Adieu à la France qui se meurt !

DÉDIÉ À TOUS LES PATRIOTES

Tu es  si belle, ma France. Si belle sous les soleils d’été, les brumes de septembre, les pluies  d’automne et les frimas d’hiver, si belle au printemps quand tout renaît. Si belle avec ton blanc manteau d’églises, tes cités où il faisait bon vivre,  tes châteaux, tes villages, tous témoins d’une histoire ancienne.  Si belle avec tes montagnes, tes vallées et tes plaines, tes forêts ombragées, tes campagnes verdoyantes,  tes rivières et tes fleuves, tes ruisseaux, tes îles, tes côtes battues par les vents ou la mer déchaînée.
Tu es aussi, pardon tu étais, la France des samedis soirs, des boulevards, lorsque tes enfants déambulaient en paix, allaient au cinéma, au restaurant, au stade, dans les salles de spectacles,  sans craindre d’y laisser leur vie ou de se voir dépouillés.  Tu étais la France des cours d’école où les élèves pouvaient jouer tranquilles. La France des collèges et des lycées où les couteaux n’étaient pas de mise. La France où les maîtres d’écoles et les professeurs n’étaient ni menacés ni agressés, et où ils ne risquaient pas d’y laisser leur tête. La France où les prêtres n’étaient pas décapités en plein office. La France où les voiles, les foulards et les tenues islamiques n’avaient pas encore fait leur apparition. La France où les piscines n’étaient pas polluées par ces affreux burkinis. Et même sur les plages, ces affreux symboles ont fait leur entrée en force.  Le bikini, oui! Le Burkini, non!  La France des écoles  où l’on ne déconstruisait pas ton histoire, où l’on ne pervertissait pas ta jeunesse avec des théories obscènes ou totalement délirantes.
Tu étais la France des bals tranquilles  du quatorze juillet, des défilés militaires qui en imposaient encore. Tu étais la France des villages où la vie s’écoulait sans heurts.  Aujourd’hui, les bourgs se vident. Plus de bureaux de poste, plus de médecins, presque plus de commerçants, plus rien de rien. Et quand un agriculteur défend son bien, c’est lui qui se retrouve en prison. Aujourd’hui, la famille d’un voleur, d’un assassin, d’un délinquant peut déposer plainte contre celui qui n’a fait que se protéger. Nous marchons sur la tête.  Le monde rural connaît lui aussi ses instants d’horreur.
Tu en as pourtant connu, des instants difficiles, des guerres, des crises, et tu t’es relevée de tout cela. Mais aujourd’hui, tu n’es plus celle que j’ai connue. Tu n’es plus que la région d’un machin que l’on nomme Europe. Europe qui a permis que nous devenions l’asile de millions de migrants qui franchissent  nos frontières en toute impunité, pour qui des ressources nécessaires à tes enfants sont détournées. Migrants qui n’apportent que l’insécurité, la peur, l’angoisse. Tes villes  sont devenues des coupe-gorge, repaires de trafiquants de drogue, ou autres délits. Des mosquées poussent  comme des champignons, où l’on prêche parfois, souvent la haine des autochtones. On ne peut d’ailleurs pas en faire état, sans risquer de se voir taxés de racisme,  ou pire encore. Des lois ont été votées en ce sens, qui s’apparentent à de la censure.  Oui, ma France, tes enfants n’ont plus voix au chapitre; ils doivent tout subir et se taire. Certains s’en accommodent, puisqu’ils ont reconduit pendant des décennies les mêmes qui ont permis cela. Une chance leur a été donnée dernièrement  pour y mettre un terme, mais ils ne l’ont pas saisie. Et à cause de ces Français, chose inimaginable, demain, ma France, tu seras peut-être sous la botte d’un stalinien. Stalinien qui souhaite ta disparition et veut même nous métisser de force.  Ou alors, deuxième hypothèse, sous la coupe du même dictateur qui ne vaut pas plus cher que le camarade Jean-Luc, et qui continuera son  œuvre de destruction et de remplacement.
Quand Paris sera l’annexe de Ouagadougou ou de Bamako, ou même une nouvelle Damas, que tes belles provinces seront de nouvelles wilayas,  qu’aurons- nous gagné de plus?  Quand l’islam sera devenu   religion officielle et que nos institutions seront  toutes inspirées des sourates du coran, il faudra disparaître, ou bien se soulever mais ce sera  peut-être bien trop tard.   
Mon cher pays, il te reste quand même des fidèles, des patriotes. Ils ne sont pas nombreux, certes,  par rapport à la foule moutonnière des adorateurs de la bien-pensance et de ta destruction programmée, mais sache qu’ils feront tout pour relever le défi. La vie est un combat  quotidien,  et les moutons ont voulu éviter ce combat, pacifique,  pour garder leur précieuse petite tranquillité. Qu’ils sachent  qu’ils la perdront bientôt, et que ce sera cette fois-ci non un combat mais une véritable guerre de civilisation.  Je conclurai par une citation de mon cru : la résignation n’est souvent que la forme la plus aboutie de la lâcheté.
Argo. 

