Augmentation de divers virus réactivés après les injections de rappel de COVID-19
Selon le Dr Richard Urso, la réactivation de virus latents pourrait être à l’origine d’un long COVID et bien d’autres troubles de notre santé.
Ci-après le version en français de l’article de Meiling Lee, une journaliste spécialisée dans la santé, article publié le 29 avril 2022 dans le périodique américain The Epoch Times
Certains virus, après une infection initiale, restent latents dans l’organisme pendant toute une vie et peuvent se réactiver pour provoquer une nouvelle infection ou une affection différente. Selon le Dr Richard Urso, ces types de virus latents sont réactivés chez un grand nombre de personnes après leur injection de rappel de « vaccin »COVID-19, provoquant des symptômes de COVID long et d’autres problèmes de santé.
Le long COVID est un état dans lequel les personnes présentent des problèmes de santé permanents, récurrents ou nouveaux, des semaines ou des mois après avoir été infectées par le SRAS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, ou après avoir reçu un « vaccin » COVID-19. Les symptômes peuvent inclure des troubles de la concentration, de la fatigue, des douleurs thoraciques et de l’insomnie, entre autres.
« Donc, dans mon cabinet médical en ce moment, je vois trois à cinq personnes par semaine parce qu’elles savent que je prends beaucoup de temps dans ma pratique pour le COVID-19, et elles viennent me voir avec un long COVID et … avec des problèmes après le « vaccin » a déclaré Urso, un médecin spécialiste en ophtalmologie et un spécialiste de la conception et de l’application thérapeutique de médicaments et cofondateur de l’International Alliance of Physicians and Medical Science et invité à l’émission American Thought Leaders d’EpochTV. « Et ce que je constate, c’est qu’un très grand nombre d’entre eux ont réactivé l’Epstein-Barr, l’herpès simplex, l’herpès zoster, le CMV .»
Parmi les plus de 100 espèces de d’herpèsvirus, huit sont connues pour infecter les humains et rester dans l’organisme à vie après la disparition de l’infection primaire; ils peuvent se réactiver ultérieurement dans certaines conditions :
-Le virus d’Epstein-Barr (EBV) est un virus commun qui provoque la mononucléose infectieuse et est associé à plusieurs types de cancer et à la sclérose en plaques. On estime que plus de 90 % des adultes en bonne santé ont été infectés à un moment donné de leur vie.
-Le virus varicelle-zona est un autre virus commun qui cause principalement la varicelle et qui, lorsqu’il est réactivé, provoque le zona chez les adultes.
-Les types 1 et 2 du virus de l’herpès simplex provoquent un herpès oral et/ou génital. On estime que 67 % (3,7 milliards) des personnes de moins de 50 ans dans le monde sont infectées par le virus de l’herpès simplex 1, tandis que 13 % (491 millions) sont infectées par le virus de l’herpès simplex 2.
-Le cytomégalovirus (CMV) est un virus courant qui infecte des personnes de tous âges et provoque des symptômes tels que fièvre, maux de gorge, gonflement des glandes et fatigue. Il peut aussi occasionnellement provoquer une mononucléose ou une hépatite.
-L‘herpèsvirus humain-6 et l’herpèsvirus humain-7 provoquent la roséole, une infection bénigne qui survient principalement chez les enfants âgés de 6 mois à 2 ans.
-L’herpèsvirus associé au sarcome de Kaposi infecte les cellules endothéliales qui tapissent les vaisseaux lymphatiques et sanguins et qui peuvent devenir cancéreuses, une maladie connue sous le nom de sarcome de Kaposi.
La plupart des gens ne savent pas qu’ils ont été infectés par certains de ces virus car ils ne ressentent aucun symptôme. « Beaucoup de gens considèrent ce long COVID comme s’il s’agissait de problèmes liés au Coronavirus, en particulier à sa protéine spike ou à d’autres problèmes. Ils ne savent pas que nous assistons à cette énorme réactivation dans la famille des herpèsvirus alors que nous avons un traitement pour cela. Il fonctionne vraiment très bien », a déclaré M. Urso. Bien qu’il n’y ait pas encore de définition clinique ou de traitement standard pour le COVID long, le Dr. Urso affirme qu’il existe de nombreux médicaments disponibles contre le COVID long.
