L’ensauvagement de la France, poussé à son paroxysme. Des enfants envoyés en colonie par leurs parents, qui vivent un séjour effroyable à cause d’un « quota » CAF...
Rien ne sera dit du profil de ceux qui ont traumatisé les ados bien élevés que leurs parents ont envoyés en colonie de vacances et qui se sont rendus compte de leur erreur terrible… Eh oui, si ces gens croyaient aux fables de Macron et Darmanin, à l’angélisme de Mélenchon, cela les fera peut-être changer d’avis.
Finalement, même les parents ont découvert « la vraie vie » sous Macron…
Une ado aura essayé de se suicider avec une ceinture.
Du côté des animateurs, on « venait pour kiffer ».
Rien que cette expression issue du langage des racailles suffit à se faire une idée du niveau de « béatitude » devant le vivre ensemble de certains qui se sont laissés dépasser par les événements…
https://fr.wiktionary.org/wiki/kif#fr
Kif : De l’arabe marocain كيف, kif (« hachich ») – Mélange de sommités de fleurs femelles séchées de chanvre indien et de tabac gris finement haché en Algérie et au Maroc. – figuré : sensation de plaisir
.
.
.
Chaos à la colo de Saint-Lary : « Si ça avait continué, il y aurait eu un mort »
Vous parlez de chaos… Mais c’était un véritable enfer. Si ça avait continué, il y aurait eu un mort ». Animatrice à la colonie de vacances du centre d’altitude de la Charente à Saint-Lary, Fiona, directrice adjointe, est encore traumatisée par ses cinq jours passés, du mardi 2 au samedi 6 août, dans le centre. « Les enfants venaient pour kiffer, nous aussi. Et au final, on est traumatisés », dit-elle, la voix tremblante, en revenant sur les graves incidents révélés dès lundi par Charente Libre.
Gendarmes dès le premier jour
Harcèlement sexuel, violence, coups, insultes, insécurité permanente, dégradations… Dès le premier jour, elle décrit un séjour apocalyptique. « Il y a eu une très très grosse bagarre, loin de la bagarre de cour d’école. Trois jeunes ont dû s’enfermer dans leur chambre pour leur sécurité. Les gendarmes sont intervenus dès ce jour-là et ont préconisé l’exclusion des jeunes violents, car c’était trop dangereux », décrit-elle.
Loin de ramener le calme, le départ précipité et disciplinaire des deux fauteurs de trouble échauffe l’esprit de leurs copains. Dégradation, vengeance, règlements de comptes. « Certains enfants s’enfermaient dans les toilettes ou leur chambre pour échapper aux coups. » Ce que confirme un enfant : « Ils se mettaient à une dizaine pour entrer dans notre chambre. On s’est barricadé en mettant contre la porte une armoire, une commode ». Fiona : « Il y a eu une autre bagarre, le deuxième jour. Je suis intervenue pour séparer. J’ai pris des coups. J’ai encore des bleus ».
Les stigmates ne sont pas que corporels. Ils sont aussi psychiques. Une animatrice a craqué : « Un ado de 13 ans passait son temps à se masturber, ou faire semblant de se masturber contre (moi). Les comportements étaient hypersexualisés ». Et les adolescentes accueillies en étaient aussi victimes. « Une gosse de 10/12 ans a tenté de se suicider en s’étranglant avec sa ceinture car elle n’en pouvait plus du harcèlement. Un petit a été humilié, short baissé, devant tout le monde ».
Infernale le jour, l’ambiance devenait apocalyptique la nuit. « Des collègues ont mis leur matelas dans les couloirs pour tenter de mettre un terme aux intrusions dans les chambres des filles. Personne ne dormait la nuit. Le jour, tout le monde était rincé ».
