Bienvenue au Dingoland, le pays pas joyeux des gens malheureux

DÉDIÉ À TOUS MES AMIS DE RÉSISTANCE RÉPUBLICAINE , SON ÉMINENTE PRÉSIDENTE, LES AUTEURS ET COMMENTATEURS.

BIENVENUE AU  DINGOLAND, LE PAYS PAS JOYEUX DES GENS MALHEUREUX.

Au Dingoland, il vous faut un passeport pour prendre le train, l’avion. C’est le pays de la libre circulation, paraît-il.
Au Dingoland, on verbalise des manifestants  arborant le drapeau du pays. Être patriote est devenu un délit. Par contre arborer un drapeau de l’Algérie ne pose aucun problème. Ce qui prouve que ce gouvernement est composé de collabos, président en tête.
Au  Dingoland, faire de la prison ou être condamné pour un homme politique n’empêche pas de faire carrière. Par contre, pour un simple quidam, impossible, d’entrer dans l’Administration, et de grosses difficultés pour retrouver ne serait-ce qu’un emploi. Par contre, faire de la prison et devenir ministre de la Justice ou de l’Intérieur, c’est possible.
Au DINGOLAND, le pouvoir a trouvé le moyen de faire des économies de police;  désormais, dans certains quartiers, ce sont les trafiquants eux-mêmes  qui  organisent des check-points.
Au Dingoland, l’élevage est en crise, mais on n’a jamais vu autant de moutons; notamment ceux qui se précipitent avec gourmandise dans les centres où l’on vaccine , ou qui s’apprêtent à vouloir  reconduire Panurge comme chef du troupeau.
Au  Dingoland, la disparition d’un affairiste célèbre  a fait couler plus d’encre que le décès d’un éminent virologue et médecin.
Au  Dingoland, on vend l’électricité à bas prix aux pays  voisins, tout en menaçant  les citoyens  de coupures et en augmentant les prix de cette source d’énergie de manière exponentielle et drastique.
Au  Dingoland, on installe des éoliennes, sortes de moulins qui ne fonctionnent que lorsque le vent est suffisant.  On construit aussi des centrales photovoltaïques dans un pays où l’ensoleillement  en moyenne  n’est  que de 1700 heures par an, alors que la consommation en continu s’étale sur  7760 heures.
Au Dingoland les policiers manifestent pour   leurs propres revendications mais matraquent les citoyens qui osent manifester pour leur pouvoir d’achat.
Au  Dingoland, on a fermé une centrale nucléaire alors que l’on risque de manquer de courant électrique au vu de la maintenance en cascade sur les centrales existantes.
Au  Dingoland, pour finir d’enfoncer le clou, on préconise la voiture électrique, le chauffage tout électrique, alors que l’on sait très bien que la production d’électricité sera insuffisante. Des centrales devront être construites, des EPR, mais comme il faudra un certain laps de temps avant qu’elles n’entrent en fonction, la situation va devenir délicate. À noter qu’un EPR est en cours de construction  depuis… 2006. Peut-être que cet EPR  sera mis en route lorsque sa conception sera obsolète.
Au  Dingoland, il faut être vacciné pour mener une vie à peu près normale. Boire un café debout au  Dingoland est plus dangereux que de le consommer assis. Au cinéma, dans les restaurants, dans tous les lieux de culture, il faut présenter un ausweis vaccinal. Les patrons de café sont devenus des auxiliaires de la police. Die papier  bitte!
Au  Dingoland, si vous estourbissez un agresseur et que vous êtes un autochtone, c’est la case prison. Par contre, si l’agresseur est d’une autre culture, il est souvent déclaré irresponsable et  on le soigne au CHP.
Au  Dingoland, l’autochtone traîné en justice doit payer son avocat, pas souvent des pointures du barreau, mais l’exogène voit se précipiter vers lui tous les ténors de la toge. Si l’autochtone bénéficie  de l’assistance judiciaire, c’est le dernier de sa promotion qui risque de s’occuper de son  affaire.
Au  Dingoland, un anticyclone sanitaire bloque tous les effets secondaires du vaccin. Résultat, zéro décès, zéro effet secondaire.  Du moins officiellement.
Au  Dingoland, la presse écrite ou parlée n’informe pas ses  électeurs et auditeurs des dangers de la thérapie génique en cours, ni des accidents s’y rapportant.
Au  Dingoland, mieux vaut cramer des voitures et mettre des quartiers à feu et à sang quand on habite des cités défavorisées. Par contre, manifester pacifiquement quand on est un citoyen ordinaire,  c’est aléatoire. On risque d’être éborgné ou mutilé, et bien gazé. Vu le prix actuel du gaz, c’est du gaspillage.
Au  Dingoland,  des prêtres catholiques aménagent des lieux de prière pour les musulmans dans leurs propres églises. D’ici à ce qu’ils se convertissent…
Au  Dingoland, un président utilise  sa fonction pour démarrer  sa  campagne électorale, alors qu’il ne s’est pas déclaré candidat. Personne ou presque  ne proteste.
Au  Dingoland, des candidats à l’élection ne pourront peut-être pas obtenir tous leurs parrainages parce que beaucoup de maires sont victimes de pressions de la part du pouvoir en place par le biais des dotations et subventions. Et ça n’émeut presque personne.
Au  Dingoland, pour un non-vacciné, dur dur de se faire soigner à l’hôpital.Quand ce n’est pas carrément impossible.  Si un non-vacciné est  atteint du Covid, son médecin refusera de lui  prescrire les médicaments ad hoc. Mieux  vaut  l’envoyer en réanimation, ça gonfle les statistiques et ça fait de la pub pour le vaccin.
Au  Dingoland, il y a autant de collabos  que lors de la dernière guerre, peut-être même plus. Étonnant, non?
Au  Dingoland, il y a  un président qui n’hésite pas à menacer un pays comme la Russie, pays qui dispose d’une puissante armée et d’un matériel moderne. Quand on voit l’état de délabrement de l’ armée de Dingoland, on ne peut qu’en rire. De plus, menacer un pays de sanctions alors que c’est un fournisseur de gaz et de pétrole, matières premières indispensables  dont les prix ont explosé, cela me semble un peu risqué. Il est vrai que la haute bourgeoisie politique, intellectuelle et financière aura toujours les moyens de payer.
Au  Dingoland, on prône le remplacement des autochtones par des migrants, migrants qui sont considérés comme des chances pour le pays et qui y importent  une religion mortifère pour laquelle les  dirigeants ont les yeux de Chimène.  Pour les flatter, on déconstruit l’ histoire, la  langue, les coutumes du pays, et on saigne les autochtones par le biais des taxes et impôts divers pour financer cette invasion.
Au  Dingoland, on jette l’argent par les fenêtres en direction de l’Afrique, alors que la   nation  compte onze millions de pauvres et six millions de chômeurs réels. Et que la  dette est abyssale.
Au  Dingoland, des électeurs  s’apprêtent à revoter pour un président qui les a insultés, emmerdés. J’allais dire un serial killer de la seringue.  Étonnant, non?
Au  Dingoland , une secte étrange veut prendre le pouvoir. Son but, verdir le pays! Fini les automobiles, sauf électriques, fini le chauffage au fuel, au bois, au gaz. Place au chauffage électrique alimenté par les éoliennes ou le photovoltaïque. Plus de sapins de Noël non plus. Plus rien de ce qui faisait le charme de ce beau  pays.
Au Dingoland, le gouvernement utilise des blindés contre des manifestants pacifiques mais  envoie des médiateurs dans les cités lors des émeutes.
Il reste beaucoup à dire sur Dingoland. Ce n’est pas possible en un seul texte.
Pour paraphraser une célèbre enseigne, Dingoland, le pays où la vie est plus chère,  et dangereuse pour les autochtones.     BIENVENUE AU DINGOLAND! VOUS ENTREZ DANS UNE ZONE DE DANGER! N’OUBLIEZ PAS DE VOUS MUNIR DE VOTRE PASS ET AYEZ DES DEVISES DANS LA POCHE, NE SERAIT-CE QUE POUR PAYER LES CONTREDANSES ET LES TESTS PCR, ET ACHETER DES MUSELIÈRES.  Toute ressemblance avec un pays existant ne saurait être fortuite.

