De Klerk, le valet blanc de Mandela, est décédé

Les deux hommes reçoivent conjointement le prix Nobel de la Paix en 1993 pour « leurs efforts visant à la disparition pacifique du régime de l’apartheid et pour l’établissement d’une nouvelle Afrique du Sud démocratique »

 

Le dernier président blanc d’Afrique du sud a vendu son peuple.

Il s’est fait élire pour négocier une sorte de gouvernement de cohabitation avec la majorité noire et a fini par vendre son peuple aux mondialistes.

 Son peuple qui est aujourd’hui une minorité opprimée et persécutée. 

La dissolution – la capitulation – du gouvernement blanc sud-africain est l’un des plus grands mystères de l’histoire.

De Klerk est aussi le président de la Global Leadership Foundation, établie en 2004, dont la mission est de promouvoir le multiculturalisme auprès des chefs de gouvernement. Il effectue aussi des conférences dans le monde entier pour promouvoir le vivre-ensemble dans les sociétés multiculturelles.

Il a été président de 1989 à 1994, date à laquelle Mandela est devenu président, qui le voulait à ses côtés, lui confiant le poste de vice-président.

Lorsque les Sud-Africains blancs l’ont élu démocratiquement, ils s’attendaient à une division du pouvoir fondée sur la race, comme c’est le cas aujourd’hui sur une base ethnique en Bosnie, où chaque peuple vote pour ses propres représentants, et non une « démocratie » multiraciale où les Blancs ne comptent plus car ils sont minoritaires. 

Sur RR :

Extrait :

En 1994, quand, après avoir menti à son peuple, le président De Klerk hissa au pouvoir un Nelson Mandela bien incapable de le conquérir par les armes, il légua à l’ANC la première économie du continent, un pays doté d’infrastructures de communication et de transport à l’égal des pays développés, un secteur financier moderne et prospère, une large indépendance énergétique, une industrie diversifiée, des capacités techniques de haut niveau et la première armée africaine.

Libérée de l’ « oppression raciale », la « nouvelle Afrique du Sud » fut immédiatement la proie du parti prédateur ANC dont les cadres, aussi incapables que corrompus, eurent comme objectif principal leur propre enrichissement.

La suite fut le désastre que l’on connait et le pays a sombré : PIB en chute libre, l’industrie minière a périclité, les aides sociales explosé, la criminalité  fait de l’Afrique du Sud un des pays les plus dangereux au monde, l’exceptionnel maillage médical a disparu…

Enfin, chiffre terrible, aujourd’hui, le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994!!! 

20 ans après, un aperçu du paradis promis : Les Blancs du bidonville de Johannesburg, vidéo, 8 déc. 2013 :

« Quand les pauvres sont aussi blancs  »

De Klerk est mort, après lui le déluge.

L’enfer pour les fermiers blancs a commencé « à  l’arrivée de Nelson Mandela au pouvoir » (Andre Pienaar)

En réalité, depuis 1994, l’Afrique du Sud vit sur l’héritage légué par le régime blanc. Les nouveaux dirigeants du pays n’ayant pas réalisé les nécessaires et colossaux investissements qu’il était pourtant urgent de faire afin de simplement maintenir les capacités de production. En plus de cela, le climat social a découragé les éventuels investisseurs qui ont préféré faire «glisser» leurs activités vers des pays plus fiables.

L’agriculture avait, elle aussi, perdu plusieurs centaines de milliers d’emplois avant le coup mortel porté aux fermiers le mardi 27 février 2018, quand le parlement sud-africain vota le commencement d’un processus de nationalisation-expropriation sans compensation des 35.000 fermiers blancs(Bernard Lugan)

 

13 octobre 2020 dans la presse.

Afrique du Sud : la mort d’un fermier blanc déchaîne la colère

Le meurtre du jeune Brendin Horner, 21 ans, continue de secouer le pays.

Samedi dernier, plusieurs centaines de fermiers en colère ont a nouveau manifesté dans la capitale Pretoria pour dénoncer la mort d’un jeune fermier blanc de 21 ans, retrouvé attaché par le cou a un poteau.

Le meurtre d’un fermier blanc, deux suspects noirs arrêtés, des manifestations virulentes.

Tout a commencé le 2 octobre dernier, par la découverte du corps sans vie de Brendin Horner, 21 ans. Il gérait une ferme près de Paul Roux dans la province du Free State dans le centre du pays. Il a été retrouvé attaché à une clôture métallique à environ 100 mètres de son domicile, après avoir été battu et étranglé. Dès le lendemain, des dizaines de fermiers blancs ont envahi le tribunal de la localité voisine de Senekal à la recherche de deux suspects noirs arrêtés très rapidement par la police, des voleurs de bétail, d’après la presse locale – mettant le feu à une voiture de police et brandissant des pancartes « Boer Lives Matter » (les vies des Boers comptent). Les images ont fait le tour du monde.

Les deux hommes accusés du meurtre de Brendin Horner ont été libérés sous caution.

 

D’autres histoires similaires dans leur brutalité ont fait, ces dernières années, les gros titres des journaux. La mort de Brendin Horner succède à celle de Chantel Kershaw, fermière blanche agressée sexuellement et tuée par deux hommes dans sa ferme près de Johannesburg le 30 septembre.

