Tubiana et Claverie se rebiffent : le vaccin ne marche pas du tout, et l’épidémie est banale

Le virologue Jean-Michel Claverie dit clairement que le « vaccin » ne marche pas du tout face à omicron. On s’en doutait un peu, à Résistance républicaine… nous qui, depuis de début, mettons en doute et son intérêt et son efficacité  ; sans compter que nous l’accusons d’effets secondaires graves allant trop souvent jusqu’au handicap à vie et même au décès.

Dans l’article de RTF ci-dessous Claverie est très clair. Et sa démonstration imparable, si le « vaccin » n’a une efficacité que de 3 mois, il ne marche pas, il faut le dire clairement.

Dans le même ordre d’idée il faut aussi écouter le professeur Tubiana, épidémiologiste, qui se veut plus que rassurant ! Non on n’a pas besoin de ces « vaccins », 40 malades en une semaine pour 100 000 habitants en France, soit 0, 04%  de la population en une semaine. 

 

[…]

En une semaine 12,9 malades ont été hospitalisés pour 100 000 habitants (2,8 admissions en soins critiques pour 100 000 habitants). Pour 100 000 habitants, il y a 5 800 lits d’hôpitaux. Les hôpitaux ne sont donc pas submergés de malades covid, contrairement aux mensonges diffusés depuis deux ans par les médias.

 

Laurent Toubiana souhaite que les Français sortent de leur torpeur et se rendent compte que les 33 milliards tirés de leurs poches ont été dépensés pour une épidémie qui n’en est pas une et qui n’a, au plus fort, fait que 140 malades pour 100 000 habitants, ce qui est une épidémie banale. Interrogé par CNews, il a droit à une réflexion réplique pleine d’empathie et de respect de la part de la « journaliste » : « Tout le monde se tromperait à l’échelle nationale sauf vous. » A quoi il répond : « Tout le monde ne se trompe pas. En réalité on a publié une tribune qui a été signée par deux mille chercheurs et professionnels de santé. Malheureusement cette tribune a été enterrée. Il y a énormément de gens en France qui ont conscience de ce mensonge. »

[…]

https://lemediaen442.fr/laurent-toubiana-revele-les-vrais-chiffres-du-covid-19-en-france/

 

 

Dans une interview à BFMTV, le professeur émérite de l’université d’Aix-Marseille déclare que «la troisième dose dure encore moins longtemps que les précédentes» et qu’en conséquence, le vaccin n’est selon lui «plus une arme» contre la pandémie.

Une voix discordante dans le concert d’incitations à la vaccination contre le Covid-19. Le virologue Jean-Michel Claverie, professeur émérite à l’université d’Aix-Marseille, a estimé le 25 décembre sur BFMTV que ces sérums n’étaient pas utiles pour empêcher la transmission du virus, face à l’émergence du variant Omicron. «Le vaccin n’est plus une arme», a ainsi assuré le fondateur de la Société française de virologie.

Le vaccin ne marche pas du tout pour empêcher la transmission. On savait déjà qu’il n’empêchait pas vraiment la transmission du variant Delta de vacciné à vacciné, ou de vacciné à non-vacciné, mais avec le variant Omicron, il fonctionne encore moins bien pour empêcher cette transmission», a-t-il étayé. D’où, selon le scientifique, le grand nombre de cas en France, avec 104 611 personnes testées positives le 25 novembre, un record en 24 heures.

Le vaccin ne marche pas du tout pour empêcher la transmission

«La troisième dose dure encore moins longtemps que les précédentes. On sait maintenant qu’au bout de trois mois, ce gain qui passe de 30% à 80% d’efficacité [avec le rappel] redescend à 30%. Donc il va falloir trouver une autre solution», a poursuivi Jean-Michel Claverie, selon lequel avec le variant Omicron, le vaccin «n’est plus une arme» et «cette notion de troisième dose que l’on veut forcer est un petit peu illusoire».

L’efficacité des rappels vaccinaux en question

Le déclin de l’efficacité des vaccins même après la dose de rappel soulève des inquiétudes : le 20 décembre, Le Monde relevait par exemple, dans son entretien avec le PDG de BioNTech (à l’origine du vaccin à ARN messager produit avec Pfizer) Ugur Sahin, qu’une équipe allemande avait «fait récemment état d’une baisse très rapide de l’efficacité, même après trois doses». «Après trois mois, celle-ci retombait à 25%», indiquait le quotidien. Le PDG reconnaissait alors que la perte de l’efficacité contre Omicron du vaccin Pfizer/BioNTech était «très probable» avec le temps, mais qu’il fallait encore en mesurer la rapidité.