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6 Comments

  1. Super!!! Ce Dingoland me fait étrangement penser à ….. La France, mais ce n’est qu’une impression n’est ce pas?

  2. D’accord sur tout ! Ce matin, encore une amende au courrier, pour dépassement sur une belle route droite, limitée à 80 km/h par Macron…grr

  3. Merci Argo ,pour cette analyse pertinente et surtout réaliste de l’état de décrépitude dictatoriale qu’est devenu Dingoland , comme nous sommes à la croisée des chemins pour notre Avenir qui est déjà bien sombre , si aucun sursaut salvateur du peuple ne se produit en virant cette bande de dictateur assassin ,s’en est fini du peuple français !

  4. Ce matin j’appelle un hôpital près de chez nous pour un rendez-vous en pneumologie. On ne peut avoir de rendez vous si on n’a pas une lettre du généraliste, et puis apporter des radios ou scanners depuis 3 mois.
    Si non pas de rendez vous.
    J’ai lui ai dit que nous avons un scanner et radios depuis 6 mois mais nous n’avons pas de lettre, et que nous voulons consulter un spécialiste car la situation s’aggrave.
    Pas possible sans passer encore une fois par un généraliste, lettre et encore de scanner, et venir avec, si non pas de rendez-vous spécialiste.
    Généralistes, ça fait 2 ans que nous n’avons plus de médecin traitant et nous passons d’un médecin à un autre quand on en trouve un qui veut bien nous recevoir. Une galère de se faire soigner dans ce pays.
    C’est bien plus qu’un Dingoland.

  5. C’est exactement pourquoi j’ai decide il y a longtemps de quitter le Dingoland pour ne plus y remettre les pieds et bien m’en a pris.
    On me fout la paix,je suis en totale securite,,il fait chaud a l’annee,on ne m’insulte pas,la vie est bien moins chere ,j’ai des rendez-vous immediats chez les specialistes et en cas d’operation ca se programme sous 3/4j et je peux voir le Dingoland de loin a la Tv.

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