L’abîme culturel…

La femme n’est pas un être mais une chose !

La prendre, la laisser, qu’importe, on en dispose…

Ce jouet du patriarcat,

du féminin, ce reliquat,

est encore et toujours un bandant machin-chose…

PACO. On ne castre pas avec des mots…

02/09/2021.

https://www.leparisien.fr/faits-divers/cote-divoire-un-animateur-condamne-a-un-an-avec-sursis-pour-avoir-demande-a-un-violeur-de-mimer-ses-abus-a-la-tele-01-09-2021-3MMGKQMQOZG5HHQ4MUT5XSEUOA.php

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13 Commentaires

  1. J’ai vu sur un autre article que mon pseudo avait choqué. Il s’agit de l’anagramme de mes initiales et de mon patronyme. Ma messagerie m’avait proposé ce pseudo. Étant quelque peu paresseux, je l’ai adopté, au lieu de m’agacer à en dénicher un. Ce n’est pas djilalim mais bien jlalim, anagramme de J-L Lami, ou plusieurs autres possibilité. Le but du pseudo est de rester anonyme. En ces temps troublés, il vaut mieux rester discret.

  2. La femme est un jardin de roses dont seul l’élu de son cœur peut en franchir le seuil. Proverbe persan. Mais c’était il y a bien longtemps, avant que Mahomet s’empare de la question.

    • Peut être !
      Mais il faut voir aussi que quand on a des esclaves, on peut se permettre des poèmes badins, d’avoir des contes des Mille et Une Nuits !

      • Si l’on s’arrêtait à l’esclavage pour refuser de s’intéresser à la culture, alors il faut bannir l’héritage grec et latin. A ces époques l’esclavage était de mise. Aristote le trouvait naturel, et bon nombre de poètes, de philosophes grecs, même chez les Romains. Plus près de nous, au Moyen-Âge, la servitude était une forme d’esclavage. La culture ne commence pas qu’avec l’abolition de l’esclavage. Sinon nous occulterions une grande partie de l’histoire culturelle de l’humanité, notre patrimoine commun.

  3. Belle illustration ! je ne la connaissais pas celle-là,
    où l’avez-vous dénichée ?

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