Il y a quelques années, une pâtisserie « Mamadou » avait suscité la polémique, le boulanger l’ayant faite étant obligé de la retirer de la vente…
Les gâteaux « tête de nègre » ont disparu de la circulation, pourchassés par le « wokisme avant l’heure »…
Rhône : une pâtisserie « Mamadou » fait polémique, le boulanger la retire de la vente
Un boulanger du Rhône a dû retirer de sa vitrine une pâtisserie appelée « Mamadou ». La polémique enflait sur les réseaux sociaux. Le boulanger a présenté ses excuses sur les réseaux sociaux.
Un gâteau au chocolat en forme de visage d’homme noir grossièrement caricaturé. Voilà le gâteau que vendait une pâtisserie une Rhône. Nom du gâteau : « Mamadou ». Cette pâtisserie, communément appelée « tête de nègre » était vendue à 2,70€.
Déjà à l’époque, en 2019, les réseaux sociaux faisaient la loi, comme dans l’affaire récente du « blackface » de Poitiers…
https://www.centre-presse.fr/article-857692-poitiers-de-nouveaux-soutiens-apres-le-black-face.html
La bien-pensance, le prétendu antiracisme ne laissent place à aucune créativité, rejetant tant l’humour que la créativité, l’originalité et la liberté de disposer de son corps, la liberté du commerce.
En revanche, pas de souci semble-t-il pour le « gâteau de divorce » que certaines dames font réaliser pour représenter la mort symbolique de leur époux.
Quelle idée satanique que de faire concevoir un tel gâteau, inverse du gâteau de mariage, en exigeant une « création très sanguinolante »…
Gâteau de divorce (suite) : la création sanguinolente d’un pâtissier charentais
« La cliente a insisté sur la quantité de sang », se souvient Simon Hardy, aujourd’hui responsable pâtisserie au Leclerc de Lunesse, à Angoulême.Mélany Merazga, la pâtissière du Coin des douceurs, rue de Paris, à Angoulême, a fait le buzz, mardi et mercredi, sur le site internet et le compte Facebook de Charente Libre. L’image de son « gâteau de divorce » réalisé à la demande d’une cliente heureuse d’être redevenue célibataire, a collecté un maximum de clics et de commentaires.
C’est là une dérive inquiétante de l’esprit woke mondialiste. La chasse à l’homme conduit déjà à une forme de séparatisme social, les femmes étant invitées à se méfier de l’homme comme du loup et finalement à pratiquer des gynécées à ciel ouvert, comme en Arabie saoudite. Les femmes en seront finalement réduites à se ranger derrière un clan familial qui choisira pour elles leur époux tant les hommes leur font peur dans la mentalité woke.
Quant aux hommes, las d’être persécutés comme des criminels et violeurs potentiels, ils risquent d’être tentés par la conversion à un islam qui leur promet la soumission féminine. Ce gâteau n’est-il pas une forme d’incitation à se convertir ?
A moins que ce soit une incitation à l’homosexualité aussi finalement.
Remarquons encore que c’est l’homme blanc qui meurt dans cette représentation. Le pâtissier aurait-il accepté de représenté un « ex » noir ? Les associations antiracisme n’auraient-elles pas crié au scandale ?
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c’est un déjeuner un gouter délicieux banania baanania dans un village en Dordogne ils faisaient des queues de curé, c’était bon.
Le gâteau appelé « tête de nègre », était un gâteau rond, gros comme une pomme, recouvert de chocolat noir, dur, et contenant à l’intérieur un crémeux blanc.
Le pâtissier de mon village le réalisait bien.
Merci pour cet article. Quelle déchéance, pas d’autres mots…
P. S. : Toutes les femmes ne sont pas dans cette logique fort heureusement et j’adorais le dessert appelé « Nègre en chemise » de ma grand-mère, je n’ai même jamais pensé à une personne à la peau noire en le mangeant… mais maintenant, on sera obligé d’y penser (mais sans idées dégradantes je précise, cette idée étant juste dans leurs fantasmes).
Finalement, ils produisent l’inverse de leur morale à deux sous car certains vont développer au contraire le négatif qu’ils imaginent avec malheureusement la violence et la haine l’accompagne, en un mot le racisme pour une « couleur de peau » (ce qui est le véritable racisme, comme lorsque l’on critique des « blancs » juste pour leur couleur de peau).
Le problème, ce sont les gens qui acceptent de faire des « excuses » ….
De même que dans un bar, on ne peut plus demander un ptit noir!
Claude, oui mais dans un bar un noir peut demander un blanc.
https://www.youtube.com/watch?v=780PUiofpl4
Fernand Raynaud » le raciste »
Un ex noir, sûrement pas. Après avoir tué son mari, elle c’est jetée dans les bras d’un coloré, c’est la mode.
Mon ex femme (on était pas marié) c’est trouvé un algérien, elle prend des coups, et est rejetée par la famille du cafard, mais elle reste avec. Nos enfants, un garçon et une fille ne lui parle plus depuis. Son père était mitérantiste et pour l’invasion. Était car il est mort.
Vu à la télé 2 hommes maghrébins témoigner chacun avoir été très amoureux d’une femme non musulmane mère célibataire mais avoir finalement renoncé à se marier et avoir rompu parce que leur mère leur interdisait d’introduire dans leur famille islamique l’enfant d’un autre. J’étais sidérée qu’adultes ils obéissent à leur mère partisane d’une doctrine étroite d’esprit à ce point et sans cœur. Rien n’est bon dans l’islam.
Oui je connais ces situations, au Maghreb, dans l’idéologie générale, le garçon est très proche de la mère (ce qui a tendance à favoriser la peur de la « F »emme…), et il doit se soumettre à la Famille. Pas mieux pour la fille….
Ce qui explique que certains doivent adresser l’argent gagné en France à leur famille restée « là-bas » avec un fort vécu de culpabilité si ils n’y souscrivent pas sur fond d’un sentiment d’abandon interdit.
C’est la « transmission » dans tous les sens du terme (pas que génétique) où l’individu doit s’effacer au profit du Collectif. Un psychiatre maghrébin avait écrit un article à ce sujet montrant la souffrance de cette population rencontrée en psychiatrie dans une difficulté à se penser en tant qu’individu avec un désir « propre ».
On voit cela dans beaucoup de cultures qui mettent l’accent le plus fort sur le Collectif, d’où de gros problèmes au niveau de la capacité à l’autonomie que l’on peut constater le plus souvent.
Difficile de penser une individualité dans un telle contexte sauf à s’en démarquer voire complètement, ce qui n’est pas simple.