Suppression de l’ENA : encore un enfumage !
Macron est coutumier du fait : il n’entreprend rien, il ne fait que communiquer.
À cet égard, la « suppression » de l’ENA en est un magnifique exemple.
En effet, que reproche-t-on à l’ENA ?
Cette école a été créée à la Libération sur décision du Gouvernement Provisoire présidé par le général de Gaule, puis portée sur les fonts baptismaux par Michel Debré.
Dans un pays en ruine où il convenait de tout rebâtir, il était nécessaire de former des hauts fonctionnaires compétents pour administrer un état renaissant.
Ces hauts fonctionnaires étaient des serviteurs, et non des maîtres :
Aux politiques les décisions, aux fonctionnaires la mission de les faire appliquer.
Le modèle a très bien fonctionné jusqu’au moment où les serviteurs ont commencé à vouloir prendre la place des maîtres.
Les bonniches se sont assez vite emparés du Château et ont accaparé le pouvoir.
Sortir de l’ENA était un passeport presque nécessaire pour devenir président de la République ou premier ministre.
L’ENA a donc perdu son âme quand elle est devenue une fabrique de dirigeants et non plus une fabrique de serviteurs.
Tous les maux l’ont dès lors gangrenée :
• C’est un moule unique dans lequel ont dû se fondre les futurs puissants.
• Elle est devenue un temple de l’entre-soi
• Le réseau des énarques est une toute-puissance interdisant à tout non-énarque d’accéder aux vrais postes de pouvoir.
Il était donc urgent de détruire l’ENA jusqu’à la dernière pierre, d’en éradiquer jusqu’à l’idée même.
Mais qu’a fait Macron ?
Il a seulement débaptisé l’ENA pour la rebaptiser « Institut du Service Public. »
Rien n’aura changé puisqu’il s’agit de formater dans le même moule les futurs étudiants.
« Ce dernier sera installé à Strasbourg et ouvrira en 2022. Il accueillera les élèves de 13 écoles (ENA, INET, ENM, EHESP, EN3S, ENSP, ENAP, 4 écoles d’application de polytechnique, EOGN, ENS) qui y suivront un tronc commun. » (20 Minutes, le 08/04)
Amélie de Montchalin, Ministre de la Transformation et de la Fonction Publique le souligne d’ailleurs sans ambiguïté :
« L’ensemble des hauts fonctionnaires de notre pays auront un tronc commun de formation »
(Faudra au passage qu’on m’explique ce qu’elle a bien pu faire depuis sa prise de fonctions, la ci-devant Montchalin…Ça ne doit pas sentir la sueur dans son ministère…)
On nous refait le coup du « passeport vaccinal » rebaptisé « pass sanitaire ».
On change le nom du plat qui de toute évidence est devenu imbouffable, mais au bout du compte c’est toujours le même rata.
L’École sera toujours à Strasbourg, et je gage que les profs ne changeront pas et les programmes pas davantage.
Comme d’habitude, j’entends déjà les critiques : « Si Macron ne fait rien, vous l’accusez d’immobilisme, s’il décide de quelque chose, vous critiquez. Et vous n’avez comme d’habitude rien à proposer ».
Eh bien si !
Qu’aurait-il fallu faire ? Très simple :
– Éradiquer l’idée d’un « tronc commun », faire disparaître définitivement la notion de creuset d’une pensée unique.
– Recruter les hauts fonctionnaires sur concours uniquement en allant pêcher dans le vivier de toutes les Écoles existant.
On avait ainsi une garantie d’intégrité :
– On ne livrait plus les clefs du pouvoir à une coterie.
– On ne recrutait qu’au mérite, l’anonymat garantissant l’impartialité inexistante à le jour. Le piston est en effet une des pièces les mieux huilées du système actuel.
En plus, ça ne coûtait pas un sou.
Avec l’ISP, les mêmes causes produisant les mêmes effets, rien ne changera.
Mais Macron aura quand même gagné. Son action de communication pure apparaîtra comme une concession aux revendications des Gilets Jaunes : « Je vous ai écoutés, vous avez eu la peau de l’ÉNA. »
Ça se confirme : le système Macron, c’est 100% de com’ et 0% d’action.
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L’école des ânes sera remplacée par « L’école des bourricots » !le françaic sera une langue facultative!! mais attention à toi le caniche de rotschild ! tu vas finir comme Kadafhi , un pieux dans la derche !!!
et » EN MEME TEMPS », je vous prend pour des cons,et…..ça marche !!!!!!
Autrement dit: Changement de l’emballage….
Voulez vous une joli noeud sur le dessus?
Vous avez très bien résumé le personnage de la com et rein d’autre .Aucune envergure, rien de concret . Une bulle , un zero!!! .
Sciences Po pourrait devenir l’Institut National d’Encouragement des Politiques Socialo Immigrationnistes d’Etat (INEPSIE)
Putain, je viens de jouer à la Macronette (nouveau jeu qui consiste à faire avaler le plus de grosses couleuvres à des sans-dents)
j’ai fait ma réforme, je peux être président !
L’ ENA ne m’a jamais gênée.
Ce qui m’empoisonne la vie c’est les ÂNES qui sortent de cette écurie et se croient capables de diriger un Etat .
» Institut du Service public » ???? Au secours, ça pue l’arnaque comme dirait Cyrano.
Depuis quand ces cols blancs se font du mouron pour améliorer le Service Public ? Tout ce qu’ils apprennent c’est à dilapider l’argent qui ne leur appartient pas et à apprendre le manuel du parfait bonimenteur.
