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Présentation par l’auteur, extraits.
Ce livre est un journal de bord. J’y ai couché pendant deux années mes réflexions, mes critiques et mes propositions sur les évolutions qui menacent ce que nous sommes en tant que peuple et individu. Ces évolutions, plus ou moins visibles et perceptibles, sont de deux ordres : le Grand Remplacement ou le changement de peuple et le Petit Remplacement ou le changement de paradigme, le second nourrissant le premier, le premier justifiant le second. Nous en sommes les esclaves, conscients ou inconscients, serviles ou rebelles.
Pour faciliter la lecture de cet ouvrage, j’ai renoncé à l’ordre chronologique, lui préférant une présentation thématique permettant de mettre davantage en relief la nature des périls que j’ai identifiés.
Les thèmes abordés :
Menaces sur notre identité, survivre-ensemble, déculturation de masse, dictature des minorités, travestissement de la démocratie, médiacratie et enfin l’autre péril vert, nouvel outil de soumission des foules, manipulé par les gourous de l’écologisme réduisant les libertés individuelles, prenant la nature en otage.
Le début…
L’identité de l’a-France
Illustration : classe maternelle de Saint Ginoux, 74/75, photo ville de Rennes
Entre la France des banlieues et celle des campagnes, la fracture identitaire est béante. En l’absence d’une politique courageuse, elle risque de nourrir les volontés sécessionnistes dénoncées par Macron.
Au mépris présidentiel succède la flatterie. Après ses déclarations électoralistes sur les dangers de l’islam politique, feignant d’ignorer que l’islam est par nature politique, Emmanuel Macron tente maladroitement de flatter la France des champs en organisant un pompeux « sommet sur la ruralité » qui s’est tenu dans les Vosges le 20 février dernier [avant les municipales] . Derrière le mot ruralité, se cache une intention, celle d’atténuer le clivage banlieue/campagne. Derrière ce « sommet », se cache la réalité d’une rupture géographique, d’une fracture identitaire entre la France des banlieues islamisées et celle des campagnes sécularisées. Derrière cette fracture identitaire, le risque sécessionniste couve.
Ce « sommet » intervient à quelques semaines d’une élection municipale essentielle pour réconforter les urnes d’une Macronie branlante. Au gris veau, Macron préfère la ville anis. À la morne campagne bovine, Macron semble davantage sensible aux quartiers de Marseille. Pourtant, il convoque dix ministres pour afficher à quel point le sort de la campagne, des paumés, pour reprendre les paroles du jeune chanteur Gauvain Sers, est au cœur des préoccupations gouvernementales.
Séduire la France des oubliés est soudain redevenu une cause nationale, le temps d’un scrutin. Au-delà des mots et des opérations de communication, il y a les chiffres. En 30 ans de politique de la ville, les pouvoirs publics ont dépensé 100 milliards d’euros pour mieux accueillir des populations majoritairement immigrées, africaines et islamisées, construire des logements neufs, des écoles, des commissariats, des commerces, bureaux, centres commerciaux, installations culturelles et sportives qui parfois brûlent, arroser grassement des associations promouvant le «vivre-ensemble», qui n’est en réalité qu’ un «bien-vivre-entre-soi», pour acheter la paix sociale dans les banlieues tenues par des «grands frères» ou favoriser l’implantation de mosquées. Pour quel résultat ?
Face à cette nouvelle France, qui trop souvent revendique, se victimise, se communautarise et impose un mode de vie étranger aux Français, survit la France périphérique. Cette France, c’est celle des campagnes, des bois et des champs, des Français de souche et assimilés, parfois expulsés de ces banlieues par le communautarisme allogène.
Cette France regarde saigner sa campagne gavée de pesticides, souillée par des éoliennes et des parcs photovoltaïques dont la vertu écologique peine à être démontrée.
Cette France observe, impuissante, les petites villes et les villages se vider de leurs écoles, commerces, médecins de campagne. Ses centres-bourgs se dégradent, ses hôpitaux s’éloignent, ses services publics ont déserté. L’injustice et les inégalités entre ces deux France se creusent. La rancœur bouillonne dans les entrailles de cette France silencieuse et nourricière, celle du patrimoine, gardienne des coutumes ancestrales et de l’art de vivre d’un peuple que l’on dissout. Au bout du compte, ces deux France n’ont plus grand chose en commun.
