C’est une des vieilles marottes de la gauche, et particulièrement de Mélenchon : l’annulation de la portion de la dette de la France et de celle d’autres pays européens, détenues par la Banque centrale européenne (BCE).
A mon sens, il n’est pas constructif de rejeter cette idée d’un revers de main méprisant, ou de la moquer en ricanant, comme le font régulièrement les journalistes économiques dans les médias. La vérité est que nous y avons tous pensé au moins une fois ; pour quelle raison une banque centrale, qui crée de la monnaie à sa guise, ne pourrait pas annuler une dette ? Pour quelle raison la main droite qui prête à la main gauche ne serait pas en mesure de mettre fin à cette situation d’endettement massif qui a mis notre pays au bord du gouffre ?
Avant d’entrer dans les détails, si Mélenchon était une personne raisonnable et rationnelle, il commencerait par se demander pour quelle raison un pays comme le Japon, qui est endetté à hauteur de plus de 300% de son PIB, et dont la dette est en très grande majorité détenue par des Japonais et des institutions japonaises, ne l’a pas fait depuis longtemps, si c’était aussi simple. Il aurait également dû se poser la question de savoir pourquoi tous les grands théoriciens de l’économie, qui se sont succédé depuis des siècles, n’ont jamais proposé d’annuler purement et simplement la dette des États. Le monde n’a pas attendu la naissance de Mélenchon pour se poser ces questions.
Tout d’abord, l’annulation de la dette d’un État de la zone euro se heurterait immédiatement à l’article 123 du Traité de fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) qui précise que la BCE ne peut pas financer les déficits d’un État membre, ni en effacer la dette. C’est cela que feraient valoir les Allemands et les Hollandais, par exemple, et qui mettrait fin immédiatement au débat.
Cependant, les statuts de la BCE sont bafoués depuis plus de 10 ans, depuis qu’elle s’est mise à acheter massivement la dette de certains pays du Sud. Rappelons que cette dernière détient 30% de la dette italienne, soit 750 milliards d’euros. Par conséquent, il n’est pas complètement farfelu de considérer qu’en cas de risque majeur d’explosion de la zone euro, une telle solution soit envisagée. Nous poursuivrons donc notre expérience de pensée en admettant qu’une négociation ait lieu et qu’il soit décidé de ramener la dette de l’Italie et de la France à un niveau de 100% du PIB, afin de leur permettre de survivre.
Bien évidemment, les banques centrales des différents pays, qui sont actionnaires de la BCE, verraient ceci d’un mauvais œil, car cela les priverait, et a fortiori les États concernés, d’une source de revenu de quelques milliards. Cependant, étant donné la petitesse des sommes en jeu comparée au cataclysme de l’explosion de la zone euro, il n’est pas déraisonnable de penser que les banques centrales nationales finiraient par se voir forcées d’accepter.
D’un trait de plume, les comptes publics de tous les pays de la zone euro se retrouveraient donc ainsi purgés de ces dettes insupportables. Bien entendu, les pays concernés, accrocs à la dette, et dont la gabegie est devenue un style de vie, continueraient sur la même tendance que par le passé à générer des déficits abyssaux.
S’il est possible d’effacer la dette une fois, sans conséquence, pourquoi alors ne pas l’effacer à échéances régulières ? Tous les dix ans, par exemple, nous pourrions remettre les compteurs à zéro, sans conséquences néfastes, bien entendu. Si l’endettement n’a plus de limite, il pourrait même être envisageable de ne plus passer du tout par le marché, de supprimer l’article 123, et de financer directement les pays. Ce serait beaucoup plus simple. Allons encore plus loin ; si l’argent peut être créé à volonté, et la dette effacée, il serait même plus raisonnable de supprimer les complications administratives en faisant livrer chaque année à chaque citoyen de la zone euro un mètre cube de biftons de 500 euros, qu’il pourra dépenser à sa guise. Cela supprimerait ainsi tous les problèmes d’élaboration de budget et toutes ces histoires de 49.3 qui compliquent la vie politique.
