Article d’un média algérien, donc la conclusion ne peut être mise en doute sur la « sécurité publique » liée à la religion officielle qui doit être protégée de tout prosélytisme.
Que devrions nous dire, alors, sur notre sécurité, quand on constate les méfaits de la plus ignoble des religions qui ait été instituée sur terre ?
Effectivement, l’Algérie a expulsé ces derniers temps plusieurs centaines de migrants de l’Afrique subsaharienne sans autre forme de procès… De notre côté, We have a dream : si notre gouvernement pouvait enfin réagir !
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Algérie : L’association « Caritas Algérie », organisation caritative affiliée à l’Eglise catholique en Algérie, a annoncé la cessation de ses activités dans le pays en réponse à une « demande des autorités algériennes ».
On remarque que Caritas ne se comporte pas comme ces associations musulmanes qui font la guerre à l’Etat parce que dissoutes après bien des turpitudes, elle se soumet !
Caritas est l’une des plus anciennes organisations caritatives actives, ayant été créée quelques jours avant l’indépendance du pays du colonialisme français.
Caritas Alger a indiqué dans un communiqué signé par Paul Desfarges, archevêque honoraire d’Alger et président de l’assemblée, et Jean-Paul Viscoe, chef de l’épiscopat d’Alger, qu’elle avait décidé de clore l’assemblée « complète et définitive » de l’assemblée dès le 1er octobre.
L’association n’a pas précisé les raisons de cette décision soudaine, précisant seulement que cette mesure répond à « la demande des pouvoirs publics ». Les associations sont actives en Algérie, selon une licence accordée par le ministère de l’Intérieur et ses intérêts au niveau des provinces du pays.
L’Église catholique d’Algérie a souligné qu’elle restera « fidèle à sa mission caritative au service de la fraternité, et en partenariat avec toutes les personnes de bonne volonté » , et a remercié tous ceux qui ont participé au fil des années, « de diverses manières, afin pour relancer ce travail au service des groupes les plus vulnérables et du peuple algérien » .
Caritas Alger a été créée le 28 juin 1962, quelques jours avant la déclaration d’indépendance. Sur son site, elle dit avoir œuvré au fil des années de son activité pour soutenir et assister les plus démunis, à travers de multiples projets sur l’ensemble du territoire national, et avoir répondu « dans la limite de ses capacités, aux demandes d’aide reçues, quel que soit leur statut. les origines, les identités ou les affiliations religieuses des personnes qui la recherchent tant qu’elles participent à ses objectifs et à ses valeurs » .
Caritas Algérie met en œuvre depuis longtemps des initiatives au profit des handicapés physiques et mentaux, ainsi que des femmes et des enfants défavorisés. Il a également mis en œuvre des programmes de secours pour les personnes touchées par des catastrophes naturelles, des inondations et des tremblements de terre, et coopère avec le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et d’autres organisations pour prendre en charge les migrants traversant le pays depuis l’Afrique subsaharienne en leur fournissant une assistance médicale, cours d’alphabétisation et enseignement aux jeunes enfants.
Pendant des années, les autorités algériennes ont surveillé de près l’activité chrétienne dans le pays, et à certains moments ont fermé au hasard des églises installées à l’intérieur des maisons à des fins d’activité missionnaire d’activité et de circulation libre en Algérie, et les ont empêchées d’importer des Bibles et des religieux chrétiens, livres et le financement de leur activité ecclésiastique.
Les autorités algériennes ont toujours répondu en rappelant que la loi « interdit de mener des campagnes missionnaires en exploitant les mineurs et les nécessiteux afin de changer de religion et de conviction, afin de préserver la sécurité publique ». Elles affirment que la constitution algérienne garantit la liberté de croyance, dans le cadre du respect des lois algériennes. (Tu peux le croire mon colon !)