Accusé de tentative de meurtre sur des policiers : “Je lis le Coran tous les jours – c’est mon livre”.

Les  trois hommes issus de l’immigration accusés d’avoir participé aux attaques en lien avec le  Coran brûlé à Linköping, Suède. Le troisième est en capuche, au premier plan, sur la photo de gauche. 

La Suède est transparente, la police communique des éléments très instructifs : la police donne accès à la presse aux photos non floutées des accusés, aux transcriptions, aux interrogatoires et aux comptes-rendus. On a donc accès à des photos des accusés en garde à vue et des détails impensables en France (preuves sous scellés, armes des crimes…).

L’ information existe donc, elle est mise à la portée du public par quelques médias alternatifs. Malheureusement, les médias subventionnés distillent massivement leur propagande sur  le vivre-ensemble, entretenant l’illusion que l’islam va un jour finir par accepter la culture occidentale.  

C’est ignorer la nature de l’islam : une société islamique ressemble à une société de guerriers. Il est évident que ce n’est pas une société civile. C’est une société en guerre avec tous ses voisins. C’est une société toujours en mode d’urgence.

Ils nous haïssent parce qu’ils pensent que notre existence même est mauvaise, parce que nous suivons la mauvaise religion, parce que nous adorons les mauvais dieux, parce que nous “vivons dans le péché” parce que nous sommes des Occidentaux. Leur haine n’est pas individuelle. Elle est morale, religieuse et collective.

Leur vérité est dans le Coran : “Je lis le Coran tous les jours – c’est mon livre”.

Tout projet de “coexistence” ne devrait pas se contenter de traiter les conflits que les deux communautés, occidentale et musulmane, rencontrent l’une avec l’autre. Toute tentative de ce type devrait s’attaquer à la théologie islamique elle-même, car c’est là que se trouvent les racines de l’intolérance.

Enfin, cette immigration est une impasse juridique : les criminels naturalisés ne peuvent pas être expulsés et restent à la charge du pays d’accueil.

Mercredi,  des poursuites ont été engagées contre trois hommes issus de l’immigration, accusés d’avoir participé aux attaques en lien avec le  Coran brûlé à Linköping, action du militant anti-islam Rasmus Paludan qui brûle le Coran, le trempe dans du sang de cochon ou montre des caricatures pour dénoncer l’islamisation. 

Paludan organisant un concours de caricatures 

 

L’un des accusés justifie la tentative d’assassinat de policiers en disant qu’il lit le Coran tous les jours et que c’est “son” livre.

Tous les suspects sont accusés d’attaques aggravées contre la police mais nient le crime. L’acte d’accusation du tribunal de district de Linköping indique que les trois migrants ont “jeté un grand nombre de pierres sur des véhicules et des agents de police à plusieurs reprises et en divers endroits de Skäggetorp”.

Un grand nombre de vidéos ont été publiées sur les réseaux sociaux en rapport avec les émeutes de Skäggetorp – elles montrent notamment comment des bandes masquées ont pillé des voitures de police. Au total, 25 policiers ont été blessés au cours des émeutes.

Syrien

L’un des accusés est Moulham Abo Gamous, 21 ans. Il est né à Damas, la capitale de la Syrie, mais est arrivé en Suède en 2013 avec ses parents. Il est devenu citoyen suédois moins de deux ans plus tard.

Moulham Abo Gamous. Photo : police

Abo Gamous a déjà été condamné pour vol  et violences.

Lors des interrogatoires de police, Abo Gamous nie être celui que l’on voit sur les photos des attaques. Il dit que la police peut inventer n’importe quoi avec des photos. En outre, il souhaite que “les premiers ministres changent la loi” pour interdire de brûler le Coran en Suède.