En réalité, cette solution a déjà été envisagée et appliquée, à la fin des années 2000, par un pays africain : le Zimbabwe. Mougabe, le Président à vie, avait même permis aux citoyens d’imprimer eux-mêmes les billets chez eux. Lorsque le nombre de zéros dépassait le nombre de 15 ou 18, il était décidé que vous pouviez en rayer 3 vous-même, et on procédait à un regroupement du nominal. La population avait ainsi l’impression que, pendant un instant, les prix étaient divisés par mille. La limite à ce système ne dépend que de la capacité du pays à fournir le papier et l’encre nécessaires à leur impression. Le seul petit problème, c’est que l’inflation avait atteint les 530 000 000 %, et que le pays sombrait dans une misère crasse.
Vous pouvez faire à peu près tout ce que vous voulez avec votre banque centrale et votre monnaie, mais il y a une chose qui restera hors de portée : obliger les autres pays à acquérir votre devise. Seuls les États-Unis ont ce privilège et ils le défendront à tout prix, même militairement.
Même si la dette de la France était complètement annulée, il nous faudrait quand même acheter des matières premières, dont le prix est fixé en dollars. Dans le cas de l’achat d’un baril de pétrole, par exemple, il vous faudrait aller sur le marché des devises et y trouver une contrepartie qui accepterait de vous donner des dollars contre vos euros. Si votre inflation est à 7 chiffres, personne au monde ne prendra ce risque, car il aurait la certitude que la monnaie de singe que vous lui donneriez se dévaloriserait à l’instant même de la transaction. En résumé, nous ne serions plus en mesure d’acheter quoi que ce soit à l’étranger. Bien entendu, les populations de la zone euro se détourneraient de l’euro et commenceraient à utiliser le dollar américain pour leur vie quotidienne. Il en est ainsi dans tous les pays dont la monnaie locale est décrédibilisée.
Il est extrêmement regrettable que des personnalités politiques de premier plan entretiennent leurs électeurs dans des chimères comme l’annulation de la dette par la Banque centrale. Il n’y a qu’une solution au problème de notre dette et elle passe par un retour au franc.
Bien entendu, une sortie de l’euro et un retour à notre monnaie nationale ne seraient d’aucune utilité s’ils ne s’accompagnaient pas d’une stratégie de réindustrialisation. Il ne faut pas avoir la naïveté de penser que cela résoudrait tous nos problèmes économiques d’un coup de baguette magique. Notre monnaie se dévaluerait par rapport à ce qu’est l’euro actuellement et les agences de notations américaines nous considéreraient immédiatement comme en défaut si nous décidions de rembourser notre dette en francs, nous privant pendant quelques années d’accès au marché de la dette. Les scenarii ont déjà été simulés au sein de toutes les grandes banques. Un retour au franc doit impérativement être adossé à une politique industrielle ambitieuse, et rapide, afin de compenser par la croissance l’inflation qui en résulterait.
Les dirigeants politiques n’ont que le mot souveraineté à la bouche, ces derniers temps. C’est effectivement la seule solution pour nous sortir du marasme. Cependant, rien ne serait pire que recouvrer notre liberté et de mal en user. Il suffit pour s’en convaincre de regarder ce qu’a accompli Liz Truss en quelques mois au Royaume-Uni.
La seule vraie question qui mérite d’être posée est la suivante : possédons-nous des dirigeants d’une envergure suffisante afin d’être en mesure de piloter un tel projet ? Il est certain qu’il n’est pas envisageable de confier cette tâche à un Macron, un Le Maire, un Castaner ou à une Belkacem.
Mais surtout, le peuple français a-t-il vraiment envie de reprendre son destin en main, ou préfère-t-il être administré par la Commission européenne plutôt que gouverné démocratiquement ?
Alain Falento
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Alain, pourtant les mondialistes ont prévu la grande réinitialisation !!
Avec le fameux » 6uild 6ack 6etter » !!