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24 Comments

  1. La beauté de l’illustration est véritablement inaccessible !
    Bon. Ça, c’est dit !
    Je n’ai pas plus que ça, envie de ma battre. Mais je ne me laisserai pas piétiner !

  2. Traiter les pauvres de salauds (de l’expression connue « salauds de pauvres ! ») et les pauvres français inhibés, écrabouillés, sans force, de lâches et autres mots d’oiseaux, je ne crois pas que ce soit la bonne méthode, ni même que ce soit bien. Mais ce n’est que mon avis, à partir de la fréquentation de ces esquintés.

  3. CACHOU : COMMENTAIRE 2 SUR 7
    Quand vous gagnez plus au chômage qu’un salaire net, vous n’êtes pas trop poussé à chercher beaucoup de travail. En effet, les premiers chômeurs étaient dédommagés en brut de leur salaire alors qu’un travailleur était, et est payé en nette. Chercher l’erreur. Et brusquement le nombre de chômeurs a explosé. Puis créer le rassemblement familial des musulmans en France, ce n’est pas ce que l’on appelle la meilleure des décisions. Quand vous allez serrer les mains des prisonniers et jouer de l’accordéon dans les prisons françaises, et que vous ne faites pas le moindre geste pour les victimes, ce n’est pas non plus la meilleure décision.
    Quand vous commencez à instaurer le mensonge d’État en parlant que nous allions bientôt voir le bout du tunnel de nos difficultés alors que le tunnel commence à peine à se boucher progressivement, ce n’est pas également la meilleure des décisions.

    • Mon cher Cachou tu es très bavard et tu as plein de choses intéressantes à dire… mais si pour répondre à un article tu postes 7 commentaires, il n’y a plus de place pour les autres car tu monopolises la conversation et limites les échanges. Je me suis donc permis de supprimer (sans les lire, désolée, pas le temps) les 5 derniers. les commentaires ne sont pas le lieu de faire des substituts d’articles, désolée. Il faut que je dise la même chose à Emilie dont je viens de découvrir qu’elle a fait au moins 4 commentaires de suite dans un article il y a quelques jours… Merci de me comprendre et de me pardonner. Le mieux est que tu écrives un article pour développer ta pensée !

  4. CACHOU : COMMENTAIRE 1 SUR 7
    Merci ami Argo de ce texte plein de tendresse (pour sa première moitié), d’émotions, de bons souvenirs, et de normalité de la vie. Les patriotes ayant un âge un peu avancé, comme toi, moi, et pas mal d’autres je pense, nous avons tous connus cette France qui méritait son nom. Que de bons souvenirs sont encore dans nos têtes !
    Et puis un jour, un ouragan s’est pointé, ayant compris que, pour avoir le pouvoir, il fallait faire appel au plus profond de la nature humaine, c’est-à-dire la paresse, l’assistanat, l’égoïsme, la jalousie. J’ai qualifié, bien que je ne travaille pas à la météo, cet ouragan de Giscard d’Estaing. À sa décharge, en y cherchant beaucoup de tolérance, je pense, me trompais-je peut-être, qu’il a lancé toutes ces choses qui permettent le suicide complet actuel de notre pays « de bonne foi ».
    Grand admirateur de John Kennedy, notre grand naïf (ou grand imbécile ou inconscient au choix) Giscard d’Estaing a sorti la base de toutes les mesures qui assassinent désormais notre pays.

    • Salut l’ami@Cachou, je suis d’accord avec toi concernant VGE.
      D’ailleurs je l’appelais , de son vivant, le crétin congénital .

      Vu qu’il est mort, je dirais qu’il a surtout cherché à marquer la France, de ses lubies et de ses décisions irréfléchies.
      Il aimait beaucoup se donner de l’importance, et sa façon de parler le confirmait.
      Il a changé la donne en profondeur sans se soucier aucunement du futur de notre pays.
      C’était un homme à courte vue, seul le présent lui importait, et se faire remarquer.

