Non aux ténèbres de l’islam ! Avec le peintre Sorolla, le mouvement, la lumière, la mer et la joie…

Joaquin Sorolla fut très célèbre au début du XXe siècle pour ses grands tableaux lumineux.  

En préambule, un message du sinistre monde islamique.

Maroc, juin 2021.

« Dans le cadre de la célébration du Mois du patrimoine dans le monde islamique, sous le thème « Unis pour l’art et le patrimoine », la galerie de l’Organisation du Monde Islamique pour l’art contemporain abrite l’exposition artistique «Tableau d’espoir».

A travers cette galerie, l’Organisation adresse un message civilisationnel.

Avec l’inauguration de cette galerie, [Le Maroc] vise à accueillir l’ensemble des créations pionnières qui mettent en valeur la beauté de la civilisation islamique ».

https://fr.hespress.com/206031-exposition-tableau-despoir-lart-au-service-dune-cause-noble.html

En France, les horreurs de l’islam se retrouvent au musée ou sur les murs de nos villes, soutenues au plus haut sommet de l’Etat (ancienne photo d’un traître à son pays, à l’Institut du monde arabe).

 

Fresque islamique, financée par les traîtres de la Ville de Paris, institut des cultures d’islam

NON. Nous ne voulons pas de votre « beauté islamique » et à ces ténèbres, nous préférerons toujours la vie et la lumière de notre Occident.

Antidote. Voici quelques tableaux de Joaquin Sorolla, peintre du soleil et de la mer…

Sorolla, le mouvement, la lumière, la mer et la joie…

Joaquin Sorolla, peintre espagnol du début du XXème siècle, nous apporte l’apaisement, la gaieté, le mouvement et la couleur, les couleurs.

Le mouvement du vent qui fait voler les jupes au bord de la mer, gonfle un rideau blanc et oblige les élégantes à retenir leur capeline, le mouvement des enfants qui barbotent, courent, nagent.

Comme son maître Velasquez il parvient à saisir la fugacité du moment.

Les blancs éblouissants dominent mais aussi le jaune, le doré, le bleu, le violet, les verts crus où luisent des oranges qui jaillissent comme des éclaboussures.

Sorolla c’est la Méditerranée avec tous ses contrastes.

Sorolla privilégie l’espace au grand air, la mer, les plages de sable ocre qui deviennent autant les protagonistes de ses toiles que les adolescents qui se baignent, les enfants nus, les belles qui se baladent le long des plages.

Le bleu de la mer, le large espace doré de la plage, permettent aux jeunes femmes d’y inscrire le mouvement de leur marche légère. Les traits des visages sont flous, voire dissimulés ou rapidement traités au point de sembler inachevés. Reflet capricieux de la robe blanche d’une adolescente qui sur le sable mouillé devient jaune clair, de la lumière qui joue sur ses jambes nues, du bleu délicat de la mer ou de l’écume blanche.

Et partout le blanc : blanc des robes féminines (pas de djellabas), des poissonnières de Valence, robustes et saines comme des Renoir, qui revêtent les mêmes couleurs claires que les riches estivantes (sans niqab). Ailleurs, une mère et son nourrisson sont immergés dans une mousse de draps blancs.

Les enfants :

Jeune pêcheur :

Femmes sur la plage :

La pêche :

Retour de pêche (nombreux tableaux avec des atelages de boeufs) :

Joaquin Sorolla naît à Valence dans une famille modeste. Il devient orphelin à deux ans. Peu intéressé par l’école, mais fasciné par la peinture et le dessin, il s’inscrit à la Escuela de Artesanos (Ecole d’arts appliqués) de Valence, suivant les cours du soir dispensés par Cayetano Capuz. Une visite au musée du Prado (1881) fait naître en lui son admiration pour Velazquez, Ribera et Greco.

Entre 1885 et 1889, Sorolla obtient une bourse d’étude pour l’Italie. Il rencontre le photographe Antonio Garcia qui devient son protecteur et son beau-père. Joaquin épouse Clotilde en 1888. Il lui vouera une affection profonde tout au long de sa vie, comme l’atteste la tendresse qui se dégage des portraits de son épouse.

En 1900, Sorolla reçoit le Grand Prix de l’Exposition Universelle de Paris.

Cousant la voile :

‘Les contrebandiers’, peint à Ibiza par Sorolla.

Sorolla à Ibiza  : « Je promets que je reviendrai »

Cinq jours seulement après son arrivée sur l’île, Joaquín Sorolla a commencé à peindre le tableau « Los contrabandistas » à s’Aranyet.

Le journal Diario de Ibiza rapporte que le 16 septembre 1919, il a donné les premiers coups de pinceau à une œuvre « destinée au musée d’un illustre hispano-américain d’Amérique du Nord », faisant référence à Thomas Fortune Ryan, le roi du tabac, et à la Hispanic Society of America : « C’est une merveille de couleur et de composition », a expliqué le rédacteur en chef du journal.