C’est à dire effondrement économique, puis social des pays, d’abord les pays occidentaux, ensuite, dans la foulée, guerres internes au pays qui feront baisser immédiatement le nombre d’individus sur terre …
Guerres nucléaires bien ciblées, mais PAS une guerre globale, sinon les mondialistes crèveraient aussi :-)))
Puis, sur les cendres des pays, les survivants se verront asservis par la mise en place du nouvel ordre mondial !!! le TOUT numérique et partout, et sur toutes les espèces vivant sur la planète, ce qui constitue le coeur du plan mondialiste …le fameux « puçage » de tout et de tous !!!
Et comme la monnaie deviendrait digitale, autant dire que l’asservissement serait total : en effet, ceux qui contesteraient cette vie verraient leur compte numérique désactivé, donc plus « d’achats » possible, plus d’utilisation d’un quelconque service, la mort numérique, suivie de la mort sociale avant la mort physique …
Une vie à la « chinoise », en pire, un cauchemar devenu réalité !!!
Oui, mais si tu lis le livre de Schwab, il faut du courage, tu verras que la réinitialisation est pour nous, pas pour eux. En gros la dette est de notre faute, donc on va nous prendre ce qu on possède pour la rembourser. Pas question de réinitialiser pour ça.
N’importe quoi. Les mondialistes ont prévu un effondrement économique et social des pays occidentaux et ensuite de tous les autres pays et dans la foulée des guerres nucléaires bien ciblées.
Mais comment peut-on écrire de telles folies? Vous fumez, c’est pas possible.
Puis sur les cendres des pays les survivants se verront asservis…
Oh! c’est beau, ça sonne poétique.
TOUT numérique et partout et sur toutes les espèces vivant sur la planète, ce qui constitue le coeur du plan mondialiste le fameux puçage de tout et de tous.
Incroyable votre imagination, vous devriez écrire des romans de science fiction, pensez-y sérieusement.
Et j’aime bien votre suite: en effet, ceux qui contesteraient cette vie verraient leur compte numérique désactivé… Ouh-la-la, plus on vous lit, plus ça devient dramatique et on veut connaître la suite, mon coeur tiendra-t-il le coup?
Et la finale, chapeau: la mort numérique, suivie de la mort sociale avant la mort physique.
Je suis ébahi, vous êtes un grand dramaturge, vous me faites penser à George Orwell.
Merci pour cet article éclairant la situation de cette dette que certains béotiens voudraient tout simplement effacer.
C’est un peu comme effacer la dette d’un joueur compulsif, cela n’arrangera pas ses affaires et il continuera à dilapider comme le fait le Morpion actuellement, aidé en cela par le ballot le Maire.
Mélenchon mis à part être un grand orateur et tribun n’a pas le droit de donner de faux espoir aux citoyens ,effacer les dettes ? c’est de la monnaie/dette !!! et elle se vend sur les marchés, sous forme d’obligation ,l’émission de dettes devrait être proportionnelles en contrepartie ,des biens de des services de l’emploie, de l’investissement/croissance ,si la BCE déciderait d’effacer les dettes, cela voudrait dire un effacement de toutes les épargnes ,les comptes courants bancaires ,les assurances vies ,un effacement ? c’est la spoliation des détenteurs de dettes ,l’édito est très clair ,comment acheter des produits importés nécessaires ? si ce n’est en cash en devises ou en or ….
Je suis quelque peu béotien en la matière mais il me semble qu’une partie de la dette française est détenue par des pays extérieurs à l’UE. Ils nous prêtent de l’argent et cela m’étonnerait qu’ils effacent notre ardoise (magique) comme ça, pour nous faire plaisir…
La question, pour moi, est : qui sont ces pays dont nous sommes redevables ? La Chine ? Les pétromonarchies ? Et quelle est la contrepartie : acheter des produits chinois ou des hydrocarbures ? Faire construire des mosquées et faciliter l’islamisation du pays ?
