Christina LaBette : AVC après la 2ème injection Pfizer et très graves effets indésirables persistants

Christina LaBette (avec son mari Damon)  avant l’injection Pfizer du 22 avril 2021
Effets indésirables persistants très graves

Christina expose son histoire ci-dessous :

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Warren, Michigan, USA

J’ai reçu mon deuxième vaccin Pfizer le 21 avril 2021. Le 22 avril 2021, j’ai été admise aux urgences de l’Hôpital de l’Ascension  pour un accident vasculaire cérébral. Depuis lors, ma vie a été bouleversée. Elle a été traumatisante et terrifiante. Je sais que ce billet est long, mais ce n’est qu’un résumé des 290 derniers jours de ma vie.

Je n’oublierai jamais la première fois que cela s’est produit. Je me sentais vraiment mal, comme si mon cœur était sur le point de sortir de ma poitrine, comme si j’allais m’évanouir. Je me suis regardée dans le miroir et tout le côté droit de mon visage était affaissé. Je ne pouvais pas lever mon bras au-dessus de ma tête. J’ai essayé de réveiller Damon, mon mari (qui peut dormir pendant une tornade), et comme je n’y arrivais pas, j’ai appelé mes parents. Je leur ai dit que je les aimais et que je voulais m’assurer que ma fille Autumn sache qu’elle était la lumière de ma vie et combien je l’aimais.  L’instant d’après, mes parents étaient chez moi, puis j’étais dans la voiture de mon père aux urgences. Je me souviens avoir été entourée par les médecins, les infirmières et le personnel. Ils m’ont dit que je faisais un AVC, mais que j’allais m’en sortir. Je ne me souviens pas de grand-chose après cela, jusqu’à ce que je panique dans l’appareil de tomodensitométrie (scanner) et que je me demande ce qui se passe. J’ai beaucoup de pertes de mémoire pendant cette période. Je sais qu’ils m’ont dit que je n’avais pas eu un véritable AVC, mais un mini AVC, ce qui signifiait qu’un AVC était imminent. Ils m’ont libérée le lendemain.

Cela s’est reproduit moins de douze heures après ma sortie de l’hôpital et mon père m’a emmené d’urgence à McLaren. J’ai de nouveau été admise en code AVC et ils ont fait d’autres tests et m’ont fait voir celui  que je pense être leur meilleur neurologue pour les patients hospitalisés. Il a été formidable et a passé du temps avec moi. C’est lui qui m’a dit qu’il pensait que je faisais une réaction au vaccin Pfizer. Au cours des semaines suivantes, je l’ai vu à maintes reprises, car j’ai été admise plusieurs fois à l’hôpital. Il m’a assurée à chaque fois que mes signes vitaux se stabilisaient, que mon corps réagissait au vaccin et qu’il demandait d’autres tests, donnait d’autres recommandations et essayait quelques médicaments différents pendant mon hospitalisation. C’est lui qui a diagnostiqué que je souffrais d’une, maladie du muscle cardiaque causée par le vaccin Pfizer. Il m’a adressée à son partenaire pour les soins ambulatoires, qui a fait tout ce qu’il a pu mais n’a pas pu m’aider au delà. Il essaie toujours de m’aider en m’orientant et en faisant tout ce qu’il peut. Ces deux médecins ont été les premiers à m’aider, et pendant un certain temps, les seuls à essayer.

Alors que je devais faire face à tous ces symptômes semblables à ceux d’un accident vasculaire cérébral, à des problèmes de vision, d’élocution, de mémoire, à d’horribles douleurs et à des déficits neurologiques inexpliqués, j’ai commencé à avoir des douleurs thoraciques, une pression artérielle élevée, un rythme cardiaque élevé et à ne plus pouvoir respirer. On m’a emmenée aux urgences pour écarter la possibilité d’une crise cardiaque. J’ai commencé à voir le cardiologue de mes parents et son infirmière praticienne. Test après test, ils m’ont dit que mon cœur était en bon état. En novembre, j’ai été hospitalisée pour une péricardite et un épanchement pleural. C’était effrayant. Après six semaines de traitement et de surveillance, on m’a dit que je pouvais arrêter ces médicaments et reprendre ceux que je prenais pour la maladie du muscle cardiaque. J’ai dû faire face à une aggravation des symptômes et à un nombre beaucoup plus élevé de crises d’hémoglobine en l’absence de médicaments. Après tout cela, ils m’ont dit que c’était secondaire à quelque chose de neurologique.

Aujourd’hui, neuf mois et demi plus tard, j’ai des valves qui fuient et des calcifications qui n’étaient pas présentes au début, en raison du stress que subit mon cœur. Mais on m’assure que ces problèmes ne mettent pas ma vie en danger et qu’il n’est pas nécessaire de les traiter. Je ne peux pas laisser mon rythme cardiaque dépasser 140, donc je suis pratiquement clouée au lit, sauf si mon cœur passe une bonne journée, ce qui n’est pas très fréquent.

