L’institut Pasteur de Lille détient peut-être le remède tant attendu à la Covid-19. Son nom : le clofoctol. Cette molécule était commercialisée sous le nom d’Octofene jusqu’en 2005, sous forme d’un suppositoire administré en cas d’infections pulmonaires bénignes.
L’information a été relayée via l’agence de presse AEF Info il y a quelques jours : l’Institut Paster de Lille travaillerait d’arrache-pied sur un traitement reposant sur une molécule appelée Clofoctol. Celle-ci était commercialisée depuis 1978 dans le cadre du traitement d’infections respiratoires hautes bénignes. Elle était administrée sous la forme d’un suppositoire connu sous le nom d’Octofene. Elle a cependant été retirée du marché français en 2005.
Un médicament plus efficace que le Remdevisir ou l’hydroxychloroquine ?
Depuis le début de l’épidémie, en collaboration avec la start-up spécialisée dans le repositionnement des médicaments Apteeus, les équipes de l’Institut Pasteur de Lille ont testé plus de 2000 médicaments et celui-ci a été identifiée fin mai après une « cascade de criblages ». La Clofoctol, explique l’un des responsables de l’étude, Benoît Déprez à AEF Info, « a une action sur les deux portes d’entrée du virus dans les cellules humaines, contrairement à l’hydroxychloroquine. » Contrairement à l’antiviral Remdesivir (autre médicament qui s’annonçait prometteur mais n’aurait finalement pas ou peu d’impact sur la mortalité de la Covid-19), il n’est en outre pas nécessaire d’augmenter sa concentration pour qu’il soit efficace.
La clofoctol efficace à différents stades de la maladie
Concrètement, si la Clofoctol fait preuve de son efficacité, elle pourrait être administrée très facilement aux patients, en ambulatoire et non à l’hôpital, après un simple test positif. Jusque-là, lors des tests in vivo (en laboratoire) sur des cellules de poumon humain, la molécule a prouvé son efficacité de trois manières différentes : baisser la charge virale, réduire la contagiosité et éviter le développement d’une forme grave de la maladie. Elle agit comme un anti-viral et non comme un anti-inflammatoire.
Les résultats des essais cliniques attendus au printemps 2021
Ce médicament présente un gros espoir car il est le seul qui pourrait être administré dès le début de la maladie. Preuve qu’il suscite l’enthousiasme, le groupe LVMH a choisi de financer les phases de test à hauteur de 5 millions d’euros. Pour l’heure en effet, la clofoctol doit encore faire ses preuves à travers des études sur les singes. Viendront ensuite des essais cliniques chez l’homme dont les résultats sont attendus pour la fin du printemps 2021.
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Pourquoi perdre du temps avec des essais sur les singes, puisque cette molécule a déjà été utilisée sans danger sur des enfants ?.
En fait, il en est question depuis la fin 2020, mais il doit y avoir des pressions exercées pour empêcher son utilisation rapidement sur les malades du covid,
Voir cet interview :
https://www.youtube.com/watch?v=LYy07arYbk4
Bon à savoir ! Un grand Merci Pichaku !
+ pour les macroniens : voie rectale => voie royale !
De plus l’Institut pasteur de Lille reconnait implicitement l’efficacité de l’hydroxychloroquine sur une porte d’entrée du virus: »La Clofoctol, explique l’un des responsables de l’étude, Benoît Déprez à AEF Info, « a une action sur les deux portes d’entrée du virus dans les cellules humaines, contrairement à l’hydroxychloroquine. » Les chercheurs de Pasteur Lille ont très mal pris l’interdiction l’année dernière de l’essai du clofoctol par Pasteur Paris et aussi l’interdiction de l’utilisation du vaccin bcg car des études montraient qu’il réduisait les infections respiratoires chez les personnes âgées vaccinées pendant leur enfance.
+1 !
Je m’étais fait la même remarque. A savoir, la reconnaissance implicite de l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
Faudra expliquer à Sibeth Ndiay.ré que l’on ne suce pas les suppositoires. elle qui ne sait pas mettre un masque , alors un suppo !
je plussois
Il faudra bien lui expliquer que ça ne se sniffe pas, que ça ne se met pas dans une seringue et qu’il ne faut pas qu’elle se mette en colère quant on lui dira qu’elle se le foute au cul son suppo.
Ben, elle est bien capable de se l’introduire avec l’emballage!
« Un médicament plus efficace que le Remdevisir »: on n’en doute pas !
Ce sont les labos qui vont attrapé la jaunisse, si on continu à sortir des médocs plus efficace que leur vaccins à l’huile de vidange. Merde la perte sèche.
Mééééé non, mééé non, busyn et véreux veillent, c’est une question de quelques jours avant qu’ils l’interdisent, sous des prétextes fallacieux, bien sur.
Un nouvel article du LANCET se chargera de dézinguer ledit médoc, pour qu’aussitôt après Véran-Véreux le fasse interdire par voie réglementaire.
Etonnant retour de fortune pour un antibiotique retiré du marché en 2005 pour intérêt médical limité. Mais il semblerait que cet antibiotique a miraculeusement l’effet de tuer aussi ,dès le début de infection, le virus du Sras notamment la covid19. Piste à suivre certainement prometteuse.
Pourquoi faut-il encore des singes pour des essais cliniques alors que ce médicament était administré à des enfants sans le moindre effet secondaire …?
Effectivement. Mes enfants en ont tous eu et ça fonctionnait à merveille. Notre médecin de famille le leur prescrivait lors d’épisodes bronchiques ou pour les otites afin de leur éviter de finir asthmatique comme leur père.
Vous imaginez: un suppo 2 fois par jour pendant 10 jours et hop guéri!
Pourquoi ne pas essayer cette molécule sur les LREM! Eux qui adorent se faire piquer en public! Bon, il leur faudra baisser le pantalon, mais comme c’est ce qu’ils font tous les jours, une fois de plus, ce n’est rien!🎯🎯🎯🎯🎯
Oui faire les essais sur les singes de LREM
Le suppositoire, ça n’est pas assez pour eux…
Mais, si les tests sont bons, ils n’en parleront Jamais et l’interdiront..
Rendez vous compte, ils pourraient être découverts avant le couronnement de sa majesté.