Je ne parle que de la partie de la dette détenue par la banque centrale. Pour les 45% dont vous parlez, effectivement, elle ne peut pas être effacée comme cela, sauf accord du créancier
POST 1 SUR 3
Article très, très intéressant, succinct dans ses explications, mais il ne peut pas en être autrement pour une explication globale limitée. C’est très bien expliqué, droit à l’essentiel. Bravo.
Il est évident que la dette n’intéresse quasiment personne pour deux raisons :
– la première est que le français est, pour son pays, complètement lobotomisé et zombifié et seuls ses petits revenus personnels l’intéresse. Tout le reste le laisse complètement indifférent car il ne voit pas plus loin que le bout de son nez, ni du pays qu’il va laisser à ses enfants. Le français, dans sa majorité, n’a plus aucune réaction face aux drames multiples qui se déroulent dans son propre pays : installation très nette d’une dictature, désintéressement total des vérités, refus même de les connaître, indifférence de 40 ans de des désindustrialisations, soumission et obéissance aux gouvernements successifs, lesquelles le savent bien et s’en servent bien.
Exact, il y a beaucoup de Francais qui se foutent de leur pays, seul compte leur petite vie, ils ne s’intéressent pas à la politique, or la politique se joue à l’AN et à l’Élysée. Mais avant 39/40, c’était pareil, ils faisaient confiance à leurs élus, à leur gouvernement, à leurs généraux.
Chez moi aussi, personne dans ma famille, ma parenté, mon voisinage ne parle de la dette. Et parler politique, c’est tabou, car tout le monde a peur de se faire critiquer ou qu’une dispute commence.
Or c’est en se parlant qu’on avance et parler de notre pays, de son avenir, ça concerne tous les Français.
POST 2 SUR 3
– la deuxième est que la dette est quelque chose de bien réel sur les marchés financiers, et dans le fonctionnement financier et monétaire d’un pays (2 798 milliards en 2021 selon la fondation qui IFRAP. Mais dans le public, elle n’existe pas. Qui parle de la dette en réunion de famille ou d’amis ? Je ne me souviens absolument pas de quand j’ai entendu parler de la dette dans les médias.
Bien sûrs certains essaient d’expliquer qu’avec les intérêts négatifs, plus la France s’endette plus elle gagne d’argent, en un mot elle est payée pour emprunter.
Même si je suis croyant, je ne crois pas au miracle de ce type. La finance est une logique et quand que les choses vont à contresens, cela se termine toujours mal. D’ailleurs, les taux sont négatifs depuis 2018, et pourtant nous sombront dans la faillite économique davantage de jour en jour.
Oui, les fameux intérêts négatifs, encore du plâtre sur une jambe de bois, un autre piège à cons de nos technocrates de Bruxelles et de la BCE et que Hollande appréciait, lui-même n’en revenant tout simplement pas.
Mais attention, si ça a un peu fonctionné, c’est parce que la FED avait mis ses taux d’emprunt proche du zéro, si la FED avait fixé ses taux à… disons 5%, jamais la BCE aurait pu fixer son taux sous zéro.
D’ailleurs pourquoi depuis 8 ou 9 mois, la BCE a remonté ses taux et annoncé aux pays membres de se serrer la ceinture, de dépenser moins ou mieux d’arrêter de dépenser et de penser à faire des recettes?
Parce que la FED a remonté ses taux, en remontant ses taux, les spéculateurs ont quitté l’euro pour placer leurs sous aux USA, car plus payant. Pour arrêter l’hémorragie (vendre ses euros et acheter des dollars) la BCE n’a pas eu d’autre choix que de suivre la Fed et de relever ses taux.
POST 3 SUR 3
De toute évidence nous pourrions sortir de ce marasme économique épouvantable en sortant de cette Euro destructrice et créatrice de lois contraignantes à n’en plus finir, et en sortant de la monnaie euro qui contribue largement à notre faillite économique.