Des extraits de conversations collectives via l’application WhatsApp confirment les nuits blanches et violentes. 0h36 : « S. a pris une grosse pierre dans sa chambre pour se défendre des autres garçons ». 0h36 encore. « Je suis monté pour calmer les filles qui pleuraient et criaient ». 2h08. « On va dormir dans le couloir des mecs car ils veulent encore se battre ». 2h09. « On dort toujours pas. Les gars se sont barricadés dans leur chambre car ils ont peur des autres. On va donc dormir dans le couloir pour ce soir ». 3h14. « Tout va bien ? »
5 animateurs diplômés
S’il y avait bien 12 encadrants, âgés de 18 à 22 ans, tous n’étaient pas formés et seuls trois hommes étaient présents. Sur les cinq animateurs du groupe ados, seuls deux avaient le BAFA, deux autres étaient stagiaires et un dernier non diplômé. Au total, outre une directrice, il y avait 5 animateurs diplômés, 5 stagiaires et un non-diplômé « Et dans un séjour comme ça, c’est impossible de former les stagiaires. On venait pour animer une colo et on avait l’impression d’atterrir dans une maison de redressement. »
J’avais pris ce job pour payer mes fournitures scolaires. Mais c’est terminé. Je préfère être une étudiante dans la merde que de revivre ça.Une animatrice de 18 ans, stagiaire, dénonce aussi les conditions du séjour. « Nous n’étions pas préparés et n’avons pas eu de réunion de préparation. Je suis arrivée assez déboussolée. Sans organisation, nous ne pouvions pas préparer d’activités ce qui a causé de l’insatisfaction et dégradé la situation. » Un autre, qui souhaite garder l’anonymat : « Nous avions très peu de matériel, juste quelques feutres et jeux de cartes, même pas un ballon de foot à disposition. «
Une animatrice a démissionné dès le vendredi, au bout de cinq jours. L’élément déclencheur ? « Un bivouac en montagne, avec 38 enfants, dans un site non sécurisé, avec des tentes cassées et sans regarder la météo. » Le matériel, cassé lors d’un séjour en juillet n’avait pas été vérifié, selon elle. À 2h du matin, un orage a éclaté. Les tentes se sont effondrées sur les ados. « Nous sommes rentrés en catastrophe ». Et le lendemain, lorsqu’il a fallu retourner chercher le matériel en montagne, une animatrice s’est retrouvée seule avec 31 enfants sous sa responsabilité, au centre…
Dans ces conditions, impossible de mener des sorties sereines. « L’angoisse était permanente. On avait peur qu’un gamin en jette un autre sous une voiture juste pour rire ».
Dans la nuit de samedi à dimanche, le point de non-retour est atteint et la FCOL de la Charente décide de mettre un terme au séjour. Mais les animateurs – les cinq avec qui nous avons été en contact – regrettent cette décision radicale. « Il y avait 10 perturbateurs. Tous les autres sont des victimes et ont vécu des moments très durs. Ce sont des gosses qui ne partent pas en vacances, qui pouvaient enfin s’aérer, voir autre chose. Les punir eux aussi, c’est dégueulasse. »
Une animatrice, elle, est catégorique : « J’avais pris ce job pour payer mes fournitures scolaires. Mais c’est terminé. Je préfère être une étudiante dans la merde que de revivre ça ». Elle cauchemarde toujours.
1,595 total views, 1 views today
Ça c’est bon ça !!!😁😁 Il en faudra davantage des situations comme celle-ci, pour que les moutons lobotomisés par le lavage de cerveau depuis 40 ans comprennent que les vilains « complotisses » « fachisses », « racisses » ont vu juste depuis longtemps ! Bouffez-vous les maintenant !
Logique on melange pas des sauvages et des francais normaux,automatiquement les sauvages se groupent et commence la loi des plus forts.
Bien sur qu’ils ne nous diront pas que les sauvages etaient des arabos et africains on le sait on s’en doute.
La solution est de commencer a cesser avec les colonies mixtes et ensuite de pratiquer un tri avec % A NE PAS DEPASSER MAIS ENCORE MIEUX DE NE PAS MELANGER LES SAUVAGES ET LES BLANCS.
Bien sur ils n’oseront pas toujours au pretexte de pseudo racisme.
Pauvre France ! Ou sont Macronet et Moussa ?
Les rats se comportent comme des rats, petits, moyens ou grands, ce sont des rats. Nous ne parviendrons jamais à les dresser, il faut absolument nous en débarrasser.
Malheureux ! Suivant la doxa EELV
1 On dt « surmulot »
2 Il faut apprendre a les connaitre.
Ahlalalalala….