38 meurtres depuis le début de l’année [au 13 oct 2020]

Toute la semaine, la tension est montée crescendo. Samedi, des centaines d’agriculteurs blancs avaient manifesté en famille à Pretoria devant le siège du gouvernement. Brandissant un poing rageur ou posant un genou à terre en prière silencieuse, ils avaient conjuré l’État de condamner les meurtres de fermiers blancs qui se multiplient, de prendre des mesures pour les protéger.

 

« Nous sommes là pour dire au monde entier qu’il y a un gros problème en Afrique du Sud ».

« Quelque chose qui couve depuis 25 ans » – date correspondant à l’arrivée de Nelson Mandela au pouvoir » –, a déclaré Andre Pienaar, acclamé par la foule en colère, dans laquelle on pouvait voir des visages noyés de larmes.

https://www.lepoint.fr/afrique/afrique-du-sud-la-mort-d-un-fermier-blanc-dechaine-la-colere-13-10-2020-2396233_3826.php

Documentaires :

 

 895 total views,  1 views today

image_pdf

18 Commentaires

  1. Voit-on le crapaud pustuleux soros en compagnie de Klerk ?
    Ce serait lui qui a soufflé l’idée de soumission.
    Le monstre est partout où il peut nuire aux blancs.

  2. D’ici une vingtaine d’années, quand tous les fermiers blancs seront morts ou partis, les black vont se rendre compte qu’il faut bosser pour que ça pousse. Ils vont tous se retrouver à crever de faim, Malema en tête. Et la bien pensance européenne les invitera à venir bouffer chez nous les produits qu’ils sont incapables de produire chez eux…

    • Si les Noirs crèvent de faim du fait de leur fainéantise, cela permettra au moins de réguler leur démographie galopante.

  3. Maintenant qu’il n’y a plus de blancs du nord au sud de l’Afrique ce continent est devenu un shithole complet, les jaunes s’occupent de piquer les trésors qui leur restent là ou il y en a.

  4. « La dissolution – la capitulation – du gouvernement blanc sud-africain est l’un des plus grands mystères de l’histoire. »
    Non, non, c’est tout à fait logique.
    « Certaines civilisations sont anéanties par des idées, comme d’autres par des conquérants. »
    (Paul Morand, « Journal inutile », 14 juillet 1973)

  5. « l’Afrique du Sud vit sur l’héritage légué par le régime blanc. »

    Comme le reste du continent, je serais curieux de savoir où en serait l’Afrique si les blancs n’y avaient jamais posé le pied.

    • @ PETIT
      Vous en avez un aperçu de cette Afrique après le départ des Blancs. Et après que les Blancs aient été mis en minorité en Afrique du Sud : un pays gouverné par des déchets de l’humanité, y compris la population qui est en train de saccager tout l’héritage des Blancs.

    • Bonjour , un Américain qualifié de suprémaciste a dit un jour  » je suis prêt a prendre une règle et tracer une ligne droite sur la carte des états unis , la moitié aux blancs et une moitié aux autres qui choisiront les premiers et l’on revient dans 50 ans voir ou en sont ces deux pays …..

    • La réponse est très simple ; les Noirs seraient restés à l’âge de pierre, c’est à dire dans cette préhistoire qui leur va si bien.

  6. documentaire instructif sur ce pays devenu un enfer mais silence radio des medias bien pensants – le vendu qui vient de décéder a trahi son pays : il y avait une autre alternative que celle qu’il a appliquée entre apartheid et livraison du pays a des criminels envieux et haineux dont le seul objectif est l’élimination des blancs par tous les moyens – gageons qu’une fois qu’ils ont auront réussi leur objectif et que le pays sera, comme bien d’autres pays d’afrique , dans un marasme absolu, SOROS et sa clique les aideront à regagner « l’europe » par vagues entières !! c’est une réussite le multicult..vanté à longueur de temps par la gauche raciste anti-blanc

  7. Le monde entier faisait pression sur le gouvernement d’apparteid Sud Africain blanc.Qu’aurait-il fallu faire pour que les bien-pensants blanc, les noirs africains,les noirs et les blancs Sud-africains, la minorité Zouloue soient tous contents ? C’était impossible.Si les blancs Sud-africains avaient voulu partager le territoire en zone blanches, noires et zouloues, une intervention armée des pays blancs l’aurait empêchée.
    La seule solution aurait été le status quo en pratiquant un contrôle des naissances drastique des noirs et Zoulous mais ca c’est classé crime contre l’humanité donc quasi impossible.Quand les blancs sont arrivés en Afrique du sud il n’y avait que des zoulous en faible quantité maisvil ont laissé venir les grands noirs et il sont devenus minoritaires.Tout pays qui fait venir de la main d’oeuvre étrangère fini toujours colonisé.

  8. Banania, Oncle Bens…
    Publicités censurées!!!
    Crème Montblanc…
    A quand???

  9. constatation ,que ce soit pour les noirs ou les blancs les arabes ou les blancs, partout la vie était meilleurs pour tout le monde sous le  » joug  » des esclavagistes  » toutes les merdes dans le monde ,compris en Amérique ont des sources africaines !

Les commentaires sont fermés.