Moulham Abo Gamous porte un foulard de la Palestine et un casque de moto. Photo : police

“Syrien “apatride

Le deuxième accusé est Husein Khaled Husein, 19 ans. Il serait également né à Damas, serait arrivé en Suède avec sa famille via le Liban pendant la crise des réfugiés et serait enregistré en Suède depuis septembre 2017.

Husein Khaled Husein a obtenu la nationalité suédoise en octobre 2019. Il s’agit probablement aussi d’un citoyen syrien, mais les autorités suédoises ne sont pas tout à fait sûres de son identité. Il a donc été classé comme “apatride” jusqu’à ce qu’il obtienne la nationalité suédoise.

Husein Khaled. Photo : police

Lors des interrogatoires de police, Husein Khaled a besoin d’un interprète en arabe. Husein Khaled se défend en disant que les policiers l’ont troublé et que cela l’a amené à “se sentir mentalement malade”.

Mais des images de véhicules de police et de drones montrent que Khaled a pris part aux émeutes.

Husein Khaled. Photo : police
Husein Khaled. Photo : police

Bosniaque du Kosovo

Le troisième accusé est Elvedin Emini, 26 ans. Parmi les personnes arrêtées dans le cadre des violences contre Rasmus Paludan qui a brûlé le Coran, il est l’un des rares à être né en Suède. Les parents d’Emini sont arrivés en Suède en provenance de l’ex-Yougoslavie pendant les guerres de Yougoslavie. Son père est originaire de Pristina au Kosovo et sa mère de Sarajevo en Bosnie.

 

Elvedin Emini. Photo : police

Elvedin Emini a un historique de nombreuses condamnations. À l’âge de 17 ans, il a commis des violences et des voies de fait sur un fonctionnaire lorsqu’il a menacé et frappé un chauffeur de bus qui lui demandait s’il avait un ticket de bus.

Dans les interrogatoires de la police, Emini déclare que “bien sûr, les gens réagissent comme ça” et que les attaques contre la police peuvent être tolérées si on autorise de brûler le Coran. Il justifie également ses actions violentes en disant qu’il lit le Coran tous les jours et que c’est “son livre” (propos soulignés en rouge ci-dessous).

 

Elvedin Emini. Photo : police

Personne ne peut être expulsé. Ils resteront tous en Suède. 

Les trois accusés sont désormais des citoyens suédois et aucun d’entre eux ne peut être expulsé.

Source : https://samnytt.se/

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11 Commentaires

  1. Quand on veut naturaliser des raclures de bidet et qu’on s’imagine qu’avec une nationalité sur papier, la raclure va se transformer en bon citoyen, on n’a que ce qu’on mérite.

  2. Et il fait ce qui est écrit dans ce merveilleux ouvrage : il nous égorge, nous les incroyants ! Et nos collabos corrompus d’importer à plein bateaux de telles raclures !

  3. Le coran pourrait être d’utilité publique s’il était imprimé en rouleau de pure ouate de cellulose. Comme dirait Henri Jeanson, on pourrait le parcourir d’un derrière distrait…

  4. Brûler le coran est probablement l’acte le plus démocratique qui soit, on montre ainsi que la religion n’est qu’une croyance et non une vérité, ainsi rendons à César ce qui lui appartient, la religion n’a rien à faire en politique et dans la vie de la cité, si ces gens ne comprennent pas cette réalité, qu’ils partent.

    • Faut-il que les fondements de leur foi soient fragiles ! Un chrétien va-t-il se trouver mal si un nigaud brûle le NT ? Il haussera les épaules de pitié devant la niaiserie du geste.

      • Il y a en effet une fragilité dans la foi musulmane qui vient de son totalitarisme et de ses interdits, il est en effet difficile d adhérer complètement à une doctrine qui vous contraint et vous menace de mort.

  5. Le coran est bien une fabrique de dégénérés. Une raison de plus d’interdire ce bouquin en France et aussi dans toute l’Europe.

  6. S’ils ne peuvent être expulsés ils doivent être traités avec le bon médicament.

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