Comme la Milice désignait le Résistant à l’Allemand, l’UNEF-Grenoble désigne le Résistant de 2021 à l’islamiste…
Les faits selon le Figaro :
Deux professeurs de Sciences Po Grenoble accusés d’islamophobie sur les murs de l’IEP
Ce jeudi, leurs noms étaient affichés à l’entrée de l’établissement, accolés aux mots «fascistes» ou «l’islamophobie tue». Les deux enseignants craignent pour leur sécurité et celle de leur famille. Une enquête a été ouverte.
Ce jeudi 4 mars, deux professeurs de Sciences Po Grenoble ont eu la désagréable surprise de découvrir leurs noms inscrits en grosses lettres sur les murs de leur IEP, à l’occasion d’un «collage» sauvage qui survient alors que certains responsables syndicaux de l’école sont engagés depuis plusieurs semaines dans un mouvement de lutte contre la direction
«Des fascistes dans nos amphis» et «l’islamophobie tue» : voici ce que l’on pouvait notamment lire à côté de l’entrée principale de Sciences Po Grenoble, à côté des noms de deux professeurs appelés à la démission par les auteurs de ces collages.
NDLR : Tous les Français savent bien que c’est l’islam qui tue en France. Des centaines de morts depuis 40 ans. L’islamophobie n’a jamais tué PERSONNE.
Le visage de l’un des deux professeurs, caricaturé mais aisément reconnaissable, était également placardé à côté de ces slogans.
Si les affichages ont été retirés dans l’après-midi suivant les faits, ils ont en revanche été relayés par plusieurs comptes sur les réseaux sociaux, notamment la page Grenoble en lutte, qui relaie fréquemment les publications et communiqués de l’Union syndicale de Sciences Po Grenoble, ainsi que l’énigmatique «@berurier_» sur Twitter, qui dénonce des «propos islamophobes»tenus par l’enseignant – sans jamais citer les propos en question.
Samedi 6 mars, le procureur de la république de Grenoble a fait savoir qu’il avait ordonné une enquête pour «injure publique envers un particulier» et «dégradation ou détérioration légère de bien destine à l’utilité ou la décoration publique». Il a aussi décidé de classer sans suite car «insuffisamment caractérisée» la plainte pour discrimination syndicale déposée par le représentant de l’union syndicale à l’encontre d’un des professeurs visés .
Vincent T. et Klaus K., les deux professeurs accusés de fascisme et d’islamophobie par les auteurs de ces affichages, semblent en réalité être les victimes collatérales d’un mouvement lancé par certains étudiants à la suite d’accusations de harcèlement sexuel au sein de l’établissement, qui estiment que la réaction de la direction a été insuffisante.
C’est d’ailleurs le principal objet de ces affichages qui reprennent le slogan «Science Porc» lancé à la suite de la mise en cause de Frédéric Mion à Sciences Po Paris dans l’affaire Duhamel.
Si les deux enseignants sont étrangers à ces affaires, c’est en revanche pour d’autres raisons que certains étudiants s’en sont pris à eux, suite à des polémiques à répétition au sein de l’IEP qui ont pris cette fois un tour plus dramatique.
Une cabale lancée par un syndicat étudiant
Le premier, Vincent T., est maître de conférences en science politique depuis de longues années au sein de l’établissement, et s’intéresse entre autres objets d’études aux musulmans français, auxquels il consacre un cours intitulé «l’islam et les musulmans en France». «C’est un cours optionnel qui existe depuis des années et que j’ai suivi lorsque j’étais en troisième année d’études à l’IEP» explique au Figaro un de ses anciens élèves.
«Monsieur T. a longtemps eu une grande liberté de ton sans que cela ne pose problème, mais depuis quelques années certains élèves tentent de le prendre en défaut et cherchent à le piéger, pour ensuite l’intimider et lui prêter des propos qu’il n’a jamais tenus. Plusieurs fois même, des élèves qui n’étaient pas inscrits à son cours s’y sont rendus seulement dans ce but, notamment après les attentats du Bataclan. Mais ils n’ont jamais réussi à obtenir de dérapages de sa part, alors ils s’en sont pris à lui autrement, dans son dos, et certains autres professeurs n’hésitaient d’ailleurs pas à dire ouvertement en cours à leurs élèves qu’il était raciste.»
Un avis que corrobore l’essayiste Arnaud Lacheret, docteur en science politique, qui fut élève de Vincent T. lorsque celui-ci était en première année de thèse : «Il avait son franc-parler, mais jamais il ne tenait de propos discriminatoires, bien au contraire il essayait d’ouvrir le débat.»
Un autre de ses collègues précise auprès du Figaro qu’il arrivait à cet enseignant de recevoir des étudiants musulmans (certains venaient à son cours voilés, sans que cela n’ait jamais suscité de réaction désapprobatrice de sa part) pour discuter ou expliquer certains points plus en détail, à leur demande, en restant toujours ouvert au dialogue et à l’échange des idées.