C’était difficile d’être à l’hôpital la veille de Noël, ma fille Autumn  craignant que je ne sois pas à la maison pour le Père Noël ou pour qu’elle puisse ouvrir ses cadeaux. Je ne savais pas si j’avais une crise cardiaque ou si mon corps était en train de s’éteindre. Je ne pouvais pas respirer, j’avais les pires douleurs thoraciques que j’avais jamais ressenties. Ma tension artérielle était extrêmement élevée et mon rythme cardiaque ne descendait pas en dessous de 130, alors Damon m’a emmenée aux urgences. Cela a causé beaucoup d’anxiété à ma fille également. Elle ne devrait pas avoir à se demander si sa mère va s’en sortir, si elle va me perdre, si je vais vivre. Cela l’affecte et je m’inquiète pour elle et j’essaie de lui cacher ce que je peux.

Les choses changent constamment. Je présente sans cesse de nouveaux symptômes, certains plus graves que d’autres, d’autres tolérables. J’ai constamment peur et je m’inquiète de ce qui va se passer, de ce qui va se passer si je ne peux pas retrouver une quelconque fonction, ou si cela finira par me tuer. Les informations ne parlent pas au public du grand nombre de personnes qui ont été blessées par ces vaccins. Ils ne veulent pas effrayer les gens pour qu’ils ne se fassent pas vacciner. Je peux comprendre cela, mais les gens ont le droit de savoir, le droit à un consentement éclairé. Nous ne pouvons pas intenter de procès pour des factures médicales ou des traitements médicaux. Nous sommes coincés avec les factures, les conséquences qui changent la vie.

Depuis le 22 avril 2021 (il y a 289 jours), j’ai passé environ 75 à 80 jours sans avoir un seul rendez-vous avec un médecin, pour un test, un traitement ou un séjour à l’hôpital. Je souffre maintenant de tachycardie, du syndrome de tachycardie posturale (PoTS), de fibromyalgie, je me remets encore d’une péricardite et d’un épanchement pleural, j’ai des calculs rénaux dus aux médicaments, une maladie du muscle cardiaque,  Le syndrome d’activation mastocytaire (SAMA, MCAS en anglais, une pathologie immunologique) et qui sait ce que ce vaccin Pfizer a encore fait à mon corps. Je souffre de stress post-traumatique à cause de toutes les inquiétudes et les peurs que cela m’a causées.

Je vis avec des douleurs pulmonaires constantes, un muguet (dû aux médicaments), des douleurs thoraciques constantes, des engourdissements, des vertiges, une sensation d’ivresse permanente, un épuisement extrême, des douleurs partout, des problèmes d’élocution et de mémoire, un brouillard cérébral, des troubles visuels, une sensation de malaise permanente, une pression artérielle élevée/faible, un rythme cardiaque élevé. Je souffre de douleurs fulgurantes à des endroits aléatoires de mon corps, de douleurs nerveuses, je m’évanouis, je manque de m’évanouir, je suis instable sur mes pieds. Je me sens constamment malade de l’estomac.

Vivre avec le syndrome de tachycardie posturale (PoTS) est très dur. J’ai du mal à me lever du lit et à marcher quelques pas jusqu’à la salle de bain sans que mon rythme cardiaque ne monte en flèche à 130-140. Je peux être allongée et mon rythme cardiaque sera de 88, puis m’asseoir ou me lever et il passera à 140. Je dois rester hydratée pour que mes vaisseaux sanguins fonctionnent et que je ne m’évanouisse pas lorsque je me lève. Il est difficile d’essayer de faire de l’activité physique quand je dois m’inquiéter de ne pas m’effondrer ou de tomber parce que ma tension artérielle chute et que mon rythme cardiaque s’accélère. Les étourdissements constants et tout le plaisir qu’ils procurent sont difficiles à supporter.

Je ne peux pas rester seule à cause de l’instabilité de ma santé. Que se passerait-il si je m’effondrais et qu’il n’y avait personne autour ? Je me suis récemment effondrée à l’extérieur et, heureusement, Damon venait de s’approcher de l’endroit où je me trouvais. S’il n’avait pas été là, je me serais cognée la tête contre la brique de la maison en perdant tout contrôle de mon corps en position debout et en m’effondrant. Tomber de sa hauteur quand on est debout, comme le dit Damon, est très grave. Nous avons constamment peur que je m’ effondre à nouveau, que personne ne soit là pour savoir que je me suis effondrée, et si je me suis cognée la tête. Je suis instable sur mes pieds, j’ai des problèmes d’équilibre à cause de la faiblesse et des vertiges.

Je ne peux pas conduire parce que je ne peux pas faire obéir mon corps ou me concentrer. Que se passerait-t-il si je conduisais et que j’avais une attaque horrible, que je ne pourrais pas freiner ou me ranger sur le côté ? J’ai conduit très peu de fois au cours des six derniers mois.

