Dénonçant la dégradation d’une œuvre artistique de la ville d’Ivry, en hommage aux victimes algériennes du 17 octobre 1961 à Paris, Robert Ménard a déclaré :
« La bêtise de certains est sans borne… Oui, la répression du 17 octobre 1961 a été d’une violence inouïe et a fait des dizaines de morts. Assumer nos pages sombres fait honneur à notre pays. Soutien à l’artiste ! »
Un jugement partial sur ces évènements vieux de 60 ans, un acte de repentance à sens unique comme toujours, culpabilisant une nouvelle fois la France sans tenir compte du contexte de l’époque. Ménard nous fait du Macron pur jus et sort des âneries.
Il n’est pourtant pas interdit de s’informer auprès de vrais historiens !
Pas étonnant que de plus en plus d’immigrés crachent sur la France, avec des élites qui s’imaginent grandir le pays en le rabaissant et en le salissant régulièrement. Des mea-culpa à sens unique évidemment.
À quand la reconnaissance par les autorités algériennes du massacre de centaines de pieds-noirs le 5 juillet 1962 à Oran ?
À quand la reconnaissance par le pouvoir algérien du génocide de 150 000 harkis, suppliciés par des barbares assoiffés de sang et ivres de cruauté ?
Ménard ferait mieux de se taire. Il passe son temps sur les plateaux à refaire le monde ou à critiquer ses « amis », retournant sa veste au gré des évènements et se rêvant en faiseur de roi.
Il démolit Marine pendant des années, mais quand son grand ami Zemmour lui demande son parrainage, il le donne à celle qui n’a aucune chance de gagner la présidentielle.
C’est cela Ménard, un type qui dit tout et son contraire, mais qui a besoin de la ramener à tout propos.
Mais revenons au « massacre » du 17 octobre 1961, qualifié de « crime inexcusable de la République » par Emmanuel Macron.
Voilà un Président qui aura passé 5 années à faire pénitence devant l’Algérie. Il ne sait qu’humilier et salir la France.
Bernard Lugan, historien africaniste connu de tous, a parfaitement démontré que le prétendu massacre n’est qu’une manipulation de l’opinion, savamment orchestrée par le Système, en France comme en Algérie.
S’appuyant sur le rapport d’enquête de 1999, après que Jospin eut déclassifié les archives de la guerre d’Algérie, Bernard Lugan a fait une ultime mise au point à propos de cette fable, le 12 octobre 2021.
Le contexte de l’époque
En 1961, nous sommes en guerre et le FLN mène la sienne aussi bien en Algérie qu’en métropole, tuant des Français sur notre sol, mais aussi des Algériens opposés au FLN et des harkis. Le véritable massacre, soigneusement mis sous le tapis par les falsificateurs de l’Histoire, il est là :
Le territoire français fut le théâtre d’un affrontement meurtrier entre le Front de libération nationale (FLN) et son rival, le Mouvement nationaliste algérien (MNA)
L’enjeu ? Prendre le contrôle de la communauté algérienne de métropole et s’emparer de la manne que représentait l’impôt pour la « guerre de libération », prélevé sur les salaires.
Bernard Lugan nous rappelle qu’entre 1956 et 1962, le FLN a commis 10 223 attentats sur notre sol. Au total, de 1955 à 1962, le FLN a assassiné 6 000 Algériens et en a blessé 9 000 autres. Mais la sphère bien-pensante préfère monter en épingle le 17 octobre 1961.
« Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins. »
C’est dans ce contexte que le FLN tente un coup de force pour s’imposer définitivement face à son rival. Le 17 octobre 1961, il passe outre le couvre-feu et lance une vaste manifestation.
1658 membres des forces de l’ordre sont mobilisés.
À partir de ce moment, le FLN et ses porte-valises communistes vont fabriquer la plus belle fable de la guerre d’Algérie, encore entretenue aujourd’hui par Emmanuel Macron, virtuose de la repentance à sens unique.
« Jouant sur les dates, additionnant les morts antérieurs et postérieurs au 17 octobre, pour eux, tout Nord-Africain mort de mort violente durant le mois d’octobre 1961 est une victime de la « répression policière »… Même les morts par accident de la circulation comme nous le verrons plus loin !!! »
Il fallut attendre 1999 pour que la commission d’enquête, voulue par Lionel Jospin et présidée par le conseiller d’État Dieudonné Mandelkern, fasse la lumière sur cette journée du 17 octobre 1961.
https://www.vie-publique.fr/sites/default/files/rapport/pdf/984000823.pdf
Au paragraphe 2-3-5, le rapport de cette commission d’enquête précise que 7 morts sont à déplorer au cours de cette journée, mais une seule victime se trouvait dans le périmètre de la manifestation. Les 6 autres victimes n’avaient rien à voir avec l’évènement qui nous intéresse. Il n’y a donc jamais eu de massacre.
Mais pour les Algériens, où qu’ils résident, la guerre d’Algérie n’est toujours pas terminée. Entretenir son perpétuel souvenir permet aux prédateurs de l’Algérie de masquer le naufrage de l’Indépendance et le saccage du pays depuis 1962.
Rappelons qu’en 60 ans, la Chine est partie du Moyen Âge pour se hisser jusqu’au deuxième rang mondial ! Et sans pétrole ni gaz, ou presque, puisque Pékin en est le premier importateur mondial. À chacun sa culture…
Mais un Chinois, ça ne pleure pas sur son passé, ça construit l’avenir.
