Il y a 2 ans Macron disait, à juste titre qu’il n’y avait aucune raison de mettre le droit à l’IVG dans la Constitution, ce droit n’étant en rien menacé en France !
Et voilà que, sous prétexte qu’aux Etats-Unis, la Cour suprême a donné le droit à chaque Etat de légiférer sur l’avortement, il faudrait qu’en France on noyaute à jamais le sujet, qu’on interdise à jamais à nos descendants de changer d’avis en gravant dans le marbre (i.e en inscrivant ce droit dans la Constitution) le droit à l’IGV.
Inquiétant…
Je suis quant à moi pour le droit à l’IGV à condition que ce soit exceptionnel, à condition que l’IVG ne remplace pas la contraception qui existe en France et qui est gratuite. L’IVG ne devrait donc concerner que les femmes avec des contre-indications de contraception, celles qui, sans histoire amoureuse, n’ont pas de contraception et, à la suite d’une rencontre d’un soir imprévue se retrouvent enceintes et, bien sûr, les violées.
La loi actuelle est largement suffisante ou plutôt elle est déjà bien trop laxiste avec les 14 semaines et même l’avortement-assassin à 36 semainees…
Eh bien, pour le dégénéré Macron qui n’a qu’une envie, c’est qu’on disparaisse…. ça ne suffit toujours pas.
Ou plutôt… il y voit vraisemblablement l’occasion de faire 2 coups politiques.
-le premier c’est d’obéir aux demandes hystériques sur le sujet de la Nupes... histoire d’attendre des gauchos un échange de bons procédés sur un autre sujet. Avec Macron tout est calcul, tout est manipulation. Le Diable incarné.
-Le second c’est que l’arrivée de Zemmour et le relatif échec de Macron aux législatives lui ont fait comprendre qu’il ne serait pas éternellement aux manettes et que d’autres pourraient refaire ce qu’il s’emploie à défaire/détruire depuis plus de 5 ans. D’où cette idée de rendre pérennes, sacrés, indéboulonnables… un certain nombre de principes auxquels tiennent les mondialistes, dont l’IVG qui incarne la liberté absolue de la femme mais aussi la possible disparition de la famille, si haïe de Macron.
Enfin, une 3ème bonne raison, c’est que, si l’on est obligés de réunir Sénat et Assemblée en Congrés en Versailles, il faudra les 3/5èmes des voix pour que les modifications soient actées. Nul doute que Macron pense déjà à ajouter au droit à l’IVG d’autres saloperies pour nous interdire de redevenir indépendants, de dire merde à l’UE, de dire merde à l’OMS… j’en passe et des meilleures. Et cette conne de Marine qui, pour se faire bien voir pour paraître moderne et pas d’extrême-droite dit ne pas y être opposée !!!!!
Ainsi on peut penser que, paradoxalement, alors que Eric Zemmour avait prévu de nous consulter par referendum pour que les lois votées par les Français l’emportent sur les lois européennes, les traités internationaux etc. Macron pense à graver dans le marbre constitutionnel que… les lois françaises doivent, à jamais, s’effacer devant celles édictées par l’UE, par l’OMS, par la CEDH, par le traité de Marrakech et compagnie.
L’immonde Macron, même dépourvu de la majorité absolue, va jouer des alliances et des haines, des obsessions des uns et de la dégénérescence des autres pour continuer à nous faire disparaître.
Après la décision de la Cour suprême américaine sur le droit à l’avortement, le parti macroniste préconise de faire entrer le droit à l’IVG dans la Constitution. En 2018, les députés de la majorité s’y étaient opposés.
La décision de la Cour suprême américaine de redonner aux Etats la liberté de légiférer sur l’avortement a provoqué un tollé en France, et poussé à des initiatives parlementaires alors même que la remise en question de ce droit n’est aucunement dans le débat public.
