Les secrets exclusifs du crash de l’avion ukrainien bourré d’explosifs

Imaginez qu’un avion militaire russe transportant des produits toxiques et des armes interdites s’écrase sur un pays neutre au milieu des maisons. Un charivari s’ensuivrait, orchestré par les hululements des chacals politicards et les glapissements de leurs hyènes médiatiques. Mais comme l’avion est ukrainien, circulez y’a rien à voir !

Les merdias aux ordres se sont une fois de plus surpassés pour travestir la réalité.

Flou artistique et tergiversations

Samedi 16 juillet 2022, dans la soirée, un Antonov 12 fabriqué en Ukraine, mais dont les Russes ont fourni les plans et les usines dans le temps, s’écrase en Grèce.

Ce gros porteur « aurait pu » transporter des armes depuis la Serbie jusqu’au Bangladesh, pays le plus pauvre de la terre oublié par Allah. Plus tard, on parlera de la Jordanie… L’avion « serait » immatriculé en Serbie, le commanditaire « n’avait pas de nationalité bien définie », et l’équipage « pourrait être » ukrainien…

Finalement lundi on apprend que l’avion appartenait à la compagnie ukrainienne Meridian LTD. Et on a confirmation que les huit membres d’équipage étaient ukrainiens. Ils sont tous morts. Une chance pour le Zygomyr, ils ne parleront plus.

Les émanations toxiques autour du lieu du crash « n’ont pu être déterminées ». Il a quand même fallu hospitaliser dimanche plusieurs pompiers victimes de graves difficultés respiratoires. Avec des symptômes atypiques selon les médecins.

On est passés près d’une catastrophe

Des experts de la Commission grecque de l’énergie atomique ont utilisé des drones de l’armée pour s’approcher de l’épave.

En outre, bien que cela ait été d’abord nié, toute la zone du crash a été interdite d’accès en dehors des officiels porteurs de combinaisons NBC (anti-risques nucléaire, biologique, chimique) Et on a assigné à domicile les habitants jusqu’à 12 kilomètres à la ronde. En les obligeant à porter des muselières covidesques. Toujours très tendance, elles ne se démodent pas.

Peur d’avoir une hécatombe à gérer ? Pas envie d’avoir des curieux dans les pattes ? Ou les autorités grecques asservies à l’OTAN comme à l’eurocrature, ont-elles été sermonnées pour occulter un trafic d’armes chimiques officiellement interdites par les traités internationaux ? À moins qu’il ne s’agisse de déchets nucléaires destinés à être utilisés dans des bombes sales ?

Il est aussi permis de se demander ce qu’était cette substance blanchâtre s’échappant de la carcasse de l’avion selon le témoignage fait en direct à la chaîne grecque ERT par le général de pompiers Marios Apostolidis. D’ici à ce qu’on essaie de nous faire croire que l’Antonov transportait du sperme de bouc destiné à un centre d’insémination de chèvres afghanes…

À ce stade de l’enquête, tout est envisageable. Même le pire. Surtout avec  les gouvernants ukrainiens qui sont les rois de la manipulation des médias et de l’enfumage tous azimuts.

En tout cas, si le couvercle des incohérences continue à écraser des bribes d’informations contradictoires, cela constituera une « preuve indirecte » comme on dit dans les procédures criminelles. Car normalement, lors des crash aériens, qui plus est dans des zones habitées, l’enquête sur les causes de l’accident est transparente et confiée à un organisme indépendant.

Un trajet étonnant

L’orthodromie correspond au chemin le plus court entre un point de départ et sa destination, en tenant compte de la rotondité de notre planète. Adoptée pour économiser le carburant. Même si la science coranique enseigne que la terre est plate, les pilotes mahométans intègrent ce calcul dans leurs plans de vol.

Je suis allé sur le site Aéro Training pour y entrer les coordonnées de Belgrade et de Dacca : 44° 49′ 14 » N par 20° 27′ 44 » E et 23° 42′ 00 N par 90° 22′ 30 » E.

Cela m’a paru logique de relier les deux capitales puisque, officiellement, il s’agissait d’un transport tout à fait légal « conforme aux normes internationales ». Des mines de mortier éclairantes, paraît-il. Pourquoi pas des pistolets à bouchons pour les enfants ? Qu’importe, l’arc de grand cercle ne passe pas au-dessus de la Grèce !

On peut m’objecter que cet avion avait prévu de s’arrêter quelque part pour « refueler ». Pour les allergiques au franglais : faire le plein.