On mesure ainsi l’ampleur de cette légende du 17 octobre 1961, que gobent tous nos dirigeants pour ne pas déplaire au gouvernement algérien et à la communauté immigrée, toujours bien disposée quand il faut accabler son pays d’accueil.
Bilan réel
Le 17 octobre 1961 il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation. Ce n’était pas un Algérien mais un Français, qui eut le crâne fracassé.
Où sont les dizaines de morts et de noyés ?
Ni les hôpitaux parisiens, ni la morgue, n’ont fait état de corps de Nord- Africains enregistrés ce jour-là.
Selon le rapport Mandelkern, sur les 41 cadavres de Nord-Africains enregistrés à la morgue du 17 octobre au 4 novembre, 16 n’ont rien à voir avec la manifestation du 17.
Pour les 25 autres, voici la liste que rappelle Bernard Lugan :
Corps identifiés :
– 6 furent tués par le FLN (strangulation, arme blanche, arme à feu)
– 2 décès sur la voie publique (troubles mentaux et alcoolisme)
– 1 décès par crise cardiaque le 21 octobre
– 1 décès par accident de la circulation
– 1 mort à l’hôpital Boucicaut des blessures reçues le 17 octobre
– 2 morts dont les causes ne sont pas élucidées.
Corps non identifiés
– 7 tués par le FLN (1 arme blanche, 2 noyades, 1 noyade nu, 2 armes à feu, 1 strangulation)
– 1 mort de blessures à la tête. Blessures reçues le 17 octobre ? Nous l’ignorons
– 1 mort des suites de blessures reçues place Saint-Michel
– 3 morts dont les causes ne sont pas élucidées.
La conclusion tient dans le paragraphe ci-dessous.
La fable du 17 octobre 1961 ne sert qu’à masquer le massacre, bien réel quant à lui, perpétré par le FLN contre ses ennemis. Une tuerie que tous les prétendus historiens vendus à la cause algérienne préfèrent taire.
« Pour toute l’année 1961, 308 cadavres de « N-A » entrèrent à l’IML, dont plusieurs dizaines de noyés. Or, toujours après enquête, il fut établi que la quasi-totalité de ces morts étaient des victimes du FLN (harkis, partisans de la France, individus ayant refusé d’acquitter « l’impôt de guerre », membres du MNA etc.). Or, une des méthodes d’assassinat du FLN était l’étranglement ou l’égorgement suivi de la noyade… »
Avec les falsificateurs de l’Histoire et tous les valets qui les servent, par conviction ou par ignorance comme l’inénarrable Ménard, les mythes anti-français ont encore de beaux jours devant eux.
Colporter une fable anti-française, voilà qui ne risque pas de grandir qui que ce soit !
Jacques Guillemain
1,729 total views, 2 views today
Je me demande pourquoi à cette époque, le Gouv n’a pas emprisonné les FLN qui faisaient des attentats en métropole.
Aucun mort noyé ce jour-là, sauf deux Algériens exécutés par le FLN, et un Français. Le ciment qui a construit l’histoire de l’Algérie après 1962, c’est le mensonge. Un commandant de l’armée de terre, venu dîner chez mes parents après l’abandon de l’Algérie Française, a déclaré à mon père, lui-même militaire : maintenant qu’ils ont récupéré leur bled, ils n’ont pas fini de nous emmerder. Cela m’a tellement frappé que je m’en souviens 60 ans après. C’était un visionnaire. Ménard est un traître ! Où il devient gaga.
Non seulement MENARD est un traître mais il est aussi gaga !!!
Commen sa femme peut-elle le supporter ?…
Tout à fait d’accord avec vous !
Un mensonge d’Etat et de la sphère bien-pensante. Mais comme c’est du lourd, du très lourdement asséné et répétitif, « on » aura toute notre vie (et au delà) cette accusation sur le dos.
Mensonge relayé aujourd’hui par des salauds et des crétins, dont ce pauvre Menard (lequel a définivement perdu toute crédibilité et à qui il faut renier toute appartenance patriotique)
J’avais 23 ans à l’époque et j’habitais rue de Citeaux, à quelques centaines de mètres de là. je suis allé du côté de la rue Charonne, « pour voir »! Je n’y suis pas resté longtemps car cela était chaud-bouillant et je ne voulais pas riquer d’être pris entre « 2 feux » (euphémisme). Oui, j’ai vu des charges des forces de l’ordre, amis rien que de classique (pas pires que celles, assez récentes, contre les Gilets Jaunes). Je suis rentré me coucher et le lendemain (ainsi que les jours et les semaines suivants), rien de particulier à la radio quant à des « ratonnades ».
Mais la mécanique était déjà « en marche » ….
Bonjour,
Merci pour cet article.
Il faut continuer, inlassablement, à s’opposer aux mensonges du FLN criminel.
il est proche des milieux anarchistes, puis trotskistes, et milite à la Ligue communiste a 20ans de 1973 à 1979. COMMUNISTE UN JOUR ,,,COMMUNISTE TOUJOURS.Qu’est ce qu’il sait de ce jour il avait 8 ans.Moi j’avais 13 ans mon anniversaire , dans la voiture le long du boulevard ou ont eu lieu les affrontements. Mon pere et mon oncle communistes étaient dans l’affrontement a l’appel des communistes ,PSU , de l’UNEF , Des jeunesses chretiennes et D’autres .Des traites qui ont soutenus les terroristes du FLN , Traites un jour traites toujours. Aujourd’hui toujours pour l’invasion colonisatrice
Ménard est abjecte !