Il n’est nul besoin de brandir des peurs relatives à ce qui passe dans d’autres pays
Le parti macroniste, par le biais de sa nouvelle présidente de groupe à l’Assemblée Aurore Bergé, a ainsi annoncé une proposition de révision constitutionnelle pour inscrire «le respect de l’IVG» dans la Constitution. Le projet, soutenu par le Premier ministre Elisabeth Borne, avait pourtant déjà été formulé par des parlementaires LFI et UDI-Agir lors de la dernière législature en 2018… et avait été refusé par LREM au motif que ce droit n’était pas remis en cause en France.
«Il n’est nul besoin de brandir des peurs relatives à ce qui passe dans d’autres pays pour estimer que ces droit seraient menacés dans le nôtre, ça n’est absolument pas le cas aujourd’hui, rien ne vous permet de l’affirmer», avait fait valoir Yaël Braun-Pivet, la co-rapporteur du texte à l’époque, qui est appelée à prendre la présidence de l’Assemblée nationale le 28 juin prochain.
Bayrou sur la ligne LREM de 2018
Exhumée, la vidéo de cette déclaration dans l’Hémicycle a fait grand bruit au regard de la proposition des macronistes, montrant leur spectaculaire revirement sur la question. Toutefois parmi les alliés du parti présidentiel, ce revirement ne fait pas toujours consensus. François Bayrou, le patron du MoDem a ainsi estimé que la procédure était lourde pour un droit qui n’est pas plus menacé aujourd’hui en France qu’en 2018, reprenant l’argument défendu par LREM il y a quatre ans.
«Est-ce qu’il est bon, est-ce qu’il est utile de faire ça, alors même que, à ma connaissance, aucun courant politique ne remet en cause la loi Veil ?» de 1975 qui a autorisé l’avortement en France, a déclaré le chef centriste le 16 juin.
«C’est quand même surprenant que ce soit ce qui se passe aux Etats-Unis […] qui entraîne un certain nombre de réactions effervescentes dans la vie politique française», a poursuivi François Bayrou, qui n’est «pas pour qu’on décalque la vie politique américaine».
Une révision constitutionnelle nécessite l’adoption du même texte par l’Assemblée et le Sénat, puis elle doit être approuvée par référendum. Autre option : si la révision a été initiée par l’exécutif, ou reprise par lui, le texte doit aussi être validé par les deux chambres mais peut être soumis au Parlement réuni en Congrès, qui doit le voter à une majorité des 3/5e des suffrages exprimés.
La gauche revient à la charge
De son côté l’alliance de gauche Nupes à l’Assemblée compte bien faire avancer ce projet, et demande un texte commun, dans un contexte où le président de la République cherche des appuis pour consolider sa majorité relative dans la chambre basse.
«Nous proposons le dépôt d’un texte commun à l’ensemble des groupes parlementaires qui le souhaitent pour protéger ce droit fondamental en l’inscrivant dans la Constitution dans les plus brefs délais», ont déclaré les présidents des groupes de la Nupes dans un communiqué commun.
Marine Le Pen n’exclut pas de soutenir la proposition
Si de fait, aucun parti représenté à l’Assemblée nationale n’est hostile à l’IVG, et que Marine Le Pen elle même n’a pas exclu de soutenir la proposition, le JDD a tout de même listé plusieurs élus de son groupe ayant ouvertement critiqué l’avortement.
Non à la culture de la mort, oui à la vie
C’est le cas de Catherine Parmentier, députée du Pas-de-Calais, qui fut longtemps rédactrice pour le quotidien catholique traditionaliste Présent dans lequel elle a écrit en 2018 qu’«après avoir « génocidé » les enfants français à raison de 200 000 par an [le nombre d’avortement en France], on doit maintenant les remplacer à tour de bras par les migrants». Le député du Vaucluse Hervé de Lépinau avait lui estimé sur Twitter en 2020 que l’avortement était un acte «intrinsèquement mauvais». «Hommage aux millions de victimes de l’avortement. Non à la culture de la mort, oui à la vie», avait-il encore écrit en 2014 lors des 40 ans de la loi Veil.
