Thaïlande : les bouddhistes mis en demeure d’étudier le coran !

La Thaïlande, pays magnifique, haut lieu du tourisme international, fut un havre de sérénité. Avant les poseurs de bombes et les égorgeurs. La preuve, une fois de plus, que l’islam est incompatible avec toute autre culture. Il ne comprend que la manière forte. Et méprise les « impies » qui mendient une impossible entente.

Ils sont environ 5 %, on leur a tout cédé, mais ils en veulent encore plus !

Au début du XVIIe siècle, le roi Songtham accepte que Cheykh Ahmad, un riche marchand perse établi au Siam représente officiellement les mahométans à la cour. Ses successeurs finissent par traiter d’égal à égal avec les rois. Business oblige. S’ensuit la création rampante d’un véritable état dans l’État.

Un Conseil national islamique surveille et tance les ministres de l’Intérieur, de l’Éducation, de la Culture et des Affaires religieuses. Et des Conseils provinciaux gèrent les provinces où les mahométans sont incrustés.

L’État Thaï leur a octroyé des aides financières pour une centaine d’écoles coraniques, la construction de dizaines de mosquées et même des subsides pour les pèlerinages à La Mecque ! En outre, pour calmer leurs sempiternelles récriminations, la Thaïlande a adhéré en 1998 à l’organisation de coopération islamique. Pas mal pour un pays bouddhiste à 90 % !

Pourquoi s’arrêter en si bon chemin dans la voie de la soumission ? Maintenant, la minorité islamique exige le port du hijab pour les femmes non musulmanes et l’introduction de la « science coranique » dans les écoles bouddhistes !

Quatre cents ans avant la France, les mahométans ont bénéficié de privilèges exorbitants. Et la Thaïlande a été récompensée de sa générosité par des attentats, des assassinats, des soulèvements, et des tentatives de sécession. Comme partout où les mahométans se croient assez forts pour s’imposer.

Des attaques terroristes coordonnées comme en Inde, en Chine, en Birmanie et au Sri Lanka

En janvier 2004, 2 400 personnes sont assassinées lors de l’embrasement des trois provinces frontalières de la Malaisie, Narathiwat, Yala et Pattani, qui regroupent 3,5 millions d’habitants dont 80 % de mahométans.

En coordonnant 49 attaques en moins de douze heures, les séparatistes islamistes ont rejeté la main tendue par le gouvernement. Ils voulaient prouver que les autorités de Bangkok avaient perdu le contrôle du Sud. Justifiant leurs visées sécessionnistes.

Comme dans tout le Sud-Est asiatique où sévissent ces forcenés, on déplore des bombes dans les écoles, les marchés, et plus généralement dans tous les lieux publics, et des assassinats ciblés de fonctionnaires et de militaires, et des égorgements-décapitations de bonzes.

L’objectif est de faire pression sur les bouddhistes pour qu’ils quittent le Sud où ils sont devenus étrangers dans leur pays.

Et la volonté de conciliation affichée par le gouvernement thaïlandais ne règle rien du tout, puisque pour les mahométans, c’est une preuve de faiblesse. Et donc un encouragement à continuer leurs exactions.

Quelques jours après les attentats, le Premier ministre Surayud Chulanont annonçait l’ouverture de nouveaux pourparlers avec les groupes rebelles.

Bien qu’excluant une sécession géographique, il a accordé aux habitants du Sud le droit d’appliquer la charia. Mais plus intransigeants que jamais, les moudjahidines ont refusé toute entente avec Bangkok et repris leurs attentats.

Le ministre Sunai Phasuk a constaté : « Ils ne se soumettent à aucune autorité, à aucune règle. Ils décapitent les bonzes, frappent à mort les enseignants, agents abhorrés de l’intégration des enfants musulmans par l’État thaïlandais, abattent à bout portant des agriculteurs et des commerçants qui refusent de se convertir. En infiltrant le réseau des écoles coraniques depuis les années 1970, ces bandits ont engendré des monstres ».

Depuis 2004, les attentats n’ont jamais cessé

2009 Malgré le déploiement de 30 000 militaires dans le Sud, la violence se poursuit et la situation continue de se dégrader fortement. À ce moment là, 2 900 personnes ont déjà perdu la vie dans ce conflit.

2010 En juillet, le bilan humain est estimé à 4 100 tués

2011 Un rapport sur le terrorisme relève pour l’année, selon les services officiels, 332 actes terroristes faisant 292 tués, 660 blessés et 16 personnes enlevées.

