Ukraine « libérée » : silence, on assassine !

Où sont passés les merdias occidentaux, et tout particulièrement français, parmi les plus abjects de tous, car tenus en laisse par le psychopathe Macronescu ? Quand les reîtres de Kiev assassinent leur propre peuple.

Médias stipendiés, orientés, partisans, aveugles et sourds

Leurs prétendus « journalistes » ont répercuté, sans la moindre vérification, toutes les accusations de génocides et d’atrocités proférées par le Zygomyr, accablant les Russes lors de mises en scène aussi sordides que peu crédibles.

Mais maintenant qu’on invite les journaleux à venir voir la pagaille qui règne dans les « zones libérées » avec son cortège de dénonciations anonymes, de règlements de comptes, de pillages et d’exécutions sommaires… Ça n’intéresse plus grand monde !

Pas plus que les monastères investis par le SBU (la gestapo du Zygomyr) dont la laure des Grottes de Kiev, construite au XIe siècle et inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco. Les comparses du bouffon de la téléréalité, aussi rustres et incultes que lui, y seraient à la recherche d’armes et d’explosifs.

L’objectif n’est pas tant d’en trouver d’ailleurs, à part celles que les sbires ukronazis auraient pu y apporter, que de profiter de l’occasion pour intimider et molester les moines auxquels on reproche des affinités avec le patriarcat orthodoxe de Moscou.

Bien que l’église ukrainienne soit autonome depuis 2019, et ait été contrainte en mai dernier de couper tous ses liens avec la Russie, on suspecte ces hommes d’église d’être des espions et des terroristes. Sans preuves. Sans le moindre indice. Mais là, comme pour tout le reste, la parole du mythomane Zygomyr face-de-rat suffit à établir une « vérité » irréfragable.

Ce genre d’action n’est pas nouveau. Depuis 2014, au Donbass mais aussi dans le reste de l’Ukraine, les mafieux de Kiev s’acharnent contre les religieux dont ils craignent l’influence sur une population croyante. Laquelle n’a pas oublié que l’église orthodoxe les a protégés, dans la mesure de ses moyens, contre les purges de Staline, les crimes des nazis germaniques et les exactions des waffen SS de Stepan Bandera. Que le Zygomyr a élevé au rang de « héros de l’Ukraine »

Entre Clochemerle et la gestapo

C’est l’image qui vient immédiatement à l’esprit quand on écoute ou visionne les témoignages de certains « heureux libérés. »

Clochemerle était un folklorique village de fiction servant de révélateur aux turpitudes de la société française dans l’entre deux guerres. Sous une forme humoristique dans un roman. Mais ces turpitudes n’allaient pas tarder à faire la réalité du quotidien, amplifiées par l’occupation nazie.

En 1934, l’auteur Gabriel Chevallier ne pouvait pas deviner que les vieilles haines recuites des campagnards, leurs amours déçues, leurs amitiés trahies, leurs conflits de voisinage, leurs frustrations sexuelles, leurs oppositions politiques et religieuses, traduites en querelles burlesques… aboutiraient sous la précédente occupation de la France à des débordements collectifs.

Les plus pervers, comptaient sur la milice, puis sur les Résistants, qu’importe l’arme utilisée, pour liquider à leur place les gens qu’ils n’aimaient pas. Avec des dénonciations anonymes d’autant plus faciles à étayer en brodant un peu que, dans un village, tout le monde sait à peu près tout sur tout le monde.

L’humain étant le même partout, on retrouve ces mêmes comportements criminels chez certains « libérés » par les armées de l’OTAN.

Les représailles ont déjà commencé

Avec l’aide des corbeaux, des envieux, des hargneux et atrabilaires de tout poil. Et aussi de ceux qui n’ont jamais aimé les Russes. Ils disent « les communistes». On a du oublier de leur signaler que depuis 1990, la Russie avait changé.

Il n’est pas évident de faire parler les anti et les pro Russes. Car les russophones et russophiles craignent d’être à nouveau victimes des sanglantes représailles de leurs « sauveteurs ». Ainsi des personnes accusées d’avoir accueilli les Russes avec trop d’enthousiasme ont été passées par les armes, sans autre forme de procès. Idem pour des commerçants qui les ont servis. Un boulanger a été noyé dans un ruisseau et son corps exhibé sur la place du village pour l’exemple.

Tandis que prudents (les Russes pourraient revenir, on dit que les « Wagner » ne seraient pas loin), les admirateurs du Zygomyr font profil bas. Laissant à des bravaches un peu simples d’esprit le soin de vociférer en leur nom.

Plus professionnels que leurs confrères français, des reporters allemands et espagnols, ont accepté de se rendre sur le terrain.

Faute d’avoir accès aux médias mainstream sous la coupe de la mondocrature, ils publient sur le web des témoignages glaçants.

Ainsi dans le village de Kyselivka, à 10 kilomètres de Kherson où le Zygomyr et sa bande de bateleurs avaient monté fin avril tout un scénario supposé démontrer des dissensions au sein de l’armée russe. Des Tchétchènes et des Bouriates se seraient entre-tués pour le partage du butin. En fait c’était une échauffourée pour l’ordre de passage sur des putains.

D’ailleurs quel butin dans un pauvre village rural dont la seule richesse était le bordel du coin, fort apprécié des officiers ukrainiens, avant l’arrivée des Russes.

