Pap Ndiaye, ministre de L’Education de Macron. Ses propres enfants sont casés dans des établissements huppés réservés à l’élite.
Les enfants des gueux qui restent sur le carreau à la rentrée ? De simples dommages collatéraux d’une politique de canards sans têtes. Ces privilégiés méprisants jouent sur le fait que les victimes sont isolées et que les familles ne savent même pas ce qu’est une manifestation.
Une vingtaine d’élèves de troisième d’une commune du 77 sont obligés de redoubler en cette rentrée. Raison invoquée par l’administration : il n’y a aucune place pour eux dans les lycées professionnels!
20 élèves de troisième dans une seule commune. Mais combien au niveau national ?
Des jeunes veulent aller en seconde professionnelle et le rectorat ne leur trouve pas de place ?
Mais de qui se moque-t-on ?
Quels dégâts psychologiques dans la tête du jeune qui veut se former à un métier et se voit refouler de partout ! Quelle perte de temps et de nuits blanches pour les familles ! Quel mépris pour les jeunes ! Ceux qui prennent de telles décisions sont des criminels.
Une société normale devrait au contraire tout faire pour l’avenir de sa jeunesse !
La République de Seine-et-Marne
Une vingtaine d’élèves de 3ème du collège Jean-Vilar de Vert-Saint-Denis ont été obligés de redoubler, faute d’avoir trouvé une place dans un lycée professionnel.
En fin de troisième, la dernière année du collège, les élèves sont toujours soumis au même moment-clé, celui de l’orientation. Formation, lycées professionnels, filière générale, chaque élève formule des vœux pour intégrer le lycée qui lui permettra de poursuivre ses études. Sauf que cette année, tout ne s’est pas passé comme prévu pour une vingtaine d’élèves du collège Jean-Vilar de Vert-Saint-Denis, qui avaient choisi une orientation en seconde professionnelle, dont les lycées ne sont pas sectorisés.
C’était hors de question d’accepter ça !
Aurélie, maman d’une élève
« Comme le collège nous l’a bien expliqué, nous avons formulé des vœux au mois de juin pour notre fille, Lou, qui était en troisième, explique Aurélie Michel. On n’a eu que des refus. On a vite vu qu’on n’était pas les seuls dans ce cas, et le collège nous a demandé de revenir le 24 août, et d’être là physiquement, au collège, pour formuler de nouveaux vœux. Ce que nous avons fait. Nous avons remis trois nouveaux vœux, qui se sont encore soldés par des réponses négatives le 25 août. On a recommencé début septembre, avec quatre vœux cette fois, en choisissant des lycées pourtant loin de chez nous, comme Uruguay-France à Avon, Combs-la-Ville ou encore Dammarie-lès-Lys. Là encore, que des réponses négatives ! Le collège s’est alors engagé à nous rappeler le 14 septembre pour trouver une solution. Nous n’avons pas eu de nouvelles avant le 16, tout ça pour nous dire qu’il nous proposait finalement de faire redoubler notre fille. C’était hors de question d’accepter ça pour moi ! »
Pour résoudre le problème, Aurélie Michel a finalement décidé d’inscrire sa fille dans le privé,ce qui n’était pas du tout dans les plans de départ.« C’est inadmissible, poursuit-elle. Je n’ai trouvé que cette solution, après avoir tout tenté. J’ai contacté le médiateur de l’Éducation nationale, le député, Olivier Faure [le député, Olivier Faure : haha ! Le jour où cet ectoplasme fera quelque-chose !], le défenseur des droits, personne n’a rien pu faire. Mais je pense surtout à cette vingtaine d’enfants qu’on a obligés à redoubler. Je trouve ça aberrant. C’est une situation que les enfants ont évidemment très mal vécue. C’est hyperanxiogène pour eux ! Ma fille l’a pris comme une injustice, ses copines ont trouvé des places et pas elle. Et évidemment, nous n’avons plus eu la moindre nouvelle du collège… »
Le problème d’orientation vers les secondes professionnelles a touché de nombreux élèves cette année. À Corbeil-Essonnes, notamment, où le maire, Bruno Piriou, a proposé aux parents d’attaquer l’État au tribunal administratif ainsi que la rectrice d’académie sur le volet pénal.
Après, on dira que les jeunes Français ne veulent rien faire et qu’il faut faire venir encore plus d’étrangers !
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Tout est tellement dégradé dans notre malheureux pays, où le président ne pense qu’à ses chers bronzés, comment faire pour les héberger, les nourrir, leur apprendre à parler français, etc..
Cela prend du temps et de l’argent, cela accapare l’esprit de notre président altruiste et qui veut le prouver.
Que lui importe ces petits Français dont l’avenir est obscurci par l’imprévoyance habituelle de ce gouvernement d’amateurs.
Le gars de la photo, il a fait ministre parce qu’il a loupé l’audition de rappeur.
Pitié, ne m’imposez plus cette tête ronde de couille déplumée !!
