Tout le monde connaît « La Guerre des boutons », film de 1962. Mais à quoi ressemblerait une version tournée en 2022 ?
La question nous est inspirée par un commentaire du 5 août qui raconte une anecdote poignante :
Bonjour Christine (et merci pour RR et RL de Pierre, indispensables désormais pour ne pas se noyer !)
Un mot en passant, une observation, une évidence, un désarroi, une terreur depuis un petit village du Lauragais dans l’Aude, voisin du mien, là où le temps s’est arrêté , là où la France ressemble encore à ses livres d’histoire…
Une famille muzz débarque, dès le lendemain le camion n’est pas encore vide que les nouveaux enfants ont investi la place de la fontaine interdisant aux autres de s’en approcher, avec le soutien des regards menaçants de leurs grands frères.
G. mon ami n’a rien dit (il en rigole feignant l’ironie) sa voisine LGBT militante Hollandaise s’en fout, l’ancien militaire et adjoint de la mairie n’a pas bronché !
Le village est infecté pourtant et rien ne sera plus pareil, en une seule journée sa photo a viré sépia! Et l’indifférence a viré à la lâcheté!
* Commentaire de « Vercingere » à propos de l’article : Google me désactive de “Safe Search”
Rêvons un peu, amis lecteurs : imaginons un instant une version du film « La Guerre des boutons » dans le registre qui nous intéresse, celui de la lutte contre l’islamisation et la conquête islamique :
Synopsis :
Une famille muzz débarque dans un village français. Dès le lendemain le camion n’est pas encore vide que les nouveaux enfants ont investi la place de la fontaine interdisant aux autres de s’en approcher, avec le soutien des regards menaçants de leurs grands frères.
Mais les enfants du village ne vont pas se laisser faire et s’organiser pour riposter, avec l’aide bienveillante de leurs familles qui ne veulent pas se faire grand-remplacer.
Les muz vont bientôt goûter aux joies de la campagne ! Les scènes comiques s’enchaînent et, le vivre-ensemble étant impossible, les envahisseurs finissent par retourner dans leur cité de sauvageons.
Extrait du film de 1962 :
Extrait d’un reportage sur les retrouvailles des acteurs de 1961, le 24 septembre 2011 :
Le vingt-quatre septembre de 2011, vous les enfants de la Guerre des boutons, la « vraie », celle réalisée en 1961 par ce même Yves Robert, rivaux autrefois, copains ensuite, à Armenonville-les-Gâtineaux vous débarquâtes. C’est là dans ce petit village beauceron du département d’Eure-et-Loir que le réalisateur planta sa caméra pour tourner de nombreuses scènes de son adaptation cinématographique du roman de Louis Pergaud ; et qu’en ce premier jour d’automne, les « gosses », ils étaient cités ainsi dans le générique, se sont retrouvés, un demi-siècle plus tard, pour faire une méga teuf comme on dit aujourd’hui ; maintenant que nous sommes grands, nous sommes quand même restés d’jeuns.
Au boulot ! Dans quarante-huit heures, tout doit être prêt. Aujourd’hui, il s’agit de mettre en ordre la classe. Des membres du musée de l’École d’Eure-et-Loir l’ont reconstituée avec du mobilier et des objets de l’époque du film. Des animations ont été proposées aux écoliers de la circonscription durant toute la semaine.
Cela me rappelle bien évidemment le bon temps de l’encre violette. J’ai une pensée soudain pour Pierre Trabaud qui campait avec beaucoup d’humanité, le rôle de l’instituteur, un de ces maîtres d’école admirables qui transmettaient patiemment, au rythme tranquille des saisons, les mêmes connaissances que depuis Jules Ferry, un de ces hussards noirs de la République dont Yves Robert conservait une profonde reconnaissance.
D’ailleurs, à sa sortie, le film eut du mal à démarrer et Yves, pour le promouvoir, trouva alors l’ingénieuse idée d’écrire une lettre à plusieurs milliers d’instituteurs avec le succès que l’on sait.
Comme tout bon enseignant qui se respecte, David et moi mettons une dernière main à la décoration et à l’affichage sur les murs. Nous fixons l’œil-de-bœuf dont les aiguilles ne devaient pas tourner assez vite pour ces gamins avides d’aller en découdre avec les peigne-culs de Velrans. Nous déplions l’immense affiche créée par Raymond Savignac qui trôna au fronton des salles de cinéma, à partir d’avril 1962. Nous couvrons les murs de photographies de plateau. Dans deux jours, la plupart de ces enfants seront ici parmi nous !
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Bravo Jules Ferry pour cette fiction. Ceux de Velrans et de Longeverne se donnant la main pour chasser l’envahisseur. On imagine, p’tit Momo, la gueule en compote, en train de se lamenter : si j’aurais su, j’aurais pas venu.
« Une famille muzz débarque, dès le lendemain le camion n’est pas encore vide que les nouveaux enfants ont investi la place de la fontaine interdisant aux autres de s’en approcher, avec le soutien des regards menaçants de leurs grands frères. » Pour le moment, on ne peut que penser à la fin du refrain de la Marseillaise et préparer la première. Patience.
la guerre des boutons n’aura pas lieu Lebrac de 2022 a apris par la télé et par sont prof gauchiste et peut être aussi LGBT que Mohamed est le nouveau peuple et qu’il ne faut pas l’emmerder
Je plussoie !!! Hélas!!!