  5. Qu’est-ce qu’il est bon d’avoir aujourd’hui de la nostalgie de la vie des années 70-80, ceux qui auront vécu à cette époque sauront que combien la vie de l’époque était heureuse, la musique que l’on écoutait parlait que d’amour…. celle créée aujourd’hui est négative, parle que problème sociaux, raciaux, souvent haineuse…. c’est l’image de l’époque d’aujourd’hui… bien des migrants chantent leurs problèmes, leurs haines… Pour les jeunes d’aujourd’hui, l’avenir s’assombri, ceux qui nous dirigent en France et en Europe ne sont que des technocrates froids, calculateurs, voulant que des consommateurs en priorité et nullement de gens heureux

  6. J’apprécie la fin : la lâcheté, certains Français d’aujourd’hui, ils la connaissent bien.
    J’y inclus ceux qui votent Minus, méchancon, EELV, LR, coco, DVG,
    ça fait une grosse tripotée de lâches, où sont les valeureux chevaliers d’antan ???

  7. Face à un rouleau compresseur, on dit au revoir ( comme de Gaule ) mais on n’a plus beaucoup de choix ; il ne s’agit plus d’une dictature d’un homme mais d’une dictature européenne !!!! Voire Mondiale.
    Donc…

  8. Merci Argo pour ce texte qui m’a rempli d’émotion, car j’ai bien connu cette France qui s’est toujours relevée. Né avant la guerre, j’en ai vu de toutes sortes, et j’ai vécu les trente glorieuses, que les Français ont sabordées en donnant le pouvoir à Mitterand.. et les Français n’ont toujours pas changé, mais cette fois, le point de non-retour semble bel et bien dépassé, en grande partie par la résignation que vous citez en fin d’article, laquelle a conduit à la lâcheté… « Adieu ma France » écrivait le magnifique Bigeard à ses 90 ans, en 2006.

  9. Bientôt la burqa mais sans oublier les gants, une érection est si vite arrivée ?

  10. Restons chez nous, c’est ici que nous avons vu le jour et qu’on a passé les plus belles années de notre jeunesse à aimer la France telle qu’elle le fut à cette époque, on s’amusait partout en France, chaque région avec son folklore bien à elle. L’envie d’éjecter tout ce qui salit, pourrit, détruit en faisant de notre France une poubelle à ciel ouvert, dépasse largement l’envie de se barrer comme un péteux !!!

  11. Très beau, merci Argo.

    Fidèle, fidèle, je suis resté fidèle
    À des riens qui pour moi font un tout

  12. citation d’Arthur Schnitzler : « Au delà d’un certain seuil , la tolérance n’est jamais qu’une autre forme de lacheté »

  13. J’aurais presque pleuré (de rage) en vous lisant. C’est tellement juste hélas.

  14. Ben oui, mais la majorité en a voulu autrement. C’est bien joli de mettre tout sur le dos de nos sénateurs, des putes, sinistres et présidents, tous des traîtres responsable à mes yeux, sauf bien sur ce qui sont dans notre camp, malheureusement pas assez nombreux, mais quand on connait leur méfaits, les casseroles remplies de merde qu’ils traînent et on les sent de loin avec leur magouilles, toujours prêt à ce vendre pour une bonne place, alors pourquoi ils sont élus ou réélus. La faute en revient au peuple, à une certaine catégorie de connards, soumis aux droitdelhome, et aux lislamcépasça, qui votent pour tous ces traîtres. Merde, j’en veut encore plus à ces connards qui sont responsables de se qui va nous tomber sur la gueule. La France se meurt, mais certain sont content, et malheureusement ils sont plus nombreux que les patriotes amoureux de leur pays. Qu’est ce qui tourne pas rond chez les connards.

  15. Je n’ai même plus honte de ce pays, j’ai dépassé ce stade. Je ne sais ce qu’il y a après la honte. Peut-être la mort. Mourir de honte, sûrement.

  16. la résignation n’est souvent que la forme la plus aboutie de la lâcheté.
    Exact, mais il y a beaucoup de Français et Françaises à être malheureusement résignés, en souhaitant qu’ils redressent la tête.

    • c’est exactement la réflexion qui m’est apparue : sauf que la catastrophe sera encore plus rapide à arriver, et beaucoup plus dommageable … Mais, après tout, le bon peuple l’a voulu, donc …

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