2012 Le bilan annuel s’établit à 185 attaques, 171 tués et 674 blessés.

2013 En septembre, le bilan total est chiffré à 5 400 tués. Les attaques continuent et s’amplifient alors que des négociations sont en cours en Malaisie.

2014 La diplomatie n’a abouti à rien et le décompte annoncé en mars est de plus de 6 000 morts dont 171 membres du corps enseignant.

2016 En décembre, le bilan atteint 6 800 victimes et la situation politique est bloquée alors que des attaques terroristes ont encore touché en août des sites touristiques, loin du sud du pays, notamment Phuket et Hua Hin,

2021 113 personnes « seulement » sont assassinées, le quadrillage militaire des régions insurgées commence à porter ses fruits.

2022 En août, les pertes humaines sont estimées à 7 300 morts, dont la majorité sont des civils. Les négociations de paix restent enlisées. Les mahométans n’en veulent pas.

De leur côté, les bouddhistes theravāda ont fini par admettre que la quête spirituelle et la tolérance tous azimuts, c’est bien joli, mais ça ne fonctionne pas avec les tueurs psychopathes de la secte du pédo-prophète.

Des révolutions de palais pour régler le sort des insurgés

Le pays est toujours aux prises avec une rébellion armée féroce dans les trois provinces musulmanes du Sud, quand le 20 mai 2014, le général Prayut Chan-o-cha déclare la loi martiale avant de démettre deux jours plus tard le gouvernement en place. Soutenu par le roi de Thaïlande Rama IX, il est élu Premier ministre par l’Assemblée nationale le 21 août 2014.

Le 17 août 2015 dans le centre Est de la capitale thaïlandaise, une bombe artisanale faite de cinq kilos de TNT placée dans un sac à dos explose peu avant 19 heures locales devant le sanctuaire hindouiste d’Erawan, où se pressent de nombreux touristes, en plein centre-ville de Bangkok.

Le site est au carrefour de Ratchaprasong où sont concentrés les grands centres commerciaux et les hôtels 5 étoiles de la capitale. Selon Prawit Wongsuwan, ministre thaïlandais de la défense: « L’attaque s’est produite au cœur du quartier touristique de Bangkok dans l’intention de détruire notre économie.»

Le lendemain de l’attentat, un autre engin explosif est lancé du pont du fleuve Chao Phraya, sur des touristes près de la station de métro aérien Saphan Taksin dans le centre de Bangkok.

Vu la condamnation internationale de ces crimes, les mahométans locaux nient toute implication. Tandis que les « bons croyants » fêtent la « victoire » comme il se doit. Et que les médias collabos de France et de Navarre dénoncent les persécutions dont les mahométans Thaïlandais seraient victimes. L’inversion accusatoire reste leur principal fonds de commerce pour continuer à être arrosés de pétrodollars.

Après avoir évoqué toutes les pistes possibles et imaginables, des rancœurs politiques, des vendettas recuites, des affrontement de gangs et des rivalités économiques, la presse internationale moins pourrie que celle du Francistan désigne clairement les coupables.

La piste islamiste

La population thaïlandaise très majoritairement bouddhiste, avec une petite communauté hindouiste parfaitement intégrée, est confrontée à une insurrection islamiste d’ampleur internationale.

La rébellion, qui n’avait pas encore frappé hors des provinces du Sud, va s’adjoindre les « compétences » de mouvements islamistes du Proche-Orient.

Ainsi le 15 janvier 2009, la police thaïlandaise avait intercepté à Bangkok un certain Hussein Atris, naturalisé Suédois, membre du Hezbollah, et avait perquisitionné son domicile où étaient stockées plus de quatre tonnes de produits chimiques servant à fabriquer des explosifs. Largement de quoi transformer Kao San Road en Beyrouth Ouest.

À ces groupes arabes, on doit ajouter des terroristes du Sud-Est Asiatique. Les insurgés semblent liés également au Front Moro islamique des Philippines et au GAM Mouvement pour un Aceh libre en Indonésie qui voudrait y imposer un islam médiéval, et alterne terrorisme et jeu électoral.

Par ailleurs, la Thaïlande a mené une politique d’expulsion de milliers de musulmans Rohingyas vers le Myanmar où ils ne tenaient pas à retourner après leurs crimes… Tandis que des Ouïghours ont été renvoyés en Chine, où ils risquent d’être condamnés pour leurs exactions.