Mais alors que manifestement certains élèves semblaient décider à réclamer la suppression de cet enseignement, le syndicat majoritaire de l’IEP, l’Union Syndicale Sciences Po Grenoble (USIEPG, un syndicat issu d’une scission avec l’UNEF) a publié le 22 février dernier sur sa page Facebook un appel à témoignages demandant aux élèves de rapporter les «propos problématiques» qu’ils auraient pu entendre à ce cours :
«Étant donné les problèmes d’islamophobie de certains professeurs de l’iep, l’Union Syndicale souhaite retirer ce CS des maquettes pédagogiques pour l’année prochaine si lors de ce cours des propos islamophobes y étaient dispensés comme scientifiques. Aussi nous vous appelons à témoigner d’ici vendredi auprès de nous, pour que l’on puisse prendre une décision éclairée en Cevie (ou a minima défendre une telle décision). Vos témoignages seront évidemment anonymisés et serviront uniquement d’exemple et d’arguments. Courage à celleux qui ont subi ou subissent encore l’islamophobie !»
Cet appel aurait alors déclenché la colère de l’enseignant, qui dans un courrier adressé aux élèves appelait ceux des étudiants appartenant à l’USIEPG à «quitter immédiatement» ses cours, ajoutant, visiblement inquiet des menaces qui commençaient à peser sur lui : «je ne comprends pas, du reste, pourquoi ils n’ont pas d’eux-mêmes demandé à changer de CM puisque ma personne leur est tellement insupportable qu’ils sont prêts à mettre ma vie en danger.» L’USIEPG a indiqué avoir porté plainte à la suite de ce courrier.
« Cette histoire m’a immédiatement fait penser à Samuel Paty, là on lui met clairement une cible dans le dos. »
Un ancien élève de l’IEP
Puis, sans que l’on sache si de quelconques témoignages ont été récoltés (aucune publication du syndicat depuis l’appel lancé sur les réseaux sociaux n’en fait mention), les affichages sauvages mettant en cause cet enseignant marquent le franchissement d’une nouvelle étape dans l’intimidation et les menaces directes qui planent cette fois sur lui, comme le relève un de ses anciens élèves, qui fut par ailleurs membre de l’UNEF lorsqu’il était à Sciences Po Grenoble :
«Cette histoire m’a immédiatement fait penser à Samuel Paty, là on lui met clairement une cible dans le dos. Il n’a jamais tenu le moindre propos islamophobe, seulement les élèves n’étaient pas d’accord avec lui et cela leur est insupportable.
Il faut savoir que dans cet établissement, si vous êtes à la droite de Benoît Hamon, vous êtes déjà un fasciste. Le climat s’est dégradé ces dernières années, avant les attentats on pouvait davantage discuter.»
Selon un autre élève, certains étudiants auraient aussi demandé au professeur son adresse.
«Désormais, ma sécurité et celle de ma famille sont impliquées» dira Vincent T. au Figaro, préférant ne pas faire de commentaires pour le moment et renvoyant vers son avocat, Me Éric Le Gulludec.
Lequel confirme que «par les temps qui courent, se faire traiter d’islamophobe n’est pas rassurant. Dans le cas de Vincent T., c’est même diffamatoire, puisqu’on lui prête une attitude ou des propos discriminatoires qu’il n’a jamais eus.»
« Désormais, ma sécurité et celle de ma famille sont impliquées »
Vincent T.
À l’origine, un débat sur le concept d’islamophobie
Quant à Klaus K., professeur d’allemand dans le même IEP, il lui est surtout reproché d’avoir remis en cause la légitimité du concept d’ «islamophobie» notamment dans le cadre d’un groupe de travail en vue de préparer la semaine annuelle pour l’égalité et contre les discriminations organisée à l’IEP.
S’appuyant en particulier sur les analyses du sociologue Philippe d’Iribarne au sujet de ce terme controversé y compris à l’intérieur du champ des sciences sociales, et rappelant qu’il était utilisé aussi par l’ayatollah Khomeini, ce professeur a entretenu par exemple une correspondance par mail avec certains de ses collègues pour exposer son point de vue – des mails que Le Figaro a pu consulter, et qui ne contiennent pas trace d’invectives personnelles ni moins encore de propos discriminatoires.
La seule contestation de l’emploi de ce mot par ses collègues lui a cependant valu des accusations de «harcèlement moral», sur la seule base de ces échanges de mail, ainsi qu’un communiqué de l’USIEPG dénonçant le 7 janvier dernier «un discours jugé inacceptable».
