Astra-Zeneca ou la chronique d’un naufrage annoncé
Macron et sa clique d’incapables ont depuis le début fanfaronné : le vaccin était LA solution.
Alors il a sorti l’artillerie lourde pour mieux manipuler « les gens qui ne sont rien »:
– Il a mandaté le cabinet Mckinsey pour conseiller sur la communication poussant les Français à se faire vacciner (coût 2 millions d’euros par mois). Pas grave, c’est le Français qui paie !
https://www.lepoint.fr/sante/vaccin-mckinsey-une-prestation-a-2-millions-d-euros-par-mois-07-01-2021-2408585_40.php
– Pour faire bonne mesure, il a créé un comité Théodule avec un Monsieur Vaccin, Alain Fischer. https://www.rtl.fr/actu/politique/coronavirus-alain-fischer-le-tres-discret-monsieur-vaccin-du-gouvernement-7800954526
– Et comme ça ne suffisait pas, il a mis en place un « Comité citoyen ». https://www.lefigaro.fr/politique/vaccins-les-recommandations-du-collectif-citoyen-20210316.
Si c’est comme pour la Convention pour le Climat, les 35 membres auront subi un intense lavage de cerveau par la Haute autorité de santé et/ou le comité scientifique. En bon perroquets, ils réciteront la leçon Delfraissy à la sauce Véran qu’on leur aura apprise.
Le tout évidemment renforcé par la mobilisation des bateleurs habituels, Castex, Véran, Salomon et autre Attal.
Bref, de la com’, de la com’ encore de la com’, toujours de la com’ !
Maintenant, au-delà de la com’, venons-en aux faits. Quid du vaccin ?
Pour parler du vaccin, on ne peut pas être binaire : » il est bon » ou » il n’est pas bon ». On se croirait dans la Novlangue orwellienne : Bon/inbon .
C’est un tout petit peu compliqué. On doit peser le rapport bénéfices/risques. Il convient donc d’évaluer chacun de ces paramètres.
Au niveau des bénéfices:
La seule éventuelle conclusion qui avait été à l’origine de l’homologation du vaccin était son efficacité. Cette conclusion, dans la mesure où les études n’ont pas été trop pipeautées, donnait en effet un bénéfice important.
Cependant la conclusion était conditionnée par une hypothèse soigneusement tue : que le virus ne mute pas. Une conclusion reposant sur une hypothèse est-elle d’ailleurs vraiment une conclusion ? On peut en débattre, moi je suis plutôt sceptique.
Avant même que le vaccin ne soit lancé, le Pr. Raoult, en fin connaisseur, rigolait de ce remède miracle, car il connaissait l’instabilité du génome des coronavirus.
Quant aux risques il n’y avait que des hypothèses, pas de conclusions.
Lors du lancement du vaccin, il n’y avait pas suffisamment de recul pour les apprécier.
Nos dirigeants aveuglés par leur propre stupidité étaient en mode panique. Les essais cliniques habituels n’ont pas été faits. Les labos ont même négocié que toute responsabilité en cas de problème soit endossée par les États.
Les crétins qui nous gouvernent ont donc signé les yeux fermés pour tenter de grappiller quelques points de popularité et faire croire que tout était sous contrôle. Par bêtise, par ignorance, par cynisme, par corruption ?
On ne saura probablement jamais.
Continuant sur la lancée de leur bêtise, ils ont fait volte-face en suspendant la vaccination en raison du « principe de précaution ». Quel magnifique exemple d’illogisme. Si précaution il y avait lieu de prendre, il aurait fallu le faire avant…
Les Anglais disent « C’est fermer la porte de l’écurie après que le cheval s’estt échappé ».
Suspendre le vaccin est à mon sens une grosse erreur. Sans être un spécialiste, je fais l’hypothèse que la fréquence des embolies ne justifie aucunement cette décision. Il faudra ramer ensuite pour restaurer la confiance dans les vaccins, si tant est que ce soit encore possible. McKinsey pourra continuer à se gâver (Je n’ignore pas que l’accent circonflexe est superflu, comme me le rappelle fort justement le correcteur d’orthographe, mais il est volontaire car je trouve que ça fait plus riche).
Mais je sais, Macron préfère le zigzag dicté par les sondages à la ligne droite dictée par le bon sens et l’intérêt des Français.