On comprend donc que ces exilés refusent de quitter leur sanctuaire, et exercent des représailles contre ceux qui veulent les en déloger. À méditer sur les mesures radicales à prendre en France si, un jour, un gouvernement de reconquête parvient au pouvoir.

Le refus manifeste de toute intégration

Malgré la tolérance des bouddhistes envers les adorateurs du pédo-prophète, et les facilités qu’ils leur accordent pour exercer leur culte, ces énergumènes refusent que les écoles coraniques (seuls établissements scolaires à ne pas être incendiés dans les zones frontalières) reprennent une partie du programme de l’Éducation nationale thaïlandaise, tout particulièrement les cours d’histoire et de civisme.

En outre, la minorité islamique qui ne doute vraiment de rien exige le port du hijab pour les femmes non musulmanes et l’introduction des études coraniques dans les écoles bouddhistes !

Par ailleurs, sous couvert de revendications identitaires et religieuses, ils financent comme partout leur activisme par le vol, le trafic de drogues, la prostitution et le racket, et égorgent sans pitié leurs concurrents, même s’ils sont de leur confession et de leur race.

La Thaïlande a refusé de se joindre à la russophobie ambiante

Le 14 octobre 2022, elle a refusé de condamner la Russie à l’ONU.

Grâce aux bonnes relations avec Moscou, ce pays partage des informations avec le FSB russe. Les dernières en date concernaient 10 Syriens liés au califat islamique entrés en Thaïlande en octobre. Quatre d’entre eux s’étaient rendus dans la station balnéaire de Pattaya, deux sur l’île touristique de Phuket, et les autres à Bangkok avec sûrement de très mauvaises intentions. Ils ont été « effacés ». Merci Vladimir !

Pendant la période des fêtes de Noël et du Nouvel An, des touristes russes affluent par charters entiers vers les plages paradisiaques du pays. Et la Russie qui veille à la sécurité de ses citoyens à l’étranger n’a pas envie de revoir des attentats comme ceux de Hua Hin et de Phuket en 2015, quand des bombes avaient explosé près des plages, au milieu des bars et des restaurants, faisant de nombreux morts et blessés parmi les touristes étrangers.

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

https://ripostelaique.com/thailande-les-bouddhistes-mis-en-demeure-detudier-le-coran.html

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11 Commentaires

  1. Ils vont en apprendre des choses : que la terre est plate, que le soleil s’éclaire chaque matin et tombe le soir dans un lac de boue et surtout, oui surtout, qu’il faut égorger les infidèles comme les bouddhistes par exemple !!!

  2. C’est évidemment très grave, et montre que le monde se dirige vers un avenir de fermeture, de repli, de perte de conscience, de régression humaine, et de violence par la résistance d’opposition de ceux qui ne veulent pas de ce monde… Pour les connaisseurs le calendrier Maya a pris fin en 2012, informant la fin de la spiritualité sur Terre et le début du matérialisme, du Dieu Argent et pouvoir, où les humains ne pourront plus évoluer…

  3. L’islam utilise la violence, les assassinats, la terreur.
    Il n’y a pas cinquante mille solutions, il faut agir de même.

  4. Le Grand Remplacement en Thaïlande commence à se faire sentir face à des musulmans du Sud de la Thaïlande qui imposent leur religion diabolique l’islam qui est un outil de conquête qui consiste à dire que la Thaïlande doit être musulmane et ce chantage à l’encontre des Bouddhistes de lire le Coran s’inscrit dans cette logique diabolique .

  5. Alors les bouddhistes vont devoir apprendre à égorger, décapiter,cramer,violer,voler, détruire,agresser…
    Je pense qu’on peut dire “eh ben, c’était mieux avant”

  6. L’islam est un véritable cancer et ses métastases sont partout. Il nous fait la guerre et on le laisse faire. Presque tous les dirigeants du monde sont corrompus et lâche, et c’est pour ça qu’il gagne du terrain.

  7. Ils sont 5 % ,et ils leur en faut encore et toujours plus,alors en France avec les 20 % bien installés dans les zones de non droit, l’affaire est perdue d’avance, une seule solution apprendre le coran.

  8. Un conseil aux Thaïlandais : envoyez l’armée et chassez les mahométans. Sinon vous mourrez.

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