Quoi qu’en disent les médias et le ministère de l’Intérieur, il y avait beaucoup de monde dans la manifestation parisienne anti-Macron et, dans une moindre mesure, Marine. Car, même si tout le monde affichait un « antifascisme pavlovien de façade, Macron était bien plus souvent la cible que Marine. Ce n’est que mon impression.
Si l’ultra-gauche était surreprésentée, des patriotes étaient tout de même de sortie. Rien de comparable, toutefois, avec les hordes antifas venues se donner des frayeurs sans danger.
Signe de leur présence massive : la mollesse des forces de l’ordre face aux provocations, bien loin du lynchage des Gilets jaunes historiques. À tel point que j’ai passé une partie de la manifestation à taper la causette avec des gendarmes et policiers qui, je dois bien l’admettre, étaient fort sympathiques, dont un gradé au physique d’acteur hollywoodien, mesdames ! Comme je l’écris souvent, ils ne sont que les jouets de politiciens n’ayant souvent aucun souci de leurs conditions de travail. Et je me refuserai toujours à les accabler plus que de raison. J’excepte bien entendu la Brav – brigade de répression de l’action violente – qui, avec les Antifas, constitue l’autre milice de la Macronie…
Manifestation parisienne « antifasciste » : la tyrannie ultra-gauchiste en marche !
Quoi qu’en disent les médias et le ministère de l’Intérieur, il y avait beaucoup de monde dans la manifestation parisienne anti-Macron et, dans une moindre mesure, Marine. Car, même si tout le monde affichait un « antifascisme pavlovien de façade, Macron était bien plus souvent la cible que Marine. Ce n’est que mon impression.
Si l’ultra-gauche était surreprésentée, des patriotes étaient tout de même de sortie. Rien de comparable, toutefois, avec les hordes antifas venues se donner des frayeurs sans danger.
Signe de leur présence massive : la mollesse des forces de l’ordre face aux provocations, bien loin du lynchage des Gilets jaunes historiques. À tel point que j’ai passé une partie de la manifestation à taper la causette avec des gendarmes et policiers qui, je dois bien l’admettre, étaient fort sympathiques, dont un gradé au physique d’acteur hollywoodien, mesdames ! Comme je l’écris souvent, ils ne sont que les jouets de politiciens n’ayant souvent aucun souci de leurs conditions de travail. Et je me refuserai toujours à les accabler plus que de raison. J’excepte bien entendu la Brav – brigade de répression de l’action violente – qui, avec les Antifas, constitue l’autre milice de la Macronie…
Donc, toute la farandole « antifasciste » avait mis ses habits de lumière : syndicats ; associations – SOS Racisme en tête, avec le dispensable Dominique Sopo, paradant avec sa tronche de coquelet hautain – ; partis politiques aussi – j’ai ainsi aperçu des résidus du parti socialiste et je me suis dit que, puisque nous étions place de la Nation, pas loin du zoo de Vincennes, il aurait été bon de les y déposer en qualité d’espèce en voie de disparition !
Chose étonnante, un patriote tenait une tribune intéressante, même si un peu chahuté par une bande d’ultra-gauchistes, sans toutefois aller au contact, étant donné la carrure impressionnante de l’intéressé – que je ne connaissais pas –, qui ne s’est d’ailleurs jamais départi d’un calme et d’une éducation irréprochables face aux provocations (voir le début de ma vidéo).
Pour le reste, poncifs et slogans, plus ou moins inspirés, fleurissaient comme les boutons sur une peau pubère, dont : « Ni l’éborgneur ni la fille du borgne. » Le « borgne » en question (Jean-Marie Le Pen) a malgré tout servi la France au risque de sa vie, contrairement à ces anarchistes confortables qui savent que rien ne leur arrivera de fâcheux en leur qualité de protégés du pouvoir macroniste. C’est pourquoi je crois plus au Père Noël qu’à leur comédie anti-macroniste : les leaders Antifas savent fort bien qui remplit leur gamelle !
J’ai eu aussi l’occasion de recueillir les avis de quelques manifestants sur leur vote au second tour, et ce qu’il en ressort c’est que, pour certains, ce sera Marine ; non pas conviction, mais pour empêcher Macron de sévir encore cinq ans. Ils comptent d’ailleurs plus sur les Législatives. On sent comme une envie de IVe République, lorsque les gouvernements étaient pieds et poings liés par l’Assemblée nationale. Sinon, lorsque j’ai interrogé un communiste convaincu sur le communautarisme de Mélenchon, il m’a avoué être très gêné par ça. À ce propos, les Mélenchonistes n’étaient pas venus en force ou alors ils se faisaient très discrets. Cependant, ne nous trompons pas : tout ce petit monde va massivement voter Macron, lequel est allé tapiner jusqu’à Marseille pour être réélu !
Mais un spectacle antifasciste ne serait pas complet sans quelques échauffourées avec les forces de l’ordre. C’est ce qui s’est fort logiquement produit place de La République où, en plus des oriflammes de la famille gauchiste, des drapeaux avec le croissant islamique flottaient au vent de la diversité. De son côté, l’imposante statue allégorique de la place était rhabillée à l’ukrainienne. C’est donc en fin d’après-midi que des bandes de petits excités, qui ne savent pas viser, ont jeté tout ce qu’ils trouvaient sur des policiers et gendarmes assez impassibles – les ordres sans doute ?
Un pétard m’a même frôlé le museau, mais comme j’avais des masques sur moi pour éviter les senteurs lacrymogènes, il n’y a pas eu de mal. Plus loin, tandis que des secouristes soignaient une manifestante atteinte à la tête par un projectile, ces hystériques masqués continuaient à balancer des bouteilles, au mépris de la blessée. Il faut dire que pas mal d’entre eux étaient alcoolisés à souhait, voire carrément défoncés. Et avec la chaleur qu’il faisait, vos imaginez le résultat…
Poubelles éventrées, vélo brûlé, avant d’être sorti du feu par un manifestant moins con que la moyenne, hurlements primitifs, danses tribales, etc., on avait l’impression d’être à la fête médiévale des fous. Et que proposaient cette jeunesse déconstruite : casser, brûler, voire tuer tout ce qui les dérange.
Ernest Renan disait : « La jeunesse est capable de toutes les abnégations. » Eh bien, celle que j’ai vue hier est capable de toutes les aberrations et rien d’autre…
(Photos & vidéo : Charles Demassieux pour Riposte laïque)
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Les antifas sont de petits cons qui je savent pas ce que c’est que la vie. Je commence à comprendre pourquoi un vieux cousin, qui avait fait la guerre de 40, et cinq ans de stalag, un des pires, véritable camp de la faim et de la soif, dont on ne s’évade jamais, me disait en parlant des jeunes cocos et gauchistes, il leur faudrait une bonne guerre pour leur apprendre à vivre.
Pour moi, ce qui arrive aujourd’hui est tout à fait normal, la jeunesse de ce pays se retrouve dans une situation qu’elle a elle-même mise en place à force de ne pas faire face à ses responsabilités. Par lâcheté, par ignorance, par manque d’intérêt, par laxisme, elle a ignoré les signaux d’alerte de notre société qui entrait dans une phase de décadence. Ce refus d’accepter les évidences les place maintenant devant un choix quasiment impossible. Pour nous patriotes, le choix est moins difficile que pour eux, il est simplement moins bon mais évident.