On a quand même encore droit au couplet du « y avait quelques éléments perturbateurs, les autres étaient victimes ». Ben voyons. Les victimes sont encore les pauvres gosses qui ont dû subir la violence de ces macaques. Et encore, même les primates se comportent mieux.
La CAF devrait payer le
C’est à la Caf de payer le « pretium doloris ».
Toujours les mêmes qui vont payer l’addition après avoir payé le séjour de leurs enfants, double peine en effet, voilà le résultat du vivre ensemble.
Ce n’est pas une colonie ce que je lis, c’est Un champs de bataille, une guerre !! Pauvres gamins piégés par des tarés ignobles ! Et le gouvernement, et la caf, pas coupables comme d’habitude. Je suis dégoûtée !
Et donc, les gauchiasses ont préféré punir tout le monde, plutôt que de tenter de rassurer les enfants en leur offrant une fin de séjour normale. Honte à eux ! ils ont donné le signal de la soumission et de l’impuissance.
Le Tiers-monde est bien installé et n’est pas près de repartir.
Les choses ne peuvent qu’empirer avec ces gauchiasses dans toutes les institutions et les milliers d’arriérés qui envahissent le pays, attirés par l’OFPRA et l’ OFII.
C’est quoi ce gamin qui se masturbe devant des gamine et la monitrice ? Cela m’étonnerais fort qu’il fasse cela devant sa mère, sœur ou une musulmane.
Des vrais malades, je lis cet article et je pense à la guerre civile, guerre civile en colonie ! Mais quel progrès ce vivre ensemble, tous les politiques sont responsables, les associations sos très très raciste contre les kouffars.
J’en ai ma claque de ces salop…
Vous allez voir qu’ils vont en profiter pour interdire la pornographie, pourtant d’utilité publique pour tous les gens qui vivent dans la misère sexuelle… Le CSA a déjà envoyé de nombreuses mises en demeure.
https://www.bfmtv.com/tech/le-gouvernement-publie-un-decret-pour-bloquer-de-nombreux-sites-pornographiques_AN-202110080188.html
Un décret de 2021 « offre au CSA la possibilité d’ordonner le blocage de sites pornographiques qui ne vérifient pas l’âge des internautes. Un contrôle pourtant techniquement irréalisable ».
A mon avis, un libre accès à la pornographie permet d’éviter des agressions sexuelles. C’est aux parents, aux éducateurs d’encadrer quant à eux l’usage que l’enfant fait de l’ordinateur. Pas de smartphone, ni d’ordinateur portable muni d’un accès libre à internet avant 18 ans !
Plus d’autorité nulle part !
Des envies de m…tre envers ces s.l.p.rds !
On subit encore et encore !
Voila ce qui arrive quand on veut mélanger des gosses biens dont les parents ont dû payer plein pot ,avec des petites racailles qui eux ne payent rien et de plus viennent foutre le b…,résultat des courses ,les vacances des gosses gâchées, des gosses traumatisés, et j’espère bien que leur séjour leur sera remboursé ,INADMISSIBLE .
Bonjour,
Merci pour cet article.
Les vilaines colonies de vacances
Au s’cours maman au s’cours papa
Tous les ans j’veux pas qu’ça recommence
You kaïdi aïdi aïda
La CAF et toutes les institutions dites charitables ne sont que des illuminés et des charlots. Leurs membres font de l’angélisme. Au lieu de s’occuper de la vraie misère, ils jouent les sœurs Thérésa des banlieues. Quid des retraités et des travailleurs pauvres, les premiers mangent dans les poubelles, les seconds dorment dans leurs bagnoles, mais ne sont pas de la bonne peuplade, pas des migrators !
les vieux, les retraités, les pauvres ne foutent pas le feu aux bagnoles des fonctionnaires qui leur refusent une alloc ou une aide quelconque. Peut-être qu’ils devraient !
Il est même fort probable que des CAF participent grandement à la diffusion de fausses cartes vitale.
C’est très probable à la CAF derrière le bureau c’est Ben Basculante le retraité est devant pour demander des aides pour pouvoir survivre
Heu il font quoi les parents ?
Rien