Les médias du NWO, les Français en tête, se sont goulûment précipités sur cette histoire abracadabrantesque sans en vérifier les tenants et les aboutissants. Du moment que le Zygomyr la certifiait authentique, ce ne pouvait être que vrai.

Après la reprise du village par les ukronazis et leurs supplétifs mercenaires, l’histoire a continué de façon beaucoup moins folklorique. Des villageois s’invectivent, se dénoncent, règlent des comptes d’avant la guerre, certains livrent leurs voisins aux soudards de Kiev. D’autres leur apportent un cadavre sur une charrette, espérant une prime pour avoir liquidé un traître.

Quant aux villageoises peu farouches qui ont eu des bontés pour les soldats russes, on ne se contente pas de les tondre. Celles qui n’ont pas réussi à s’échapper sont battues à mort, os brisés à coups de barres de fer. Ou accrochées aux pare-chocs de voitures roulant à pleine vitesse.

Mais malgré des images accablantes, comme pour les prisonniers de guerre russes froidement assassinés, le Zygomyr et son gang nient tout en bloc. Et personne n’ose les contredire, puisqu’ils incarnent « le camp du bien ».

Pendant ce temps les blaireaux-barjots-salauds de la presse internationale, et surtout française, participent à des visites guidées de garages et d’entrepôts à Kherson, anciens dispensaires ou lieux de détention de saboteurs et de pillards, promus « salles de tortures » par la magie du verbe du Zygomyr.

Les mêmes scénarios se reproduisent dans les zones dites « libérées » à la lisière du Donbass.

Autour de la ville de Kharkov, où des dizaines de villages et de hameaux non défendus ont été « repris » constituant de grandes victoires selon la rhétorique zygomyresque, rabâchée à l’unisson par nos merdias, les Ukronazis se sont lancés dans des opérations de nettoyages ethniques et politiques. Quiconque n’est pas avec eux est contre eux et ne mérite pas de vivre. Quiconque parle russe est un ennemi ou un espion et ne mérite pas de vivre.

Idem à Izioum, perdue puis en partie reprise. Ayant l’assurance d’avoir les mains libres grâce à la cécité et la surdité des Occidentaux, qui les ont armés jusqu’aux dents, les ukronazis ont arrêté des centaines de gens. Des dizaines ont été battus à mort et achevés d’une balle dans la nuque, dans un fossé. Surtout ceux qui avaient quelques objets de valeur suscitant la convoitise de leurs bourreaux. Un remake des crimes commis naguère par les waffen SS de Stepan Bandera.

Dans les secteurs de la ville réputés pro-russes, les sbires de la SBU ont lancé des chasses à l’homme et offert des primes pour toute dénonciation apportant une nouvelle victime sur l’échafaud sanglant des « justiciers ». On a même exécuté des civils qui n’avaient pas arraché assez vite des affiches difficiles à atteindre sans pratiquer la varappe, prônant « Russes pour toujours ».

Les minorités victimes collatérales de la hargne du Zygomyr

Suspectés sans preuves de ne pas être de bons citoyens, des Biélorusses installés en Ukraine depuis des décennies, et des Tatars vivant en dehors de la Crimée depuis des siècles, mais aussi quelques Bulgares et Roumains se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment, sont devenus des cibles faciles, désignées à la vindicte de la populace pour justifier les brimades, brigandages, viols et exactions diverses commises par les reîtres ukronazis.

« Les étrangers dehors ! » est devenu une sorte de leitmotiv

Rabâché ad nauseam sur les ondes officielles. Habile propagande désignant des boucs émissaires comme coupables de la faillite d’un pays dont l’incompétence et des délires du Zygomyr encouragés par l’OTAN sont responsables.

Très étrangement, nos adorateurs de la « diversité » toujours en pointe du combat pour protéger les minorités, et en France pour les favoriser et les valoriser, ferment leurs grandes gueules et préfèrent regarder ailleurs.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/ukraine-liberee-silence-on-assassine.html

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5 Commentaires

  1. le chef de la propagande de l’UE Macron est 1000 fois pire que Joseph Goebbels au moins Goebbels était certes un dictateur mais un dictateur à visage découvert tandis que Macron lui est un véritable dictateur masqué en pseudo-démocrate et en somme un démo-Nazi tout comme l’autre enculé d’Ukronazi Zelensky

  2. Les Gauchos des Médias dominants et leurs fidèles représentants Maryse Burgot , Sophia Haram , BHL , Enthoven, Brice Couturier , les Ukrainiennes de plateau , les généraux de plateau , Ruth Elkrief et cie savent ouvrir leur gueule pour diaboliser la Russie et soutenir les UkroNazis et leurs crimes de guerre mais quand c’est pour dénoncer le gesticulateur Zelenski qui extermine son peuple avec l’aide du SBU les services secrets Ukrainien là ils ferment leur gueule donc ces Gauchos bien-pensant sont des hypocrites !

  3. Tout ceux qui ont fait passer les intérêts des ukrainiens avant ceux des francais doivent être jugés pour haute trahisson.

  4. On entend plus guère BHL au sujet de l’Ukraine. Il attend une autre guerre, quelque part, pour exhiber sa tenue de combat, costard de grand couturier et accessoires de luxe. Le dandy des tranchées, l’Apollon des trous d’obus.

    • Il a disparu des télés, soit il a vu qu’on se moquait de lui et ça lui a été insupportable, soit c’est le vaxxin qui a eu sa peau, mais il préfère ne pas en parler.

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