Un bel exemple de viol psychique : le rap…

Hier matin, notre ami Edmond nous a expliqué son concept de “viol psychique” :

https://resistancerepublicaine.com/2022/07/12/ne-laissez-personne-vous-violer-psychiquement-ni-violer-psychiquement-un-enfant/

Il se trouve qu’en furetant un peu sur la Toile, je suis tombé sur une vidéo d’hier  du “Lapin du Futur” qui illustre à merveille, je crois, ce concept de “viol psychique”.

La vidéo est assez parlante, je la résume cependant.

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Il s’agit d’une petite jeune fille,  à l’air innocent, de 12-14  ans qui, interrogée, par Kombini (!)  sur son choix pour remplacer la Marseillaise,  cite un rap dont “Lapin du Futur” donne le texte.

Edifiant, si l’on peut dire : je laisse nos lecteurs découvrir ce “texte”.

Bien entendu les racailles applaudissent à ce choix.

Qui  sont les parents, incapables d’enseigner ce Vrai, ce Bien et ce Beau qui sont aux fondements de notre civilisation depuis 2500 ans ?

Quels sont les parents qui acceptent que leur enfant se roule dans l’ordure  et soit l’objet d’un “viol psychique” ?

Il est vrai que leur tâche est très  difficile en 2022 : tout conspire contre notre  idéal  civilisationnel dans notre société, de Netflix au Service Public …

La vidéo en question :

 

 

 

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34 Commentaires

  1. Le rap n’est rien d’autre qu’une machine de guerre pour détruire la civilisation occidentale…une arme parmi d’autres.

  2. Je ne sais pas où ils entendent “toute cette merde”; à l’école peut-être ?
    C’est là que commence le Grand Endoctrinement.
    Et la petite ne comprend même pas ce qu’elle récite, on y sent la touche de l’enseignante gauchiasse.

  3. Le Rap est issue des ghetto américains, ce ne sont pas des chanteurs, mais des gens qui racontent en rime leur souffrance, et ciblant leurs oppresseurs. Chez nous c’est devenu la musique de l’immigration qui raconte ses souffrances de leur pays d’origine en voulant expliquer que c’est notre société qui la produit. Non la France d’avant l’immigration massive, c’était l’époque des chansons d’amour, de l’émancipation des femmes… que de l’Amour… On écoute la musique qui fait écho avec ce qui nous concerne, avec ce que l’on est… J’ai écouté une seule chanson rap de ma vie, pour comprendre que je n’avais plus à faire entrer ces sons et ces textes dans mes oreiles

    • Les chansons françaises sont dans l’ensemble, plutôt fleur bleue, romantiques, elles chantent l’amour ou les chagrins d’amour.
      Cette saloperie de rap exprime la violence et la haine.
      On devrait les interdire, je suis étonné que des parents ne surveillent pas mieux leurs gosses.
      La plupart du temps des appels au meurtre, des incitations à la destruction etc. donc si “on” se permet de dissoudre GI qui n’a fait de mal à personne, ON devrait s’intéresser de plus près à ces brûlots de séparatisme et de troubles à l’ordre public.

      • En effet, il faudrait interdire cette propagande haineuse qui pollue les esprits et fabrique de la violence réelle. Il faudrait demander à Rima Abdul si les appels à la haine et les textes rap sont une bonne chose pour la santé mentale des français, ou si c’est un moyen pour faire en sorte que la violence deviennent réelle en France… et que compte elle faire…. Si elle ne répond pas, elle ne sert à rien à ce poste

      • Il va falloir mettre en pratique les conseils de sako. Le karscher, mais avec du pétrol à la place de l’eau une une allumette au bout. On dit que le feu purifie tout. Ben je crois qu’il est temps de le vérifier.
        Puisque tous ces connards aiment bioen foutre le feu, eh bien allons-y gaiement. Et pas de quartier. Déjà les flics qui se font canarder devraient tirer sans sommation.

  4. @Antiisllam (excusez-moi, il faut scinder les commentaires…)

    Même le viol physique est actuellement instrumentalisé car un simple attouchement déviant est considéré comme un viol. Je crois qu’on ne sait plus où est la limite et l’équilibre. Pas pour rien peut-être, ce serait à étudier, qu’actuellement on nous préconise la “distanciation” physique avec autrui.

    L’imaginaire collectif a beaucoup d’imagination… et actuellement, de façon perverse, le mot “est” la chose, cela ne fonctionne pas comme cela le mot étant un signifiant pour une personne, et cette instrumentalisation fait concrètement des dégâts dans notre société, on le constate.

