L’augmentation de l’électricité c’est pas aussi pour désertifier nos villages ?

Au point où on en est, il n’y a pas de mal à poser la question.
Parce que, au point où on en est, tout est possible. TOUT.

On sait que l’augmentation de l’électricité est voulue, que les salopards qui ont obtenu la fermeture de nos réacteurs nucléaires n’étaient pas des enfants du Bon Dieu mais des salopards travaillant (parfois à l’insu de leur plein gré) pour les multinationales construisant des éoliennes, pour d’autres salopards comme Macron désireux de nous réduire à quia par l’augmentation des prix et par l’endettement maximal de la France…

Mais il ne faudrait pas oublier le rôle de l’immigration dans les grands projets de nos pseudo-élites, ceux qui se targuent de détenir la vérité, rien que a vérité, décidés à l’imposer à la schlague.

https://resistancerepublicaine.com/2023/01/26/a-davos-un-commissaire-europeen-nous-savons-ce-qui-est-bien-vous-devez-obeir/

Il fallait que nous fissions moins d’enfants, que nous fussions découragés d’en faire, d’où la réduction des primes, avantages… et notamment certaines allocations familiales dépendant du revenu  pendant que la vie augmentait  et notamment les loyers, la cantine, l’essence… qu’ils continuent et avec eux gaz et électricité.

Il fallait que nous fussions découragés de faire des enfants dans un monde où l’école ne fait plus son boulot, où l’insécurité règne, où l’on doit vacciner à tour de bras des enfants et même des bébés…

Et tout cela mis bout à bout permet aux mondialistes de vous dire que l’immigration est indispensable pour repeupler les villages et de justifier dans la foulée ce qu’ils appellent le remplacement démographique.

Le concept est simple comme bonjour. Toute la France en a entendu parler avec l’exemple de Callac…

On n’oubliera pas de relever toutes ces coïncidences que sont la crise Covid, la guerre en Ukraine orchestrée par les USA et l’UE…

Y a-t-il vraiment un hasard quand on ajoute à tout cela l’horreur des prix de l’électricité et du gaz qui obligent nombre d’artisans et de grandes entreprises FRANÇAISES évidemment à fermer boutique comme dans l’exemple ci-dessous ?

Greneville-en-Beauce (45) : la boulangerie du village a fermé après 80 ans d’activité, la facture d’électricité était devenue trop salée ; Privés de pain et surtout privés de liens, les habitants sont désemparés. “Il n’y a plus rien”

La boulangerie de Kévin et Soline a fermé il y a trois mois. Comme pour tant d’autres en France, la facture d’électricité était devenue trop salée. Privés de pain et surtout privés de liens, les Grénevillois se débrouillent tant bien que mal.

L’église se dresse sur une place aux maisons sages. En face, la mairie, l’école… Un village français. « Dépêchez-vous, n’oubliez pas vos sacs ! » C’est un matin particulièrement animé à Greneville-en-Beauce, commune de 700 habitants du Loiret, à 10 km de Pithiviers. Le silence se rompt, une marée de petits écoliers monte dans le car affrété par la mairie, qui les emmènera à 5 km de là, à Outarville, pour une exposition scientifique. L’école, c’est la dernière fierté du village. Un regroupement pédagogique intercommunal de six classes, de la maternelle au CM2.

Il y a trois mois encore, il y en avait une autre : la boulangerie tenue par Kévin et Soline. Mais elle a fermé. Après quatre-vingts ans d’activité, le tribunal judiciaire d’Orléans a prononcé, le 19 octobre 2022, la liquidation de l’avant-dernier commerce de Greneville-en-Beauce. Ne reste plus qu’un caviste… Comme tant d’histoires similaires rapportées par les canards locaux, la facture d’électricité était devenue intenable : 4 000 € à la fin de 2022, contre 800, quinze ans plus tôt. Greneville rejoint désormais les tristes rangs des 84 % de communes de moins de 1 000 habitants dépourvues d’une boulangerie. Le car repart, l’agitation prend fin. Retour à la normalité, ou plutôt à la morosité. Pas un bruit, mais toujours ce vent brassé par les immenses éoliennes. À une exception près : deux mamans causent au loin sur le parking désert de la place centrale. Autrefois, c’était à la boulangerie. « On s’y croisait entre mamans, voisins, ça nous permettait de papoter un peu », se souvient Solène, la mine déconfite.

