à l’automne dernier, le JCVI avait informé le gouvernement du taux extrêmement bas des personnes de moins de 50 ans qui choisissaient de faire le rappel, soit moins de 0,1 % par semaine depuis avril 2022. Par conséquent, cette offre n’a eu qu’un impact très limité sur la couverture vaccinale.
Cette décision de mettre fin au rappel vaccinal pour les moins de 50 ans qui ne présentent pas de problèmes de santé connus intervient suite aux mises en garde de l’organe consultatif du gouvernement britannique (JCVI) et dans un contexte de surmortalité dont toutes les causes soient loins d’être élucidées.
- Surmortalité au Royaume-Uni : quelles en sont les causes ?
En 2022, plus de 650 000 décès ont été enregistrés au Royaume-Uni, soit un excès de mortalité de 9% . Si le Covid continue de tuer, il ne serait responsable que de 38 000 décès en 2022, contre plus de 95 000 en 2020. Par conséquent, on est en droit de s’interroger sur l’origine des 57 000 décès qui sont le principal facteur de cet excédent.
Si la débâcle au niveau de l’organisation des soins est souvent évoquée, notamment les retards de prise en charge des patients aux urgences, des voix nouvelles s’élèvent pour évoquer le problème des effets secondaires des injections vaccinales.
Uk: La députée McVey interroge la secrétaire d’État Caulfield au Parlement sur les causes de la récente hausse significative de la surmortalité.
« Ce n’est pas grave, le phénomène se produit également dans de nombreux autres pays européens ! »
Dormez tout va bien. pic.twitter.com/wFSJCUXSAM
— Loridan Erik (@ErikLoridan) January 26, 2023
Le 13 janvier 2023, Aseem Malhotra, cardiologue à la clinique privée ROC à Londres, invité sur la BBC pour parler des statines, a profité de son passage dans le média pour déclarer que les vaccins anti-Covid-19 à ARN messager comportent un risque cardiovasculaire, ajoutant qu’il avait demandé la suspension de la vaccination en population générale en raison de l’incertitude devant l’excès de mortalité. Il avait, entre autres choses, rappelé les chiffres de la British Heart Foundation (BHF) qui annonçait qu’il y avait plus de 30 000 morts supplémentaires liées aux maladies cardiaques.
En plein direct sur un media grand public au Royaume-Uni, BBC News : Le Dr Aseem Malhotra, cardiologue, affirme que le 💉à ARNm covid est probablement un facteur contribuant à l’excès de décès cardiovasculaires et que son déploiement devrait être suspendu en attendant une enquête pic.twitter.com/cQKavfm0Tu
— Aliyah⚜️ (@Aliyah01150546) January 18, 2023
Quoique l’on pense de la politique de vaccination du Royaume-Uni, on peut néanmoins noter que peu de pays ont pratiqué une politique aussi transparente. En effet, il est un des rares à avoir transmis ses résultats après avoir recensé les pourcentages de cas de Covid-19, d’hospitalisation ou de décès par rapport au statut vaccinal.
Pourcentage de cas, d’hospitalisation et de décès par statut vaccinal au moment de la propagation du variant Omicron puis des sous-variants de cette souche de virus.
Une politique vaccinale se construit en même temps sur la recherche d’un bénéfice individuel pour la personne vaccinée qui doit obtenir une protection par le vaccin et sur un bénéfice collectif à long terme.
Or, de nombreuses études scientifiques ont montré qu’il ne peut exister de bénéfice collectif puisque le vaccin n’empêche pas la propagation du virus et que la population jeune n’est que peu affectée par les formes sévères du Sars-CoV-2.
Depuis quelques mois, cet encouragement à la vaccination de la part des autorités sanitaires ne rencontrait plus aucun écho au sein de la population encore jeune. Par ailleurs, la persévérance dans cette dynamique vaccinale apparaissait de plus en plus déconnectée avec la réalité épidémique. Par conséquent, cette décision de mettre fin au rappel vaccinal pour les moins de 50 ans qui ne présentent pas de comorbidités vient à point nommé.
FRANCE SOIR
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Le graphique est éloquent, mais c’est en GB.
Aurons-nous droit un jour à une étude non trafiquée ?
Tant qu’on aura un véreux à la tête du ministère, on continuera à empoisonner en France.
Oui les courbes parlent ,encore faut’il les voir dans son cerveau ,je les aies mises sous le nez d’un ami et il a continué a croire au vaccin ,donc la l’on a affaire a une religion crée par Pasteur le plus grand empoisonneur de toute l’humanité !Il a fait un vaccin contre la rage alors que les humains n’attrapaient pas la rage !Mais bon vacciner toute une population cela rapporte beaucoup plus que la soigner!Pour faire du dollar tout est bon !!!!
Mon opinion est totalement opposée à la vôtre. La rage était la hantise des campagnards jadis et lorsqu’un malheureux était enragé, il fallait le tuer pour qu’il ne communique pas sa maladie aux autres. C’était dramatique. Et lorsque personne n’avait le courage de tuer le voisin enragé; il était enfermé dans un local où il criait sa misère et sa souffrance en cassant tout ce qu’il pouvait (d’où l’expression: être enragé). Le vaccin contre la rage a été efficace, c’est incontestable.
On peut aussi évoquer la poliomyélite qui n’existe plus guère grâce à la vaccination alors que dans mon enfance il y a trois quarts de siècle, c’était un très grand mal.
Complément: Il y a un demi-siècle, lorsque j’habitais au Maroc, la rage existait encore et faisait des dégâts. Mon médecin m’avait cité le cas d’un homme mordu au talon par un petit chien caché sous sa voiture. Pas de traitement préventif … l’homme a eu la rage et en est mort.
Donc si jais bien compris ils continent à tuer les plus de 50 ans.
Tant mieux pour les Rosbeef,! Là ils ont compris que le vaccin contre le Covid 19 ne protège pas et ne guérit pas de la maladie et le fait d’arrêter la vaccination des personnes âgés de moins de 50 ans à savoir les jeunes est une très bonne chose. Au moins les Rosbeef ont un cerveau.