Bien qu’il n’y ait pas encore de définition clinique ou de traitement standard pour le COVID long, Urso affirme qu’il existe de nombreux médicaments réadaptés que les médecins peuvent prescrire en dehors des indications pour traiter le syndrome, comme ceux utilisés dans le Protocole I-RECOVER, développé par The Front Line COVID-19 Critical Care Alliance
Pour les longs symptômes du COVID causés par l’un des herpèsvirus réactivés, le Dr. Urso dit qu’il prescrit du Valtrex ( valaciclovir) et des suppléments comme la lysine et la vitamine D. « Nous utilisons la lysine parce que cette substance a un effet positif sur la santé. Nous utilisons la lysine parce que c’est l’un de ces nutriments qui est bon contre la famille des herpèsvirus. Le rapport lysine-arginine semble avoir un impact sur la capacité de ces virus à se répliquer », explique le Dr. Urso. Il ajoute : « Je dis aux gens que la vitamine D est votre analyste de données. Elle permet au système immunitaire de prendre de bonnes décisions… Et lorsque la vitamine D est présente, notre système immunitaire peut reconnaître: Oh, c’est du pollen, laissons-le tranquille. Attaquons cet agent pathogène, attaquons ce cancer ».
Urso dit qu’il recommande la vitamine D depuis 1995. Lorsqu’il était médecin-chef de l’oncologie orbitale au MD Anderson Cancer Center, Il est tombé sur une étude qui montrait que ce supplément « avait un certain impact sur une protéine de reconnaissance des tumeurs » et a commencé à tester les niveaux de vitamine D de tous ses patients. « Pratiquement tous les patients souffraient d’une carence en vitamine D. Nous nous sommes rendu compte que le cancer, en particulier les cancereux du côlon, présentaient une carence » » a déclaré le Dr. Urso, ajoutant que la vitamine D était également « étonnante pour les allergies, pour la prévention et pour la résistance au cancer, en particulier le lymphome et le cancer du sein ».
Traiter les patients atteints de COVID
Lorsque la pandémie a commencé, le Dr. Urso a déclaré qu’il ne pouvait pas rester silencieux sachant que le COVID-19 peut être traité précocement avec divers médicaments réorientés et qu’il a commencé à contrecœur à traiter les patients en raison du refus d’autres médecins de prescrire un traitement efficace précoce. « J’ai dit à mes patients « si vous avez la COVID-19, personne ne va vous aider. » J’ai dit:, passez d’abord par vos médecins, et si personne ne vous aide, je vous aiderai », a déclaré Urso.
Plus de deux ans après le début de la dite pandémie, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) continuent de dire aux gens de rester chez eux à moins qu’ils ne présentent de graves signes d’alerte d’urgence tels que des difficultés respiratoires, une nouvelle confusion et des douleurs ou oppressions thoraciques persistantes.
Ce n’est qu’en janvier 2022 que cette agence sanitaire a commencé à recommander aux personnes présentant un risque élevé de développer une maladie coronavirose grave de se faire traiter rapidement avec l’un des médicaments d’urgence autorisés, cela dès qu’elles ont été testées positives au COVID-19.
Tout au long de la dite pandémie, le CDC n’a pas recommandé aux gens de prendre de la vitamine D. Pourtant des études ont montré que la vitamine D peut aider à prévenir le COVID-19, à réduire le nombre d’admissions en unité de soins intensifs et à réduire considérablement la mortalité associée. Une étude israélienne a même révélé que les personnes présentant une carence en vitamine D étaient 14 fois plus susceptibles de souffrir d’un grave COVID-19.