Le député RN de la Haute-Marne, Christophe Bentz, avait quant à lui estimé en 2011 que «l’avortement est un génocide de masse» et la députée du Var Laure Lavalette avait signé en 2014 un texte demandant à «abroger, à terme, le droit à l’avortement».
Le cofondateur et chef historique du FN, Jean-Marie Le Pen (exclu en 2015) était un adversaire convaincu de l’IVG : «Je considère que la légalisation de l’avortement a été une régression de plusieurs siècles et peut-être de plusieurs millénaires», expliquait-il dans l’émission L’Heure de vérité (Antenne 2) du 13 février 1984, affirmant qu’un enfant n’a d’existence légale qu’à partir de sa naissance et non lorsqu’il est à l’état de fœtus, au contraire de la loi romaine. «Je ne reconnais pour ma part pas le droit de tuer l’avenir dans la personne des enfants», avait-il ajouté. Il y voyait également un problème démographique et une remise en question fondamentale de la famille.
Son programme pour la présidentielle de 2002 faisait encore figurer l’abrogation des lois encadrant l’IVG. Marine Le Pen, opposée à cette ligne dès cette époque, a abandonné les revendications anti-IVG du FN après son arrivée à la tête du parti.
https://francais.rt.com/france/99518-droit-ivg-dans-constitution-macronie-confrontee-revirements
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Pourquoi un seul homme peut-il mener à la baguette tout le Peuple de France ? Réfléchissez Français et prenez vite une décision … LA décision de vite réagir !
je suis bien d’accord avec vous, je me suis posée la question plus d’une fois ! cela n’a jamais été aussi évident qu’avec Macron avec un parlement à sa botte pendant sa 1ere mandature…ça peut être très embêtant quand un président ne tient pas la route ( pour être soft ) ..un homme qui s' »appelait Hitler a fait ce qu’il voulait sans que qui que ce soit s’oppose pendant un certain temps .c’est bien le problème car nous ne sommes pas du tout à l’abri, vu ce qui se passe aujourd’hui et que les français ne s’opposent pas ! ( Faut le marquer dans la constitution ( humour ..? )
Malgré le fait que nous sommes théoriquement en république, nos présidents se prennent toujours pour des rois décidant tout pout tout le monde. Nous devrions fonctionner comme en Allemagne leur président ou comme en Angleterre et leur reine, ils n’ont plus rien à décider pour leurs concitoyens, mais c’est leur premier ministre qui mène le gouvernement en devant rendre compte de tout devant l’assemblée qui sont aux commandes des Etats… La France n’en a pas fini avec la royauté…
On peut relativiser. Une constitution qui peut être tripatouillée aujourd’hui pourra l’être demain. La Macronie entérine seulement l’absence de valeur de notre constitution en assumant sa malléabilité selon l’humeur (et les calculs) du moment.
et d’ailleurs je crois que c’est sous la mandature Macron, qu’il a refusé d’inscrire dans la constitution : la religion de la France est le catholicisme ! alors qu’il en était fortement question
Avant de se positionner pour ou contre l’avortement… lire ceci : https://qactus.fr/2022/06/26/satanistes-enquete-sur-le-trafic-davortements-et-de-foetus-humains/
(ATTENTION : images très, très sensibles dans l’article!!
Mais ce serait vraiment à partager avec TOUTES les femmes! Elles méritent de SAVOIR!!)
Après… ouais, après avoir découvert tout ça, alors se faire une opinion sur l’avortement en toutes connaissances de cause… (on vit avec notre conscience!)
Oui mais beaucoup ne se posent même pas la question.
On oublie aussi l’impact psychologique de la mère qui n’est pas négligeable non plus même si elle y a consentit.
