11 Commentaires

  1. Terrible témoignage sur la façon dont le gouvernement a abandonné complètement les Français.
    Tant que tu es dans la merde, démerde-toi !
    Dès que tu as la tête sortie, les impôts te tombent dessus.
    Tu te demandes à ce moment là, mais que deviennent mes impôts s’ils ne servent pas à des gens qui ont besoin d’un coup de pouce ???
    En ce moment où vont les énormes bénéfices sur les factures d’énergie ?

  2. Ayant travaillé dans le secteur social plus de 30 ans, environ 30% des gens qui sont au RSA s’en sortent plus ou moins bien; toutefois on n’a pas encore les chiffres de ceux qui décrochent une fois qu’ils sont hors de l’eau. Il est certain que plus on est resté dans la rue plus la réinsertion devient compliquée. Quelques uns gagnent assez bien leur vie en faisant la manche en espérant pour eux qu’ils mettent un peu de côté pour leurs vieux jours.
    D’une manière générale la pauvreté broie un être humain et un SDF qui arrive à s’en sortir reste malgré tout marqué à vie après à une telle épreuve.

  3. Ne dites pas qu’il est heureux s’il vous plaît, c’est aller dans le sens de Klaus Schwab et du NOM : “VOUS NE POSSEDEREZ PLUS RIEN, MAIS VOUS SEREZ HEUREUX”.

  4. Ce monsieur dit lui même que c’est son choix malgré la rancœur qu’il éprouve a l’égard de la société , si ce monsieur ne touche pas de RSA ou AUTRE j’ai le plus profond respect pour lui car ceux qui donnent n’y sont pas obligés . Il a pas l’air malheureux .

  5. Par contre, au supermarché, des Français mendient pour se bourrer la gueule ensuite à la grosse bière de compétition. Il y a quinze jours, l’un d’eux était dans le coma éthylique. Une jeune fille de dix-huit ans, pas plus, française de souche, dormait dehors, enroulée dans un poncho. Et des momos en tenues musulmanes, le caddie remplie de bouffe, passaient devant, indifférents. Pauvre France, tu es tombée bien bas!

    • C’est terrible bien souvent le RSA ou l’AHH sert aux éventuelles et courantes addictions quand il y a, jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus.

      Des aides il y en a plus qu’il n’en faut, RSA, CMU, structures d’accueil et d’aides même pléthoriques (y compris pour les jeunes qui ont des allocations qui ne les aident pas à avancer le plus souvent) mais il faut que la personne le veuille.

      Ce n’est pas “aider” mais encourager voire enfoncer les gens dans leurs problématiques. Les aides oui, c’est souhaitable quand on a un accident de la vie (mais tout le monde n’est pas aidé croyez-moi justement) mais pas ad vitam aeternam et il faut responsabiliser aussi.

      De plus certaines personnes qui devraient être aidées ponctuellement ne le sont pas car elles travaillent et ont ou ont eu des revenus ou leur profil n’intéresse pas (pas l’air “démuni”).

      Je n’ai jamais pu avoir un rendez-vous en dentaire au CHU car les SDF étaient prioritaires (ils ont la CMU) y compris pour les IRM où souvent ils ne se rendaient pas au rendez-vous (j’ai mis 3 mois avec une fracture de la colonne suite accident à avoir un rendez-vous, les Dieux étaient avec moi…).

      • @ Amèlie poulain , je suis d’accord avec vous quand vous dites que l’on doit aider l’accidenté de la vie mais pas indéfiniment , j’ai un exemple , une voisine alcoolique de 49 ans qui ne travaille plus depuis des années ( je sais pas si un jour elle a travaillé d’ailleurs ) , elle a une fille placée un organisme gère ça elle ne paie pas de loyer c’est pris en charge et elle touche une pension ” d’invalidité ” et elle est au 100% sécu bref elle nous coute une blinde . Quand je lui ai dit qu’il fallait taper du pied et remonter elle m’a répondu ” ah ! mais je peux pas moi j’ai une addiction a l’alcool ” , et ouais continue a picoler et nous on paye !!!

        • Oui @palimola, et il y en a des tas comme cela, aucun scrupule de se faire entretenir (certains n’ont jamais travaillé de leur vie, je confirme, le comble ils ont une retraite au bout du compte et un logement à disposition – souvent prioritaires – contrairement à ce qu’imaginent certains).

          En plus, aide-t-on quelqu’un qui est pris dans une addiction dans ces conditions ?

      • Il y a quelques années déjà, vivant une période de basses eaux, j’avais sollicité une aide dont je ne me souviens plus le nom. Bon, c’était des biftons qui tombaient dans la main, sans rien faire d’autre que de la tendre… je me souviens encore de la tête de la bonne femme, de nombreux mois après quand je suis venu demander que l’on arrète de me donner cette aide, car j’avais maintenant de l’eau sous mon canot, je pouvais me remettre à ramer. Non non je ne le lui ai pas dit comme ça, mais c’était bien ce qui se passait. Je pouvais reprendre possession de moi même ! Me remettre à avancer à mon propre rythme. La tête de la bonne femme !
        -Vous êtes bien le premier. Et le seul !
        -Peu importe. C’était ça le contrat, non ?
        -Oui, en principe, c’était ça !
        Je ne me suis ni éternisé, ni attardé, j’ai signé un papier et suis reparti vers ma barque et ma godille. Pas belle la vie ?

        • Oui Paco, c’est comme cela que je conçois une aide, soutien qui devrait être accordé à tout le monde en cas de coup dur dont personne ne peut se penser un jour exclu, c’est tout à votre honneur.

          Moi même je ne suis pas satisfaite par cet argent donné même si c’est à mon bénéfice (énergie, etc…) car je pense à ceux qui vont alimenter les caisses et qui n’en ont aucun retour (ils paient tout).

          Je trouve cela injuste (notamment par ex la cantine pour les usagers, il faut voir ce que paient certaines familles à la place d’autres qui ne font rien et qui ont tout ad vitam aeternam sans rien donner de leur personne, j’ai mal pour eux).

          Les charges sociales sur les salaires, CSG, TVA et compagnie… sont un effet de cet assistanat qui ruine la France (avec les distributions iniques et injustifiées à l’Etranger).

          On arrive au n’importe quoi qui n’aide personne finalement (bien des problèmes psychiatriques sont les conséquences d’un assistanat destructeur, c’est une réalité).

  6. J’ai regarder la vidéo moi ce que je pense voila la société a quoi elle peut pousser les gens quand on les aides pas il est encore plus heureux que moi je ferai surement pareil mais moi j’ai Ines je n’ai pas le droit de lui imposer cette situation

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