L’identité de la France, si chère à Fernand Braudel, est déjà fêlée, fissurée, fracturée. Ce qui maintient sa frêle unité repose sur la dépouille des principes républicains qui ont troqué l’assimilationnisme contre l’universalisme, le mérite contre la victimisation. La fracture identitaire est consommée. Elle est géographique, sociale, culturelle, religieuse, ethnique. Et si le séparatisme islamique est une menace pour l’unité du pays, celui de la colère indigène est sous-estimé.
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Si tout cela se met en place, c’est parce que c’est la volonté de ceux qui nous dirigent, et surtout parce qu’il n’y a plus de pouvoir religieux qui impose une spiritualité aux masses. tout a été fait avec la loi de 1905, pour que le pouvoir administratif soit le seul, en ayant écarté celui de la religion catholique, pour laisser venir chez nous celui des musuls qui fut combattu en France tant que le pouvoir des catholique faisait partie du cadre de la loi .
Ainsi aujourd’hui nous avons le pouvoir administratif en place, mais aussi celui des musuls qui s’ingère subtilement dans toutes les sphères de l’état, et de la population, qui avec le temps se transformera pour coller aux dogmes des musuls…. C’est aujourd’hui inévitable, sauf si l’on interdit la religion musulmane en France…. Et on en est si loin
Oui bien triste constat et derrière nos politiques une très grande lâcheté qui continue encore et encore alors que nous sommes déjà dans le rouge depuis 20 ans. Si un jour nous rattrapons cette décadence, elle ne pourra plus que se faire dans le sang, je ne vois pas autre chose ?
Merci, Jules Ferry, pour ces photos qui me rappellent ma jeunesse. La photo de classe qui me rappelle celles où mon fils figuraient, et les mobylettes sur lesquelles je me déplaçais quelques années plus tôt. Inoubliables ces moments. Quand je vois ça, je suis triste de voir où on en est arrivés! Des salles de classe bigarrées au trois quarts, des quartiers envahis par des motos bruyantes, volées pour la plupart du temps! De la drogue partout! Une police impuissante, un gouvernement corrompu, islamisé jusqu’au trognon, des partis d’opposition mi-collabos mi- soumis pour la plupart, des journalistes, pas tous, menteurs comme des arracheurs de dents, la France meurt à petit feu.
Bonjour Argo, photos tirées du livre « Mes années 70 : clichés de campagne en Bretagne » (https://www.locus-solus.fr/product-page/mes-ann%C3%A9es-70-clich%C3%A9s-de-campagne-en-bretagne),
reprises dans une expo actuelle : http://www.ecomusee-rennes-metropole.fr/decouvrir-lecomusee/mes-annees-70-cliches-de-campagne/
Les Gaulois au musée ! Bon ou mauvais signe ?!
Je suis allé sur le site : magnifiques images, qui me rappellent mon enfance et mon adolescence, périodes où je passais mes vacances à la ferme de mes grands-parents, et aussi celle des cousins. En ce temps-là on s’entraidait, nous nous donnions des coups de mains, gratuits bien sûr. On était invités à partager le repas de ceux à qui on donnait un coup de main. À toutes les vacances : Toussaint, Noël, Pâques, l’été. J’en garde un souvenir inoubliable. Les fenaisons, les moissons, les pommes de terre à planter, à récolter. Bon, la mort du cochon avant Noël, ce n’était pas mon truc! J’étais déjà un peu spécial, au dire de ma famille. Tous sont morts aujourd’hui, mais je ne les ai jamais oubliés. Pour moi, ils sont toujours présents. Ainsi va la vie, il faut en profiter avant qu’elle ne nous quitte. Mais avec les événements actuels, difficile d’avoir l’esprit serein.
On peut accuser Macron d’intelligence avec l’islam qui colonise la France .
Le mot « intelligence » dans ce cas là ,m’offusque beaucoup !!! permets moi de le remplacer par « cocufiage » ou » « asservissement » « platitude » « soumission » !!!!, et moult autres ! la langue française n’en manque pas pour parler de ce pourri .
Bonsoir vatinel-bernard non ce n’est pas un pourri as tu vu des taches de pourrissement sur lui non….
il est pire que celà
D’après la tournure des évènements, le Foutriquet sans rancune, jette un cil à l’imam Taiypip Merdogan, que l’europe va finir par laisser entrer. Faut pas se mosquer, avec la Turquie dans l’europe, les éoliennes vont fabriquer du coran Et si la charia Turque, déborde sur l’Europe (le violeur gagne la violée), Il va y avoir un sacré dépaysement..Après ça, l’Afrique pourra être européenne, c’est la mondialisation de la folie.