On change de bocal mais les cornichons seront les mêmes : l’Institut du Sévice Public succède à l’École Nationale des Ânes. Ce sera pire.
Partout Il faut supprimer le mot national qui est devenu un gros mot….
Pour ce qu’elle a produit d’inutile et de nuisible c’est à dire par exemple l’actuel président et son prédécesseur, on versera une larme de crocodile pour la disparition cette institution, d’ailleurs ce n’est pas une fin mais une continuité qui change de nom.
ISP où école du management public à la parfaite image de son inventeur et de son langage franglais, se croyant encore dans les couloirs de la sphère banquière dont il est issu. Langage politiquement correct inventé par les spéculateurs au dents longues pour éviter de s’attirer les foudres du prolétariat , évitant ainsi d’exprimer publiquement qu’ils veulent de la tune, du flouse, du pèse, enfin qu’ils veulent se gaver comme des salauds bordel de m..de.
Il faut s’attendre à des réformettes d’ici à 2022, faciles à faire, pas chères et surtout qui ne soulèvent pas les masses.
Cette ISP répond à une fausse promesse née du mouvement gilet jaune, bref qui ne sert a rien, « Pas de cynisme » selon le célèbre politologue Roland CAYROL, spécialiste de tout mais solutionneur de rien, on notera au passage que cette nouvelle machine a fabriquer du technocrate va ouvrir ses portes dans la capitale du Grand Est qui semble être ces temps ci, le nouveau creuset du fondamentalisme islamique célébrant en grande pompe ses noces avec les écolos radicaux, en la sainte et gigantesque mosquée à 25 millions d’euros.
Il s’agit en fait d’un camouflet visant a produire en fin de mandat, un bilan autre que nul voir néfaste, au cours duquel aucun des sujets vitaux qui préoccupent les français n’a été abordé, comme l’immigration et la délinquance qui vont de paire, la réhabilitation du système de santé et de l’hôpital tombé en désuétude, la fraude sociale et fiscale assassine de notre économie, la réforme de la justice et des moyens qui lui sont alloués et une vraie simplification de la bureaucratie administrative qui pèse notamment sur l’entreprise et son fonctionnement en général (liste non exhaustive). Association cependant a ce prolongement de l’échec politique son prédécesseur dont je tairais le nom afin de conserver mon calme.
Je vois bien venir le discours de campagne consistant évidemment a embellir un quinquennat de rien, mais surtout empêché par la COVID (la où le peu importe) qui finalement tombe a pic pour se dédouaner de son inaction, Sarkozy a eu sa crise financière de 2008 et le pignouf à scooter ses attentats.
Notons également qu’une réflexion est engagée sur la tenue des élections régionales en juin prochain, le maréchal Ferrand paraît dubitatif à ce sujet et l’exécutif se tâtant sur l’opportunité d’un report dont seule l’évocation déclenche déjà le tollé de l’opposition, le risque sanitaire toujours lui pourrait au moins servir a s’éviter une branlée électorale mémorable annonciateur d’une déconvenue présidentielle.
Enfin bien malin qui pourrait dire quel sera notre prochain où prochaine , locataire de l’Élysée.
Je me suis fait tiré (les cartes) et a cette question posée au médium par transmission de pensée à celui qui murmure à l’oreille des présidents depuis 40 ans, j’ai nommé Lesieur Attali grand penseur de son siècle pour qui l’islam est une chance (a condition de s’y convertir), sa réponse aussi claire et spontanée que lunaire, m’est apparue soudain évidente qui pourrait être celle ci . « Un second tour semblable a 2017 est souhaitable pour faire triompher le bien face au mal (blanc) ». Mais surtout c’est l’assurance pour la France de reprendre encore cinq années d’un bon gros morceau de gâteau indigeste servie au peuple depuis près d’un demi siècle.
Une pure bouillie de merde ce truc qui bouge (vous aurez compris).
Bonjour rien d’étonnant un dictateur supprime toujours les valeurs et Institutions du pays qu’il dirige pour y installer les siennes. Surtout que le nôtre est installé pour de nombreuses décennies.
N’oublions pas le Duce…
C’est le en même temps machiavélique ,de l’enfumage c’est un acteur prestidigitateur ,trois petits tours et puis s’en va !C’est comme ça depuis son élection Il fait partie des liquidateurs comme l’a écrit Olivier Marleix avec comme sous titre » Ce que le macronisme inflige à la France et comment s’en sortir » la question est: » Ce changement est -il dans la ligne droite de déconstruction de nos valeurs pour complaire au nouveau monde de Maastricht et de Soros ou bien est ce que Macron est un psychopathe comme l’a dit le professeur Adriano Segatori psychothérapeute italien??
Encore en train de prendre les français pour des cons ?
C’est comme si Macron, en colère avec Brizitte à la suite de sa dernière dispute avec elle, la répudiait, puis se pacserait aussitot avec elle, sous le pseudo caché (et sans signification sensée) « d’Institutrice du Sévice Public ».
Joli ! Beau parallèle !
La même chose sous un autre acronyme! Encore une fabrique de glorieux parasites et d’idiots inutiles! L’école nationale des ânes remplacée par ISP, Institut du sabordage public!
C’est ce que j’ai pensé hier à la nouvelle de la « suppression » de l’ENA. Toujours le « en même temps » macronien.
Et sinon, on fait quoi de Sciences Po, des universités pourries par l’islamo-gauchisme, l’indigénisme et le décolonialisme, de Normale Sup’ et autres moules à tronches de cake et crânes d’oeuf antiFrance ?