Pap Ndiaye, c’est quelqu’un qui a la haine du Blanc. C’est tout à fait dans le sens, des élites. Les victimes d’abord, les Blancs après.
Les filières professionnelles ont été sacrifiées. Ils les ont remplies avec les CPF pare que ces bourricots ne veulent pas apprendre. Lorsque j’étais au lycée il y a vingt ans, le lycée pro à côté de mon lycée technique était saturé de racailles toujours prêtes à venir mettre le boxon. Mon lycée avait des filières pro et il y a des élèves qui ont eu la chance d’en profiter. Mais au total, cette politique a fait du mal à la fois aux élèves mais aussi aux entreprises.
Gerber hors de France cette merde colorée et ses chiards idem, y a pas de raison de laisser des africains anti-blanc dans des écoles de blancs pendant que les nôtres sont à la ramasse pour le plus grand plaisir de ces vermines « racisées »!
Partie 1/2
Ce qui m’étonne fortement !
Plusieurs explications : des demandes sur les formations saturées parce que faciles, bien propres, etc.
Dans mes activités professionnelles et syndicales, j’ai vu bien des formations réduites à des demi-section (7-8 élèves = 1/4 de classe)… Certes des formations ouvrières, pour des ouvriers dont on manque contrairement aux « administratifs »…
Faut dire que dans l’EN on apprend le plaisir, le bonheur, la facilité, à se sentir bien, etc…
A suivre…
Suite 2/2
==>Résultats :
– On voit des semi-professionnels auto-entrepreneurs qui ne font que des boulots déguelassés, particulièrement dans les grandes villes où il est très difficile pour un artisan de poser sa camionnette et qui donc refuse le boulot en ces endroits !
– Des formations professionnelles tardives : un succès du gouv. de Minus, l’apprentissage des plus de 25 ans, même dans la cinquantaine (souvent dit contrat de professionnalisation et subventionnés).
https://www.vie-publique.fr/en-bref/283650-apprentissage-733-200-nouveaux-contrats-en-2021
==> C’est un rattrapage !
De grosses aides dans l’explication :
https://travail-emploi.gouv.fr/formation-professionnelle/entreprise-et-alternance/aides-au-recrutement-d-un-alternant/aide-exceptionnelle-apprentissage
==> Les ronds qui auraient dû être mis dans la formation professionnelle de 16 à 18 ans ont été perdus par le maintient des jeunes dans l’enseignement général, donc au moins doubles dépenses…
Autrefois l’apprentissage commençait à 14 ans; mais la gauche a trouvé ça humiliant pour les ouvriers.
Stupidité de classe, les ouvriers pas plus bêtes que les autres, savaient se cultiver hors des heures de boulot.
Les deux années passées à chauffer les bancs des collèges ne rapportent rien à personne.
Pap, né d’un père sénégalais, Tidiane N’Diaye qui retourne au Sénégal alors que Pap a trois ans, et d’une mère française, Simone
@loli5
Effectivement : « Simone est issue d’une famille de fermiers de la Beauce; le père de Pap, Tidiane N’Diaye, est le premier étudiant d’Afrique subsaharienne à avoir été diplômé ingénieur de l’École nationale des ponts et chaussées« .
S’il est né d’une mère blanche, que son père a pu entrer dans une des plus prestigieuse école et que lui, a pu faire de si belles études tout comme ses enfants à l’Ecole alsacienne, c’est bien la preuve que les Français ne sont pas racistes et qu’il n’y a pas de « racisme systémique » en France !
Pourquoi ne pas favoriser au contraire l’apprentissage qui donne de bons résultats et certainement de meilleurs manuels ou autres car rien ne vaut l’expérience de terrain ? Et éviter également d’engorger des classes de 3ème avec des élèves peu intéressés par le scolaire qui dès la 5ème réclamaient de quitter l’école et d’apprendre un métier ?
Cela aurait l’avantage d’éviter aussi certains problèmes de disciplines dans des classes surchargées d’élèves en échec et/ou pas du tout intéressés par les matières scolaires.
En fait, c’est peut-être le fait de passer par un lycée professionnel qui pose problème, le problème est ancien.
La réalité est là depuis des lustres : les places sont limitées en lycée Pro parce qu’il faut encadrer des élèves avec du matériel et cela limite.
Il y avait aussi eu une réflexion sur fond de polémique mais qui est restée lettre morte à un moment (dans les années 95-96) car les meilleurs dossiers étaient pris dans les filières BEP etc…. et ceux qui étaient indiqués dans ces filières préférant le côté manuel ou technique restaient sans solution car leur dossier était trop faible en enseignement général.
Mais ce n’est pas que pour les lycées professionnels, c’est aussi le cas dans la filière normale où j’entendais sur une radio une maman dire que son fils n’avait pas trouvé de place pour rentrer en 1ere ou en terminale , je ne sais plus ! aujourd ‘hui ils sont un certain nombre, mais cet ado n’avait pas trouvé de place et sa mère était aux abois car il restait chez lui à ne rien faire et à être découragé pour lui même ( A Versailles ) ! je l’avais signalé à Christine.