Tuer, quelles que soient les circonstances, n’est pas autant concrètement que psychologiquement un acte anodin…
En plus si les femmes savaient les problèmes gravissimes qu’elles peuvent avoir même 20 ans après car elles auront avorté pour une raison de confort, de contraception post fécondation en éliminant l’enfant en croissance qu’elle porte … La nature fonctionne d’une certaine manière, les députés qui votent des lois s’en fichent, n’y comprennent rien. L’IVG a des conséquences gravissimes sur la vie des femmes par la suite…
Un IVG pour malformation, issu d’un acte sexuel non désiré, cad un viol a une raison d’être devant la nature, mais les IVG qui sont effectué par pure confort, par pure contraception post fécondation, par changement d’avis … devant la nature c’est vue comme un refus de procréer, de pérenniser l’espèce pourtant engagé, et incombe la responsabilité de la femme… devant la nature, les femmes avortant pour ces raisons devront réparer et auront très grand intérêt à ne plus faire subir cet échec de la nature qu’elle aura placé en elle… Quand j’écoute BORNE avec une voie basse parler de l’avortement, que c’est un droit le plus légitime, comme fondamental… je me dis Pauvre femme qui voulez nous diriger, et ne savez rien de la vie
Est-ce être humain que de vouloir détruire un être humain en croissance, car pour la nature sa croissance démarre dès la fécondation pendant 9 mois dans le ventre de sa mère, puis pendant 16 à 18 ans en dehors. Mais pour la loi un être humain n’existe que lorsqu’il nait, avant il n’est rien du tout, n’a aucun droit, ne peut même pas se défendre que le médecin l’aspire pour le décoller de sa mère, ou prend des outils utilisé au moyen âge pour torturer les gens… Je pense que les députés avant de se prononcer ou Macron avant dire quoi que ce soit, ils devraient effectuer l’acte de mise à mort d’un être humain en croissance dans le ventre de sa mère… Tous ceux qui font de gros discours sur les droits de femmes, et ces êtres sans défenses ne peuvent que subir l’avortement, car ils gênent, alors on les éliminent… je ne parle même pas du coté spirituel de la chose… car les femmes seraient choquées… car 80% des avortements sont une sorte de contraception post fécondation…
Je suis d’accord.
C’est d’un être vivant qu’il s’agit (il est reconnu une interaction très tôt avec la mère), et un pédiatre m’avait, il y a longtemps, parlé de la souffrance du foetus qui avait été objectivée lors d’un avortement.
Je comprends bien sûr l’avortement mais seulement quand il y a nécessité que l’on ne peut éviter (surtout pas comme raison la soit-disant « détresse psycho-sociale » !), et même dans ces situations, cela n’empêche pas la souffrance maternelle.
Marine se positionne correctement et n’est pas « une conne ». Les droits et libertés fondamentaux font partie du bloc constitutionnel. Le droit à l’IVG est une déclinaison de la liberté individuelle de l’article 4 de la Déclaration de 1789.
Pour ma part, je suis opposé à son inscription dans la Constitution car je trouve que c’est racoleur. Il n’y a pas de raison d’inscrire ce droit en particulier et pas tant d’autres qui résultent de la liberté individuelle. De plus, cette liberté de disposer de son corps devrait permettre de s’exhiber ou encore de se prostituer et on sait que ce n’est pas le cas en France. L’inscrire dans la Constitution n’est pas choquant outre-mesure, ce qui justifie l’ouverture de la chef du RN, tout à fait à propos, pour concentrer l’opposition sur les mesures plus emblématiques.
Dans la tradition française, les droits et libertés se rattachent plutôt au texte de 1789 qu’à celui de 1958 qui concerne plutôt les institutions. On perd l’esprit de la Constitution de 1958 quand on y met l’IVG ou encore l’interdiction de la peine de mort.