La distance est de 3 574 nautiques (6 619 km) et l’autonomie de l’appareil est de l’ordre de 4 000 à 5 500 km selon la charge. En théorie il supporte 20 tonnes de fret. Là, on nous affirme qu’il y en avait 11.

Dans ce cas, pour ne pas dévier de sa route, il eût été logique de s’arrêter dans quelque « station service » d’Arabie ou des Émirats où le carburant est nettement moins cher (0,21 USD le litre de kéro).

Version officielle : un moteur en panne

L’Antonov 12 est un quadrimoteur à turbopropulseurs. Quand on perd un moteur, on peut continuer à voler jusqu’à un aérodrome de secours. Cela expliquerait le déroutement vers Kavala à la frontière gréco-turque. Mais pas les témoignages des gens au sol qui ont vu, entendu et filmé un avion en feu explosant en plein ciel.

Deux hypothèses que les affidés de la pensée unique écartent d’un revers de main : ces maladroits n’ont pas bien arrimé la cargaison, ils n’ont pas respecté les consignes de poids et de centrage, et la marchandise chahutée a fini par détonner sous les chocs.  Ou alors, un ennemi a placé une bombe à bord. À l’examen des témoignages, on a le choix quand on voit cette boule de feu qui n’est pas un OVNI.

 

https://www.youtube.com/watch?v=3nW4EmHminM

En toute hypothèse, il est clair qu’on se complaît dans l’obscurité. Pudiquement, les Grecs ont fait savoir que les secouristes ne pouvaient s’approcher de l’épave en raison du « risque de toxicité de sa cargaison inconnue ».

Les armes devaient sûrement être livrées à une autre adresse

Denys Bohdanovytch, directeur de la compagnie aérienne ukrainienne Meridian, a allumé un contre-feu prématuré. Alors que personne ne lui demandait rien, et surtout pas des journaleux dociles bien dressés à la boucler devant les zotorités, celui-ci a déclaré : « Certains médias ont spéculé sur le fait que l’avion transportait des armes destinées à l’Ukraine, mais c’est totalement faux ». Étrange empressement à se défendre alors qu’on ne l’accusait de rien…

Pourtant, après les premières explosions en vol qui ont précipité la chute de l’ appareil en flammes dont le pilote avait demandé la permission d’atterrir d’urgence à Kavala, des déflagrations violentes en série se sont succédé à intervalles réguliers à l’intérieur de l’épave pendant plusieurs heures. Rien qui ressemble aux effets du carburant enflammé comme on a essayé de le faire croire.

Autre élément qui interpelle : dans les heures qui ont suivi l’annonce bidonnée du « crash en Grèce d’un avion serbe (!) suite à une panne moteur », sans dire ce qu’il transportait, Twitter, le parangon de la liberté d’expression, escamotait des posts évoquant les explosions et la nationalité réelle de l’appareil et de l’équipage.

Jusqu’à ce que, confrontés à des vidéos prises avant, pendant et après le crash, des médias main stream lâchent au compte-gouttes des informations plus proches de la réalité observée… À la suite de quoi Twitter s’alignait sur ses maîtres penseurs. Bon petit soldat du NWO.

Elon, si tu me lis, profite de ce bidonnage pour faire encore baisser le prix de ce canard boiteux peint en bleu !

La destination finale n’était probablement pas Dacca mais quelque groupuscule de mercenaires que le Zygomyr pourrait désavouer s’il apparaissait qu’ils ont usé contre les Russes d’armes prohibées… pour ensuite leur en attribuer la paternité. Un grand classique de la désinformation, plusieurs fois utilisé par le Zygomyr et répercuté avec gourmandise par ses alliés occidentaux corrompus.

Signer un manifeste relativement passe-partout, en tout cas d’apparence légale, puis en cours de route, dévier vers de discrets terrains relais, délivrer les marchandises et repartir vers une destination fantôme, est un grand classique des trafiquants d’armes, de drogues, d’or et de diamants.

Les réseaux de la mafia ukrainienne sont des virtuoses de ces pratiques sur lesquelles on a ordre de fermer les yeux. Puisque c’est « pour la bonne cause ».

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

 

https://ripostelaique.com/les-secrets-exclusifs-du-crash-de-lavion-ukrainien-bourre-dexplosifs.html

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4 Commentaires

  1. Ça vole pas haut un article pareil. Les fameux secrets sont où ? Et les preuves ?

  2. Cet avion s’est craché et les autres sont passés !Evidemment que c’est du trafic d’armes de l’ue !

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