« Je vous promets que l’année prochaine je passerai un bon moment ici, car c’est très beau et la campagne, principalement, je l’aime », a déclaré Sorolla à la fin de la journée, et a également demandé à descendre le musée archéologique pour la marine. Le peintre n’a pas pu retourner dans l’île. Quelques mois plus tard, il est victime d’un accident vasculaire cérébral qui le laisse hémiplégique.

https://www.diariodeibiza.es/pitiuses-balears/2019/09/21/dia-hoy-diario-ibiza-sorolla-29663781.html

 

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15 Commentaires

  1. on se demande ce que fait en france « l’institut du monde arabe » qui aurait toute sa place dans un pays arabe – quand enfin la france aura retrouvé sa souveraineté, cette verrue sera la première chose à éliminer

  2. Sorolla c’est de l’Art l’autre …., l’autre de l’obscurité, toujours l’Islam à essayé de faire la concurrence avec le monde occidental et chrétien mais jamais à pu arrivé à notre splendeur, ils ont fait de la contre façon ( toujours ) , une civilisation qui est sous le joug de l’Islam jamais peut prospérer même dans le point de vue artistique , moi que j’ai vécu à Valence les valenciens ils sont très respectueux et surtout de Sorolla cette terre qui à su expulser la peste verte musulmane avec Jaume I ( Jaques 1er d’Aragon )

  3. Impressionnant de beauté.
    Gêné par les gosses à poils en période si propice en attaque en pédophilie.
    J’espère que ce peintre n’en fut pas.
    Merci pour le partage.

    • Bonjour Michel Lapaix, vous avez raison, quel monde où l’image naturelle d’un enfant nu sur la plage est associée d’emblée au vice de quelques ogres ! L’innocence et l’insouciance sont bien de ce monde, pourtant, qui n’est pas que laideur.

      • Les mauvais hommes ne projettent que le reflet de leurs vilaines âmes sur le monde extérieur. C’est bien triste!

  4. L’art est toujours le reflet de son époque ; dans la nôtre quelques rares belles choses, pas faciles à trouver, et par ailleurs, en majorité, beaucoup de médiocrité, et d’arnaque … et des choses sans valeur, sans intérêt. N’appelle t’on pas l’art moderne l’art comptant pour rien 🤪

    • Picasso par exemple a cédé à la facilité. Tout le monde bave devant la toile de Guernica, mais franchement, ça ne casse pas trois pattes à un cul-de-jatte! Un Allemand lui aurait dit, c’est vous qui avez fait ça, et le maître de répondre, non, c’est vous! Bon, question symbolique, c’était bien vu, mais c’est tout.

      • Je suis en désaccord total, Argo, Picasso est un génie, un peintre authentique et Guernica pour ne parler que de cette toile un chef d’oeuvre absolu.On peut ne pas aimer mais quand on commence à analyser, décrypter l’oeuvre, et que, comme dans un tableau impressionniste on voit que chaque petite touche de couleur, chaque objet est indispensable à la perfection de l’oeuvre on se met à genoux devant Picasso…

        • Je préfère la période d’avant. Mais bon, chacun est libre d’apprécier. J’éprouve un grand malaise devant certaines de ses toiles, la dissociation des corps, les couleurs, ça me perturbe vraiment. J’ai l’impression de devenir déséquilibré en examinant certains tableaux. J’aimais mieux la période bleue et rose. Je ne comprends plus l’art d’aujourd’hui non plus. J’ai passé des vacances dans le village tourangeau ou Calder vivait un temps. J’ai connu ses petits-enfants et j’avais visité l’atelier du « Maître ». Je n’ai pas dit ce que je pensais, par politesse, mais pour moi c’était le comble de l’horreur. Des machins de ferraille qui se dandinaient, des monstres en poutrelles d’acier. Je pense que je vis à une époque qui n’est pas faite pour moi. Art, littérature, philo, je ne m’y reconnais pas. Amitiés et respect républicain, et merci pour la censure, parfois, l’indignation me met hors de moi! Encore merci et gratitude infinie au censeur!

          • Ou plutôt au modérateur. Censeur à prendre dans un sens non péjoratif! Encore merci!

  5. Magnifique, d’une grande beauté, ce peintre espagnol avait un immense talent.
    Quand aux œuvres, si on peut appeler ça des œuvres (faut pas exagérer) de cette secte satanique, caca, mettre à la poubelle. Et oui ce sont bien des salauds de traîtres qui veulent nous imposer toutes ces merdes. C’est le monde de fous.

  6. Merci pour cette découverte. Je ne connaissais qu’un seul de ses tableaux, sans en plus en connaître l’auteur. C’est donc chose faite. Quelle beauté et quel sentiment de liberté émanent de ces toiles. une ode à la vie.
    bonne journée

  7. Hollande, Jack 😛, et d’autres, grands admirateurs de la culture arabe, contempteurs de notre propre culture! J’admire les peintres occidentaux, mais je n’apprécie guère l’art abstrait, où tant de barbouilleurs se sont pris pour des génies ! Picasso, je préfère sa période bleue et rose! Le reste… J’ai assisté un jour dans un hôtel particulier à une prestation de Dali qui jetait des objets dans une baignoire de goudron et les refourguait une fois secs à des gogos en pâmoison devant le génie du maître ! Et Nicky de Saint-Phalle qui pratiquait la peinture à la carabine?! Bernard Buffet, ça passe encore! Finalement, mes amis les peintres impressionnistes l’emportent largement! ☀️☀️☀️☀️☀️

  8. Les tableaux de ce peintre espagnol sont d’une splendeur rarement égalée. Toujours très lumineux et élégants. Il y a eu, récemment, une exposistion de ses tableaux à l’hotel de Caumont à Aix en Provence, mais qui est malheureusement terminée. C’était merveilleux.

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