« Petit paysan » film de 2017 : bientôt périmé car on veut supprimer la viande

Pierre, la trentaine, est éleveur de vaches laitières. Sa vie s’organise autour de sa ferme, sa sœur vétérinaire et ses parents dont il a repris l’exploitation. Alors que les premiers cas d’une épidémie se déclarent en France, Pierre découvre que l’une de ses bêtes est infectée. Il ne peut se résoudre à perdre ses vaches. Il n’a rien d’autre et ira jusqu’au bout pour les sauver.

Bande-annonce

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Autour du film

Hubert Charuel, le réalisateur, est un enfant du milieu agricole. Il a investi la ferme où il a grandi, à Droyes, en Haute-Marne, et l’interprète du vieux paysan (« Raymond ») est son propre grand-père, celui du père du « petit paysan » est son propre père, celle de la contrôleuse est sa propre mère.
Le film se réfère clairement à la crise de la « vache folle » (encéphalopathie spongiforme bovine) qui a provoqué une véritable psychose dans l’opinion publique, tant la peur de la contagion à l’homme par la consommation de la viande et des produits laitiers était forte (à tort). La filière bovine a été fortement ébranlée et a énormément souffert de cette crise : le film met l’accent sur le sort des éleveurs confrontés à la catastrophe.


Tout doucement, on nous annonce la fin de la viande…le plan de Davos se déroule comme prévu.

NOUS SOMMES TROP  NOMBREUX !

La Une de Libération
SAMEDI 22 OCTOBRE 2022 :

Matraquage tous les weekends pour faire passer  la consommation d’insectes :

NOUS SOMMES TROP  NOMBREUX !

 

Nostalgie

 

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5 Commentaires

  1. J’ai vu ce film.
    C’est l’histoire de tout agriculteur en prise avec la réglementation inhumaine et stupide de Bruxelles, il va se faire écraser malgré l’aide de sa sœur.
    Petit pot de terre contre le puissant pot de fer.

  2. le matraquage des cinglés collabos on s’en moque il faut qu’ils le sachent: qu’ils mangent leurs insectes et nous laissent en paix – trop de monde clament ces ahuris dans le journal collabo de référence : libé – pas en france avec sa natalité en berne, mais dans les pays de leurs protégés, avec leur démographie galopante dont ils nous envoient généreusement le surplus : c’est donc des kits contraceptifs qu’il faut leur fournir (libé ou ses copaine l’obs et le monde peuvent se charger de l’envoi) pendant que l’on continuera à manger de la viande n’en déplaise à ces illuminés

  3. Plutôt que des insectes, un steack de Macron, pourquoi pas, ou de la bavette de Larcher? C’est de la belle bête, ça, bien nourrie, ça, avec de bons aliments hauts de gamme. Une traçabilité des meilleures tables de France à l’assiette. Sauf la tête, c’est tout pourri là-dedans. Pour les abats, pas de cœur, ils n’en ont pas.

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