Cette Grénevilloise de toujours exprime le sentiment général : « Avant, c’était animé. Maintenant, il n’y a plus personne », souffle-t-elle. Même le souvenir du klaxon (très) matinal du meunier lui laisse un souvenir ému : « Au moins, il y avait de la vie. Maintenant, il n’y a plus rien. » Plus de pain, plus de liens. La boulangerie était le principal liant de la communauté, d’autant qu’elle était devenue par la force des choses bien plus qu’un simple commerce de pains. Depuis que le bar d’en face a plié boutique, il y a cinq ans, elle faisait office de lieu de restauration. Le plus terrible, c’est pour les anciens, s’attriste-t-on dans les rues de la commune. « Aller chercher le pain, c’était leur seule sortie, explique Solène. On voyait le va-et-vient des habitués. Celui qui avait son vélo, celui qui calait tout le temps, celui qui avait l’embrayage qui couinait. » Maintenant, ils ne sortent plus. Alors « on se débrouille comme on peut », témoigne-t-on. Pour pallier la fermeture, un système de solidarité spontané a vu le jour : on se relaie pour aller leur chercher du pain au supermarché, quand ce n’est pas la communauté de communes qui assure le service de livraison de repas, pain industriel inclus.

(…) Alors le maire, Jean-Louis Brisson, 62 ans, couvreur de métier, essaye tant bien que mal de préserver sa commune natale. Témoin de la désertification, il se souvient avec nostalgie de la ville de son enfance. « Il y avait la boucherie, l’épicerie, le restaurant, un vétérinaire, et, bien sûr, la boulangerie. Aujourd’hui, il ne reste rien de tout ça. Et les services de l’État ont disparu. » Alors, quand la boulangerie a mis la clé sous la porte, cela a été un coup de massue. Comme l’aboutissement d’un processus si commun qui frappe les campagnes. « Le local appartient à la mairie, donc on ne leur a pas fait payer les derniers loyers. Mais ça n’a pas suffi. »

(…) Marianne

https://www.europe-israel.org/2023/01/greneville-en-beauce-45-la-boulangerie-du-village-a-ferme-apres-80-ans-dactivite-la-facture-delectricite-etait-devenue-trop-salee-prives-de-pain-et-surtout-prives-de-liens-le/

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7 Commentaires

  1. L’alimentation de base du Français va venir à manquer. Le pain, celui qui a fait éclater la Révolution de 1789, et on n’aura pas plus de brioche.
    Un coup du sale petit taré de l’Elysée.
    Les boulangers ont tiré la sonnette d’alarme depuis au moins deux mois, mais le petit Môssieur de l’Elysée, c’est qu’il est têtu, il est obtus, avec son ministre le ballot Lemaire qui a voulu ruiner la Russie.
    Ils ont échafaudé des mesurettes, très compliquées , comme tout ce qui sort de la tête d’un énarque qui adore l’administratif et les papelards. Des dossiers à remplir, des papiiirs à envoyer, etc…des autorisations de report…
    Mais voilà, les rideaux des boulangeries se baissent , les uns après les autres.
    Les vrais boulangers, ceux qui faisaient du bon pain, du vrai pain, sont en train de disparaître.

  2. Dès les premiers beaux jours, vous pourriez organiser, de temps en temps un apéro saucisson pinard sur la place et le mercredi le goûter pour les enfants et mamans/papa.
    Courage à tous les Grenevillois.

  3. Sans pain, je n’ai jamais connu ça. Nous voici revenu au «bon temps» où le peuple manquait de pain, sous l’ancien régime, ou quelques périodes comme le siège de Paris ou l’occupation par exemple. À cette époque, c’était les crises frumentaires, ou les guerres; de nos jours ce sont les factures d’électricité. Macron, en cinq années, nous a ramené à ces périodes «bénies». Prochaine étape, les hôpitaux opèreront-ils à la lueur de la bougie? Ou les feux tricolores de la circulation fonctionneront ils à l’alcool à brûler?

  4. Cette crise économique et énergétique risque de contribuer à la désertification des villages voir à la mort de la ruralité ce qui est criminel en soi.

    • Non, pas la mort des villages puisqu’ils y mettront les nouveaux venus et gratuitement !

  5. Le clown psychopathe l’a bien dit qu’il allait emmerder les français, ben voilà, il a tenu parole. Et c’est pas fini, c’est enfoiré mijote encore quelques coups tordus, j’en suis sur.

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