Veil avait dit : cela doit rester une exception. J’ai lu sur un twit : l’IVG on ne peut ni être pour, ni être contre, car il est impensable de revenir aux aiguilles à tricoter (et autre barbarie), et quoiqu’il en soit, un avortement est la suppression d’une vie humaine. La question ne se pose pas ni pour les victimes de viol (encore qu’il y en a qui sont assez courageuses pour oser garder l’enfant du viol), ni les victimes d’incestes, ni pour les IMG en cas de danger mortel (par contre, la connerie de détresse psycho-sociale…) C’est quand même honteux qu’à notre époque, avec les moyens de contraception qu’il y a, il y ait encore autant d’IVG pratiquées, certaines prenant ce moyen comme contraceptif, justement. Que le gouvernement veuille inscrire ça dans la constitution ne m’étonne pas : ces satanistes adorent les sacrifices d’enfants, et puis, les labo avec les cellules souches…
« ni pour les IMG en cas de danger mortel » (avortement à 9 mois)
Pas moyen d’une césarienne rapide dans ce cas ? Parce que là, à 9 mois, on tue carrément un enfant vivant, c’est un infanticide pas une IVG.
Pour la soit-disant détresse psycho-sociale, je n’ai vraiment pas compris comment on a pu voter un infanticide là….
La société devient de plus en plus dangereuse sur tous les plans.
Je pensais surtout aux enfants atteints de trisomie 13, 16 ou 18. Généralement, le bébé n’est pas viable et si la grossesse est menée à terme, ils ne survivent que quelques jours. Avec les dépistages aujourd’hui, on peut rapidement déceler ces anomalies. Et malheureusement, une femme n’est pas à l’abri d’une complication impromptue. Dans ces cas, les médecins essaient d’abord de sauver les deux, mais si c’est impossible…
Quoiqu’il en soit, en France aujourd’hui, on cède trop à la facilité de l’avortement et on ne prend pas assez le temps d’expliquer les autres possibilités, ni de rassurer les futures mères.
D’accord avec l’article.
Mais bien sûr pour Macron, vu qu’il a fait passer une loi autorisant l’avortement à 9 mois… Mais après tout, la Constitution ça peut se violer, on ne fait que ça en France et lui en premier.
J’ en viens à regreter que les mamans des pro ivg n’ est pas avortées! Ils ne seraient pas là pour nous en vanter les mérites. Mais bon si ça doit sauver la planete!!! Part contre pas les mêmes priorités dans d’ autres continents!
Il peut aussi inscrire « j’ai été le pire traître président de la V ème république !!! »
«la Cour suprême a donné le droit à chaque Etat de légiférer sur l’avortement»
C’est bien fait pour la gueule des pro-choix en matière d’avortement (dont je suis) mais ils ne sont pas descendu dans la rue pour défendre d’autres pro-choix, les pro-choix vaccinaux (mon corps, mon choix, n’est pas spécifique à l’avortement), avant j’étais solidaire des manifestants pour le droit à l’IGV maintenant qu’ils aillent se faire foutre, ils n’ont pas levée le petit doigt lors de la vaccination et du pass, qu’ils se démerde avec ceux qui veulent leur retirer ce droit.
Ses choix. MDR ! C’est vrai qu’il n’a pas d’enfant. Combien de femmes enceintes des œuvres de Macron et qu’il aurait fait avorter car en pleine détresse psychologique, les pauvres ? Les paris sont ouverts.
Bonjour,
Merci pour cet article.
Marre de nous déterminer systématiquement sur des sujets américains.
Marine a bien parlé sur « France Info » ce matin.
En substance:
« L’Afghanistan ayant rétabli la lapidation, il nous faut constitutionnaliser l’interdiction de la lapidation, en France ».
IGV : Macron veut inscrire dans la Constitution
Sans surprise: la CFDT salue et soutient la proposition convergente des différents groupes parlementaires d’inscrire ce droit dans la constitution.
De toute façon rien n’est acquis définitivement , tout peut changer tout peut être réécrit, rien n’est définitif, alors qu’il l’inscrive ou pas ça peut être effacer rayer du jour au lendemain !
On est d’accord !