L’ administration lui avait dit de redoubler dans son ancien lycée, la mort dans l’âme sa mère avait accepté sauf que même là, il n’a pas trouvé de place ..mais je suis sûre qu’il y en a pour d’autres ….Si vous savez où on va , dites le moi !
C’est étrange cette histoire car normalement un établissement public n’a pas le droit de refuser un élève (là il n’y a pas de problème matériel comme en lycée pro) il me semble, même certains cas graves sont durs à exclure ou on les envoie dans d’autres établissements.
Bref, je ne sais pas ce qu’il en est et de cette situation et de la position de l’Education Nationale, dur de juger vu de l’extérieur.
Sinon, je n’ai pas la science infuse je fais juste des constats vérifiés.
oui , la maman a été interviewée sur RTL, au moment de la rentrée des classes en septembre ..je ne sais si vous pouvez retrouver cela sur internet ..il n’y avait pas de problème avec cet ado ..famille « normale », à la suite d’un déménagement sur Versailles… je crois que l’on peut admettre aujourd’hui, qu’il y a des bizarreries..
Je dis aujourd’hui mais en fait j’ai eu ce problème, pour ma fille , il y a 30 ans !
Oui c’est vrai, il y a comme vous dites des choses que l’on ne comprend pas. Mais j’ai vu de dangereuses racailles (meurtre d’un bon élève à l’appui dans un lycée près de chez moi qui était prévisible mais « on » n’a rien vu) que l’on ne pouvait pas virer ! Dans les années 95. Assistantes sociales et social ++ !
Comme je le dis toujours, il y a les politiques certes mais il y a aussi le terrain et sa gestion. Les politiques sont aussi influencés par ce « terrain » (cf les associations, un deuxième pouvoir).
ce mec n’est qu’un tocard ,,, ça tout le monde le sait ,,, mais le tocard vient d’être débarqué a ce poste bien trop grand pour une personne aussi insigni-fiante , mais le manque de profs n’est pas de sont fait !!!!!
Le pire, c’est qu’à l’issue de leur deuxième 3ème, on leur proposera un passage en seconde générale, puisque, logiquement, leurs résultats auront sensiblement augmenté.
Orientation qu’ils accepteront. Ils viendront ainsi grossir les rangs des jeunes détenteurs d’un bac « au rabais », ils traineront leurs guêtres plus ou moins longtemps sur les bancs d’une fac dans une filière non sélective où on accepte le tout venant, pour finir sans aucun diplôme ni perspective d’avenir.
Alors qu’ils auraient pu s’épanouir et briller dans une filière professionnelle de leur choix.
Un vrai gâchis !!!
J’ai eu la même remarque que le dernier encadrement bleu en fin d’article.
De toute façon il n’y aura plus de travail pour les blancs. Pour eux c’est chômage. Les places sont pour les envahisseurs.
Le réparateur de ma chaudière à gaz, est un muzz. Pour les contrôles de la chaudière tous les ans ce sont des muzzs, jamais les mêmes. Et après on nous dit que les blancs sont des feignasses qui ne veulent pas travailler. C’est aussi ça le grand remplacement.
Ça aussi ça me gonfle.
Tu demandes une intervention pour problème de box, changement de fenêtres, électricité, enfin tout quoi… et c’est un représentant de la (rpa) qui vient chez toi…
C’est surtout aussi parce que les entreprises de tous ordres y compris celles qui ont pignon sur rue voire étatiques sous-traitent avec des entreprises pas toujours vraiment vérifiées dans leurs compétences et certaines sont franchement incapables de gérer les problèmes ou le font n’importe comment.
Il y a des migrants aussi dans ces entreprises que l' »on » est bien content de recaser pour éviter le retour à l’origine. Aussi des personnes en ré-insertion pas toujours triées sur le volet.
Je crois que beaucoup de Français ne sont pas réellement au fait de ce qui se passe sur le terrain….
Peut-être question de prix aussi… ? Toujours l’argent !
Bizarre que vous ne soyez pas au courant des directives Sarko.
Toutes les entreprises devaient embaucher prioritairement des migres, il fallait les « intégrer », quel que soit leur niveau et leurs compétences.
A partir de là, ça a explosé, on les a pris partout, malgré la réticence, car le niveau a baissé drastiquement.
C’est vrai ça. Tous les commerces, artisans sont repris, par les muzzs. Ils sont partout, et après on vient nous dire, qu’il ne faut pas parler du grand remplacement.
ils font fuir la clientele avant avec des techniques bien rodées puis les rachetent, moins cher, avec l argent de la criminalité, blanchiment d argent et expansion de l ouma
Par contre les pseudos -mineurs migrants isolés, ayant un bac pro de cogneurs de rue, de détrousseurs, de vente à la criée de produits euphorisants et autres spécialités n’ont aucun problème !