J’ai lutté contre la dépression, me demandant si j’allais m’en sortir vivante. J’ai dû faire face à la peur constante de ne pas savoir si cela va me tuer. J’ai peur de laisser ma fille sans sa mère. C’est terrifiant, un cauchemar. L’anxiété et la peur ont souvent pris le dessus, mais je m’en sors du mieux que je peux.

Je passe la plupart de mes journées cachée dans ma chambre, où il fait aussi noir que la nuit, avec un ventilateur qui fait un bruit  régulier pour essayer d’atténuer certains des horribles bourdonnements d’oreille qui vont et viennent tout au long de la journée, pour me distraire de la lumière vive que j’aimais autrefois. Je m’assois dans le calme la plupart du temps, cachée de ma famille. Ma fille vient me faire des câlins et me parler, et parfois je peux même regarder la télévision sans que cela ne déclenche de crise. Ce sont les bons jours.

Cela a consumé ma vie. Je comprends que ce vaccin est trop récent et que personne ne sait comment nous soigner, et la plupart nient que le vaccin puisse même causer ces blessures. J’ai finalement trouvé un groupe de soutien où il y a beaucoup d’autres personnes comme moi qui ont été blessées par les vaccins Covid. Très peu d’entre elles se sont rétablies à 80 % ou plus et beaucoup ont continué à se détériorer comme moi. Je sais que je ne suis pas seule dans cette aventure, qu’il y a malheureusement beaucoup d’autres personnes qui, comme moi, souffrent du vaccin. J’ai trouvé de la force dans ce groupe de soutien, des conseils et de l’espoir. Mon mari est devenu un aidant naturel.

Au cours des 290 derniers jours, j’ai dû endurer.. :

36 visites aux urgences, admise plusieurs fois
1 admission de 10 jours à l’hôpital Diamond Chicago
46 scanners
6 IRM, dont une à venir
4 ARM (angiographie)
6 EMG (L’électromyogramme évalue la sévérité d’une atteinte nerveuse)
51 électrocardiogrammes
1 moniteur cardiaque de 14 jours
1 EEG de 48 heures
4 Echographies
3 EMG (électromyogramme)
1 cathéter cardiaque
2 tests de stress nucléaire
1 test de stress physique

1 cathéter veineux central type Picc Line, j’ai perdu le compte des injections intraveineuses et du nombre de piqûres
63 prises de sang, sans compter les multiples piqûres pour les intraveineuses ou les veines manquantes.
Plus de 30 radiographies
Plus de 40 médicaments différents administrés/essayés
2 blocs nerveux
1 série de 31 injections de Botox
Plus de 15 spécialistes différents

Texte de la cagnotte écrit en janvier 2022 (terminée).

Vidéo en anglais réalisée par Damon, le mari de Christina : 

https://www.bitchute.com/video/6o9aiIGzc6wy/

Illustration : tableau de  la mexicaine Frida Kahlo sur la douleur (suite à un accident de la route).

 

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9 Commentaires

  1. Ils veulent bloquer les comptes en banque de ceux qui refusent la vaccination : quelle horreur !

  2. https://rumble.com/vui4gy-boum-accusation-de-linstitut-pasteur-raphael-cohen.html?fbclid=IwAR3FMx1u1aK1RfOt5P5C3wxCh7GbxwljZ6pvNEdEHOntBII5jqkfDFlXqwo

    Corruption, pandémie et meurtre.
    L’origine du virus COVID19 à travers la corruption de l’Etat français au service de puissances étrangères, pour la plus grande expérimentation criminelle sur l’espèce humaine depuis l’holocauste.
    Une interview complète qui confirme les dénonciations du Professeur Jean-Bernard Fourtillan, qui le premier a dénoncé l’escroquerie mondiale au mois d’Août 2020.

  3. Meuh non, meuh non, enfin quoi, véran il a dit qu’il n’y a aucun effet secondaire connu, ni aucun décé dû aux vaccin miracle arn. Ils sont totalement sur. C’est véran qui a dit ça. Alors hein, bon, quand même. Si si il l’a dit.

  4. Toujours ces ARNm de malheur et dire qu’avec un vrai vaccin classique il n’y a pas d’effets secondaires.

  5. Vu la liste de ces horreurs, je ne suis pas prêt de me faire vacciner, même avec un vaccin COVID classique. Au fait, ami Jules Ferry, auriez-vous des cas similaires made in France à nous signaler?

    • Il est très difficile, voir impossible, d’avoir des témoignages identiques en France. Pourquoi?
      Parce que ce genre de séquelle « vaccinales » est systématiquement considérée comme séquelle de Covid. C’est la formule adoptée par la « médecine » française, elle fait force de loi. Quiconque en diverge est immédiatement traité de tous les adjectifs péjoratifs nécessaires à disqualifier les hérétiques.
      Et là, je ne vous apprend rien.

      • Entièrement d’accord. Et une certaine « pudeur »/ »honte » des victimes, j’en ai croisé personnellement avec des réactions défigurantes sur tout le corps, les deux femmes en question ne demandaient qu’à se cacher. Il est confirmé dans les milieux médicaux qu’il y a pas mal de problèmes cardiaques.

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