    Les “prêt à porter” psychiques (les gens en sont généralement très demandeurs) ne sont pas fonctionnels (ce ne sont que des repères que l’on accepte ou pas pour soi) et peuvent être dangereux pour quelqu’un de fragile et en recherche de repères. Mais pas que, il suffit d’avoir en face quelqu’un qui se met en position de Savoir et cela marche bien souvent. Le seul lieu où l’on peut trouver des repères qui nous conviennent est “soi” et son monde intérieur.

    • Bonjour,

      Et merci Amélie pour votre retour.

      Oui, vous avez raison.

      Mais proposer ce genre de textes à de petites intelligences ???

      Je me souviens qu’à cet âge, ma professeur de cinquième, au lycée, nous avait donné à apprendre par coeur, en poésie, “la chanson pour l’Auvergnat”.

      C’était en 69 : rien que le nom de Brassens pour des jeunes, à l’époque c’était encore osé.

      Quelle beauté que ce texte : on mesure, quand même, la pente que nous avons descendue …

      • Merci Antiislam,

        Parfaitement d’accord avec vous ! Quand j’entends même des journalistes à la TV se laissant aller à un langage des rues cela me dérange.

        Le respect, la finesse d’esprit et de corps et la beauté, etc… d’abord, ensuite on en fait ce que l’on veut mais cela doit être et rester un “repère” dans une société même si l’on sait que la vie ce n’est pas que ça mais cela donne envie de s'”élever” (parcours interdit actuellement !).

        Je crois qu’actuellement, on ne se rend pas compte à quel point on fabrique des repères “symboliques” complètement délétères voire malsains qui sont des portes ouvertes à des dérives voire à la décadence de nos sociétés (je ne parle pas du “concret” qui ne devient repère que pour certains comme je l’ai dit qui y trouvent un sens personnel).

    • Bonjour Amélie
      Notre société en grande mutation, notre société technologique hyper communicante où tout est échangé, et même surenchéri émotionnellement, où la vie privée n’est plus privée, une société devenu contrôlante et contrôlée, où les uns et les autres se jugent sans retenu même n’ayant aucune connaissance ou expérience sur ce qu’ils jugent… Je pense que le trop de communication nuit à la bonne communication de qualité et cet excès pour rester soi-même mène les gens comme vous le dites à revenir à soi-même pour être dans son monde intérieur afin de ne pas être happé par celui de la société qui a beaucoup de négatif, produit beaucoup de violence, et où rien ne change réellement..

      • Je suis tout à fait d’accord avec votre commentaire. On n’a jamais autant “communiqué” mais les gens n’ont jamais été aussi seuls intérieurement et perdus à tel point qu’ils adhèrent à n’importe quoi qui serait susceptible de faire “repère”…. D’où les dérives car il n’y a plus de gouvernail, de ligne de conduite même si, “être” humain, est aussi l’éprouver pour y trouver son propre sens. Sens dans l’individualité mais aussi sens “collectif” qui est largement ignoré actuellement ! Qui se pose cette question importante pour savoir “où” l’on va, pas forcément aujourd’hui mais demain, quand on constate les opinions avancées de certains sur des sujets sociétaux dans l’évidence inquiétants voire déviants ?

        Communiquer n’est pas “être” forcément dans la relation, il y a toujours une part qui nous échappe de l’Autre mais ça crée l’illusion d’être en lien, et l’Homme a un instinct grégaire. Cependant, trop de communication n’est finalement que du “remplissage” le plus souvent superficiel à ce que l’on voit aujourd’hui.

        “Parler pour ne rien dire” ?

        • Oh oui Amélie, c’est très juste que l’hyper-communication est la plupart du temps du remplissage très mentalisé et contrôlant. La communication du coeur est efficace, libre et non contrôlante… Et comme vous l’aviez évoqué, pour exister et avoir de l’influence sur le collectif il faut que l’on fasse parler de soi. C’est ce que font les musuls, ils n’arrêtent jamais de faire parler d’eux, même s’il commettent des horreurs, cela fait écho chez beaucoup de gens qui s’identifient à cela, mêmes aux horreurs qu’ils font, avec une philosophie de vie du 7 èpe siècle. Et c’est cette hyper communication qui les sert complètement au lieu de l’inverse, elle sert leur communautarisme et amplifient leur influence partout où ils sont… Pour l’avenir je ne vois pas de changement tant qu’il n’est pas mené par nos dirigeants en premier, donc un changement dans les urnes. En fait c’est l’Europe qui veut tout cela…qu’elle garde une main mise sur les pays, pour qu’ils ne soient pas dirigés par des nationaux.. mais que par des européistes. C’est pourquoi la bande à Macron insulte MlP à tour de bras, sans retenue..