Nanoparticules lipidiques des « vaccins » contre le Covid-19
Ces nanoparticules lipidiques (LPNs) sont de minuscules particules composées de lipides qui agissent comme un système d’administration transporteur en encapsulant l’ARNm qui code la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 dans les cellules humaines. Sans les LPNs, l’ARNm se dégraderait en quelques secondes une fois injecté dans le bras. Des études ont montré que les LPNs ne se dégradent pas et ne sont pas éliminés de l’organisme dans le délai de 36 heures ce que la FDA a récemment communiqué à The Epoch Times, et que ces nanoparticules lipidiques ne restent pas non plus uniquement au site d’injection dans le bras.
L’étude de biodistribution du vaccin Pfizer réalisée par l’Agence de réglementation japonaise a montré qu’une partie de l’ARNm s’est déplacée du site d’injection, a emprunté la circulation sanguine et a été retrouvée dans divers organes tels que le foie, la rate, les glandes surrénales et les ovaires de rats 48 heures après l’injection.
« C’est quelque chose que j’aurais su assez facilement parce que je travaille avec des nanoparticules lipidiques », a déclaré Urso. « J’aurais pu vous dire que les nanoparticules lipidiques, j’ai l’habitude de le rappeler, ont besoin juste d’une fente dans la porte [pour quitter le site d’injection], alors qu’un virus lui a besoin d’une porte bien ouverte. » Étant donné qu’un vaccin normal a besoin d’une porte ouverte pour se distribuer dans d’autres parties du corps, Urso dit « un vaccin normal reste dans le bras, à peu près 99,9 % ou 99 % », tandis qu’une grande majorité » des NPLs de cette thérapie génique prophylactique ne restera elle pas dans le bras. En fait, nous savons maintenant qu’une grande partie de ce « vaccin » Covid-19 va dans le ganglion lymphatique tout proche du lieu d’injection, et qu’il produit encore de la protéine de pointe 60 jours plus tard », a déclaré Urso, ajoutant que « la protéine de pointe se retrouve en fait jusqu’à 15 mois plus tard, dans les monocytes et d’autres cellules, elle n’est pas dégradée ».
Selon le Dr. Urso, la persistance de la protéine spike dans différentes parties du corps interfère avec les fonctions normales de notre système immunitaire et provoque des problèmes de santé. « Elle bloque d’importants gènes de réparation des tumeurs appelés p53, elle bloque les gènes BRCA, elle perturbe également le microARN-27A, qui provoque des poussées dans les cellules cancéreuses du côlon », a déclaré Urso. Selon Urso, la présence de pics et de LPNs « perturbe également les récepteurs 7 et 8 de type Toll, qui sont « importants pour la surveillance immunitaire des virus ». « Nous allons donc assister à cette énorme recrudescence de tous les virus qui restent en quelque sorte dormants dans notre corps, comme la famille des herpèsvirus. »
Traduction par Dominique Schwander
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Merci d’avoir porté ces informations à notre connaissance
Très intéressant, merci pour ces explications.
Alors, si on a été en contact avec un virus pendant l’enfance sans développer de maladie, grâce à notre immunité, ce virus pourra être activé par le vaxxin et nous rendre malade.
Tiens, tiens ! Et que revoilà la vitamine D !
N’y avait-il pas un projet d’interdiction de vente de cette vitamine ?
En somme, interdiction de prévenir la maladie comme toutes interdictions de se soigner ?
Seules prévalant les injections parceque « y’en avoir très bon les sous! »
Et j’en connais certains qui continuent le vaccin !….. Ben non, je ne peux même plus pleurer ceux de ma famille !!!
Je ne me suis pas fait vacciner. Et je m’en félicite.
tout comme moi, et je resiste
Moi non plus !
Moi aussi, tout comme mon épouse médecin et environ 400 employés des CDC américains qui ne croient pas leurs supérieurs!
Les « vaccinés » le paient cher. Ils sont même magnétisés pour recevoir les ordres impérieux de Bruxelles et de Washington.
C’est un complot donc !!!
Cette pandémie m’a touché et je tousse depuis 16 mois maintenant avec des douleurs à la poitrine et à la gorge !!!
On m’a prescrit la vitamine D,du Zinc,un anti-inflammatoire (bétastène) et Azix (antibiotiques)….