Je gage d’ailleurs que le prochain 180° est proche : la vaccination va reprendre incessamment après une mascarade de consultation de l’Agence Européenne du Médicament.
Les morales de cette triste histoire sont les suivantes :
– nos dirigeants sont incapables de faire la part des choses entre conclusions et hypothèses.
– si faire des zigzags est une preuve d’intelligence, alors ils sont vachement balèzes…
– Où est passée la démocratie ? Je serais parlementaire, je fulminerais d’assister au naufrage de notre système, où le gouvernement s’appuie sur des comités d’experts et des comités citoyens, nomme un autre expert pour expliquer la stratégie vaccinale du gouvernement. Un gouvernement d’experts et de consultants ?
Pourquoi diable continuer à s’encombrer d’un parlement ?
Qu’aurait-il convenu de faire ?
Je sais qu’on se gausse de ceux qui ont disent ce qu’il faut faire après coup, souvent moi le premier…
Cependant, vous en jugerez par vous-même : tout ce que je vais dire ne relève que du bon sens car s’appuie la vérité. C’est la seule manière de ne jamais être pris en porte-à faux, Monsieur Macron.
La bonne attitude aurait été d’annoncer dès le début :
– On a un vaccin.
– On sait qu’il est très efficace sur le virus sous sa forme actuelle.
Mais :
– L’efficacité peut évoluer avec de nouvelles souches de virus.
– Les essais cliniques menés jusqu’à présent n’ont pas montré d’effets secondaires significatifs et nous jugeons en notre âme et conscience qu’il est raisonnable de commencer la vaccination avant d’attendre la validation définitive.
J’aurais ajouté : « Nul n’est forcé : faites comme vous le voulez! »
Et j’aurais montré l’exemple.
Si, un tantinet manipulateur, j’avais voulu forcer en douce mes compatriotes à se faire vacciner car je pensais que c’était pour leur bien, j’aurais laissé fuiter très discrètement : « Les vaccins, il n’y en aura pas pour tout le monde. Les premiers arrivés seront les premiers servis. »
C’est pas sorcier, non ?
Au lieu de ça, on nous a menti sur toute la ligne.
L’opacité la plus totale a régné sur la négociation des contrats avec la labos. Les députés européens qui ont voulu en prendre connaissance n’ont pas pu. Sous la pression, on a autorisé un certain nombre tiré au sort à les consulter brièvement sous surveillance avec interdiction de prendre note ou de photo.
Vive la démocratie !
Vive l’Europe !
https://www.lefigaro.fr/societes/vaccins-les-contrats-entre-la-commission-europeenne-et-les-laboratoires-sont-ils-secrets-20201211
Désormais, Macron en est réduit à slalomer lamentablement pour tenter d’éviter les obstacles qu’il a lui-même créés.
Quel bouffon !
Mais certains oublient le « ouff » et le trouvent encore …bon et voteront encore pour lui…
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Le nombre de morts en pourcentage (le vrai chiffre) est largement suffisant pour interdire un médicament (là c’est un »vaccin »!), Alors pourquoi ne pas bloquer l’Astra ? Même s’il y a le bénéfice de n’être protégé qu’à 60%, on risque de mourir… qui prend le risque ??? Pas moi ! C’est quoi ce principe de rapport bénéfice/risque quand il y a risque mortel ???
Que de moutons de Panurge en France ! ! !
Et encore les moutons, les vrais, font parfois preuve d’intelligence!
Alors que la vaccination est bien plus lente au sein de l’Europe qu’au Royaume-Uni en raison de retards répétés dans les approvisionnements, la présidente de la Commission européenne n’a pas exclu dans une interview au groupe de médias Funke de bloquer les exportations du vaccin d’AstraZeneca si l’UE ne reçoit pas d’abord ses livraisons.
Les gens ne veulent pas comprendre que le problème c’est justement le vaccin qui touche à leur intégrité physique et intellectuelle. Accepter un vaccin inutile et dangereux c’est accepter une soumission totale à un système qui devient de plus en plus dictatorial.
Un « bandeau » passait l’autre soir sur CNews, annonçant : l’OMS dit qu’astra-zeneca est efficace à 60% .
C’est pas « bézef » pour les risques secondaires encourus et soigneusement tus ou encore ignorés.
Le « cheval s’est échappé » Mr Girodet ?
Alors pourquoi continuer à confiner, cloîtrer, emmerder, les cavaliers, les jockeys ?
on est en route pour l’abattoir !