          Amélie j’aime bien vos commentaires

      • Bonjour @Laury Fernand,

        Voir mon commentaire en réponse au vôtre, oubli de marquer votre pseudo.

  5. @Antiislam,

    Ce ne sont “que” des mots. D’ailleurs intéressant, car c’est une occasion de les faire “éprouver” émotionnellement la limite et le sens de ce qu’ils disent en leur en parlant. Un mot devient alors un “signifiant” dans l’ensemble de ce qu’il a construit de lui-même en rapport avec son environnement et là, c’est constructif, la vie est faite de positif et négatif et il est important de lui en faire prendre conscience. Ainsi, ce n’est pas parce qu’un enfant voit de la violence à la TV qu’il va reproduire, les motivations sont bien plus subtiles que cela.

    La relation est faite avant tout d'”authenticité” et de “spontanéité” car cela introduit l’Autre différent dans l’imaginaire de l’enfant et il peut se situer dans son univers relationnel. L’enfant ne s’y trompe pas, ce sont les émotions qui accompagnent qui comptent, tout comme l’adulte d’ailleurs (on sent” si cela sonne faux ou pas et celui qui s’y laisse prendre, c’est qu’il y a une résonance avec sa propre problématique et l’image qu’il en a).

  6. Bonjour @Antiislam,

    On n’a pas fini si on parle de “viol” à tout bout de chant. Si l’on se réfère à ce concept il s’agit d’une “pénétration”, alors toute éducation serait “viol” mais seulement si les enfants étaient des robots idiots qui reçoivent sans critiques et l’appliquent. Ils ont plus de recul qu’on ne le pense.

    Dans la video, on constate qu’ils répètent ce qu’ils entendent visiblement partout et ailleurs (il n’y a pas que les parents, même les journalistes se lâchent avec des mots pas très “catholiques” à la TV). Maintenant, quid de leur “conceptualisation” (un peu jeunes là !) ? De leur intégration psychique (le véritable sens pour lui-même) des mots qu’ils emploient ?

  7. appeler ça de la musique c’est se moquer du monde : mais elle est bien du niveau mental et du vide abyssal de ceux qui la pratiquent : violente et puante elle n’est jamais condamnée : imaginons un groupe de “droite” qui dirait de pareilles horreurs, il y a longtemps qu’il serait dissout sans discussion sous les applaudissements des bien pensants

  8. Sous prétexte de liberté d’expression, le RAP fait beaucoup de mal en France.

  9. Enchanté de voir que mon article réveille des consciences: Le Rap sévit depuis au moins 20 ans avec une violence haineuse incroyable qui devraient conduire les rappeurs auteurs de ces ignominies immédiatement en taule!!!

  10. Ces gosses ne sont et ne seront jamais les miens, et ne parleront jamais au nom des miens!!!

  11. Il fait quoi encore en France ce rappeur de merde. Quels sont les juges pourris qui tolèrent que ce parasite reste en France. Des collabos bien gauchos c’est sur.

  12. phonétiquement “rap” c’est réellement VIOL en anglais, donc en langage mondial et mondialiste.

    • Il y a peut-être confusion pour les “inventeurs” du “rap”, mais ce sont deux mots différents et leur prononciation est différente:
      1. rape (français “ravir”/ latin rapere) = violer
      2. rap (vieil anglais “rappen”/ Scandinave “rappa”) = frapper

    • Non viol = rape (prononcer raie-ippe)
      Le rap n’est pas le problème, c’est ceux qui le font. Il y a des rappeurs en Corée, ils ne parlent pas de décapiter des kouffars que je sache.

    • L’origine du mot RAP, issue de la communauté noire américaine populaire signifie “Rage Against Police”.
      Voila vous savez tout.

    • Normal, les paroles sont des parangons de perversion (oxymore j’en suis consciente,mais on vit le monde à l’envers !).

    • @Baba

      “phonétiquement « rap » c’est réellement VIOL en anglais”

      Normal, les paroles sont des parangons de perversion (oxymore j’en suis consciente,mais on vit le monde à l’envers !).

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