Le retour au franc est la meilleure solution en l’accompagnant, comme tu le dis, d’une réindustrialisation indispensable que nous avions il y a 40 ans et que l’on a volontairement assassinée.
Seulement problème : l’esprit français est un esprit d’assistanat et la France est connue dans le monde entier pour son état nounou et maman protectrice. Tous ces chèques essence, pouvoir d’achat, rentrée scolaire, course d’hypermarché…, dont l’existence révèle une faillite économique, est cependant la seule chose qui intéresse les Français.
Le français n’a plus du tout la capacité réactive pour créer et reconstruire un pays. Notre pays est destiné à se tiers mondialiser de plus en plus.
Oui, il faut quitter l’UE et l’Euro, mais pas tout de suite, il faudra le faire quand notre pays sera redevenu SOLIDE, FORT économiquement, quand on sera sur le chemin l’enrichissement et non de l’endettement.
Quand on commencera à rembourser notre dette.
Pour y arriver, il faut se préparer.
Vous dites le jour où on réindustrialisera la France, bon je veux bien, mais il y a plein d’autres choses qu’on peut faire, ne mettons pas tous nos oeufs dans le même panier.
On ne sera plus jamais solide et fort pour les raisons ci-dessus évoquées d’une part, et parce que nous resterons dans ce cadre ruineux européen et monétaire d’autre part.
Pour redresser toute situation, qu’elle soit personnelle ou internationale, il y a deux impératifs :
– avoir cet esprit de combat pour changer cette situation inacceptable
– modifier le contexte qui nous a fait arriver à cette situation inacceptable
Comme tu l’as compris, le français doit changer sa mentalité, quitter l’Europe et l’euro pour arriver à se redresser, donc à se réinsdustrialiser.
Tout cela est terminé, c’est totalement impossible, et donc nous allons faire une tiers mondialisation économique et sociétale par ces 10 millions d’immigrés et cinq de plus à la fin de ce second mandat du dictateur Macrocescau.
Tout cela s’inscrit dans le projet mondialiste qui se réalise et qui a bien l’intention de laisser les choses empirer de tous les côtés.
Je suis d’accord avec vous, sauf sur votre croyance que tout ce qui arrive à la France est un projet mondialiste. Tout serait de la faute des mondialistes. Faut arrêter avec les mondialistes, sur toutes ces histoires insensées, stupides qu’on dit sur eux. Et il faut arrêter de croire qu’ils sont tout-puissants, vous leur donner trop de pouvoir.
Et quel serait leur intérêt de laisser les choses empirer de tous côtés?
Arrêtez d’écouter tous les Bobby FR94 de France et de Navarre, ils racontent des folies, des absurdités.
Pourquoi en sommes-nous là, coincés dans cette Union européenne? C’est à cause de la seconde guerre mondiale, elle détruisit l’Europe, alors les élites européennes se sont dits: Faut arrêter de se taper dessus, c’est con, il faut trouver une solution à nos querelles interminables et ils ont trouvé l’UE. Si les européens ne se seraient pas fait la guerre, chacun serait souverain avec ses frontières.
Est-ce si difficile à comprendre monsieur Cachou?
Maintenant comment sortir de l’UE, comment redevenir souverain?
Quand nous serons une majorité à le vouloir, quand les patriotes seront majoritaires en France.
Il faut donc persévérer à instruire nos compatriotes endormis et/ou indifférents à tous les problèmes que vivent les FDS, indifférents au déclin de leur pays.
Il est là notre problème, comment réveiller nos compatriotes?
Il faut leur parler, mais avec délicatesse car ils sont soupe au lait, fragile du coco et l’autre problème, ils disent tout savoir, qu’on n’a rien à leur apprendre, alors ça clos toute conversation.
Pour revenir au mondialisme, les États-Unis, le Canada, l’Australie font partie des pays dits mondialistes parce qu’ils commercent avec tous les autres pays, or ils sont maîtres chez eux, sont souverains, gardent leurs frontières et ont leur propre monnaie.
C’est l’UE le problème, pas les mondialistes.