[…]

https://francais.rt.com/international/94075-sondage-40-francais-veulent-europe-nations-davantage-souverainete-etats

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Question subsidiaire : pourquoi ce gigantesque cirque pour si peu ?

Vous avez dit « complotiste » ?

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9 Commentaires

  1. C’est bizarre personne ne se posent de questions des adjuvants qui sont souvent du sel d’aluminium , des produits conservateurs , des stabilisants etc qui peuvent causer des maladies par accumulation . A mon avis 3 ou 4 vaccins pendant deux , trois années ou même plus peuvent causer des maladies dans 10 ou 20ans plus graves que le Covid qui tue très peu .

  2. La pandémie de Covid était dure AU DÉBUT… soit quand le gouvernement français était occupé à minimiser le coronavirus ET à refuser de fermer les frontières pour protéger les Français…

    Le Covid continue à être dangereux selon CERTAINS variants… ce dont on n’échappera JAMAIS : en effet, tous types de variants continueront à apparaître FAUTE aux « vaccinés » Covid qui font – à priori – muter le virus (et probablement D’AUTRES virus également, vu ce que sont ces génothérapies prétendument anti-Covid)…

    Si on voulait VRAIMENT protéger le monde du Covid, alors – de mon humble AVIS :
    – on donnerait des moyens décents à la Santé;
    – on soignerait les malades du Covid avec des traitements qui marchent et qui ont fait leurs preuves;
    – on arrêterait d’urgence la « vaccination » Covid, qui en plus de ne servir à RIEN, est incroyablement DANGEREUSE,
    – on confinerait TOUS les « vaccinés » Covid (probablement jusqu’au restant de leurs jours?), OU BIEN on leur réserverait une partie du monde afin qu’ils ne puissent vivre qu’entre eux – histoire de ne plus représenter de danger pour les non « vaccinés » Covid;
    – on n’essaierait pas d’empêcher les gens de se faire contaminer avec le variant Omicron (du Covid)… qui est pratiquement un VACCIN à lui tout seul!

  3. En gros, ce vaccin ne protège pas les vaccinés, ne les empêchent pas de contaminer les autres, ne les protège pas des hospitalisations et des variants. Il sert à quoi, au fait? À enrichir médecins, vaccinateurs et laboratoires. Le gag, l’hôpital est sous tension parce que le personnel tombe malade alors qu’il est vacciné ?

  4. « 40 malades en une semaine pour 100 000 habitants en France »
    S’agit-il de nouveaux malades ou du nombre total de malades?
    Merci à qui pourra éclairer ma lanterne

  5. Sauf qu’en réalité, l’ensemble des lits d’hospitalisation en « soins intensifs » s’élève à plus de 19000.

    Quand on donne le nombre de patients en soi-disant « réanimation », il s’agit de tous ceux en soin intensifs, actuellement 3333.

    Mais curieusement, on rapporte ensuite ce nombre aux seuls lits de réanimation au sens propre (un peu plus de 5000) pour brandir l’épouvantail du tsunami qui va submerger l’hôpital.

    Cela s’appelle une manipulation. Et d’une grossièreté inouïe en outre. Fallait oser.

    En réalité, on est très très loin encore de la submersion.

    A cela il faut rajouter un autre élément : par manque de lit ordinaires, les patients en placés soins intensifs qui vont mieux ne peuvent en être sortis et reversés dans d’autres services normaux. Ce qui encombre inutilement ces services, rajoute à la surcharge. Sinon on en aurait deux fois moins et ça serait donc absolument gérable.
    ___

    Le VRAI problème c’est l’indigence de notre système de santé. Des statisticiens nous disent que la surmortalité observée ces dernières années (depuis 2014)n’est pas due au covid, mais à la dégradation du service de santé en France et à la mauvaise prise en charge des malades, toutes maladies comprises, en particulier les personnes âgées. C’est de la non-assistance en fait, voire un abandon de soins.

    • g passé quand à moi 10 jours en soins intensifs je peux dire que ce n était pas pour le covid mais paracerque un autre véreux n e lit pas les résultats d analyses après prise de sang suite à chimio y suis restée 10 jours et 15 jours ds un autre service alors ne parlons pas de covid uniquement en soins intensifs ni en réa . et castête et vereux ont pas eu besoin de réa ni soins intensifs c est marant non ni micron poudré

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