«On a tronqué mes propos et on m’a adressé des reproches diffamatoires» explique au Figaro Klaus K., ajoutant : «je suis un simple professeur agrégé du secondaire, je ne suis pas un grand chercheur. Mais je suis effaré du silence de la plupart de mes collègues face à ce genre de procédés. J’ai du mal à supporter cette pression, surtout depuis les affichages de jeudi. C’est assez nouveau : en 25 ans de carrière, le pire que l’on ait pu me reprocher est d’être libéral, mais jamais d’être islamophobe ou fasciste ! C’est un peu un retour vers le passé, comme dans les années 70 où l’on criait ‘Mao’ dans les couloirs. Mais tout risque d’exploser d’un moment à l’autre, ces affichages représentent une étape supplémentaire.»
NDLR2: Quand on est non-musulman, l’islamophobie est un simple comportement de survie. L’islam condamne les non-musulmans à l’esclavage (dhimmitude) dans le meilleur des cas.
Sinon à l’élimination physique pure et simple.
Dans un contexte universitaire rendu difficile par un confinement de plus en plus mal supporté par les étudiants, le climat s’est raidi davantage encore à la suite des échanges virulents occasionnés par la visibilité médiatique accordée à l’éventuelle présence d’une «dérive islamo-gauchiste» dans certains établissements d’études supérieures, explique un autre enseignant de l’IEP.
La direction, quant à elle, s’est contentée d’un soutien discret aux deux enseignants. «Ces attaques abjectes sont inacceptables. Sciences Po Grenoble les condamne dans les termes les plus fermes» s’est-elle contentée de faire savoir au Figaro, sans préciser si elle entendait porter plainte contre les auteurs des collages.
Les responsables syndicaux ayant mis en cause les deux professeurs n’ont, eux, pas souhaité répondre à nos sollicitations.
Pas d’autre choix que la dissolution d’@unefgrenoble après que ce syndicat a relayé les menaces contre deux enseignants pour des accusations d’islamophobie imaginaire. Détruire le mal à la racine afin que #SamuelPaty ne soit pas mort en vain. pic.twitter.com/96M65DFE7b
— Eric Naulleau (@EricNaulleau) March 7, 2021
Après Samuel Paty et l’affaire de Trappes, personne ne peut dire qu'il ne savait pas. Désigner des professeurs, c’est en faire des cibles. L'UNEF Grenoble y a participé, l'UNEF n'a pas condamné : la question de sa dissolution doit être posée.
— Jordan Bardella (@J_Bardella) March 6, 2021
🔴Je ne suis qu’un petit journaliste. Mais suite aux évènements de l’IEP de Grenoble, j’appelle humblement l’@unef à réagir et les pouvoirs publics à défendre des profs menacés. Et pourquoi pas à réfléchir à #dissolutionunef… N’hésitez pas à RT. Il ne faut rien laisser passer.
— Lucas Jakubowicz (@lucas_jaku) March 6, 2021
L'UNI Grenoble demande la dissolution des associations qui mettent en danger la vie des professeurs#SamuelPaty #islamogauchisme #SciencesPo #Grenoble pic.twitter.com/3rZ0T6Is4Z
— UNI Grenoble (@unigrenoble) March 6, 2021
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L’UNEF doit être dissous, comme leur copain du CCIF. J’espère que les professeurs persécutés ont porté plainte pour avoir vu leur nom exhibé à l’entrée de l’établissement !
Dissolution de l’Unef qui mettent en danger des professeurs intégrés Français, alors que génération identitaire veulent juste dénoncer le fait que des gens puissent rentrer sur le territoire sans y être autorisés .Je dis qu’ils avaient doublement raison de le faire , d’un part pour mettre en lumière les carences de l’état qui laisse rentrer des tas de clandestins qui ne devraient pas se retrouver sur le territoire, et d’autre part empêcher les conséquences de cet envahissement qui ne dit pas son nom et qui provoque à la finale la situation qui fait que la quantité de cet envahissement commence à imposer sa loi. Cela se traduit par ce genre de comportement ignoble de la part de gens de l’Unef qui tout en collaborant ardemment à ce remplacement, et ce qui s’y rattache principalement, l’islam mettent en danger de mort ceux qui osent froisser l’amour propre de leurs « nouveaux maitres » qui à l’occasion se comportent comme de vrais occupants hostiles à la France.
Décidément la gauche est tombée bien bas!!!
Le Ministre de l’EN, le Ministre de l’intérieur ne sont pas avares de bonnes paroles, mais les sanctions se font attendre !
islam ASSASSINS !!! moussa complice ……
GENERATION IDENTITAIRE doit vivre : seul rempart contre les envahisseurs/SAUVAGES/TUEURS !!!!
RESISTANCE !! LIBERTE !!!
Vive la FRANCE !!
Quelqu’un pour coller une affiche « le fascisme c’est l’islam » ? Quelqu’un … ?
Mon post est passé aux oubliettes ?
Je viens de comprendre, il se trouve que le commentaire auquel il répondait a été supprimé car validé par erreur , donc forcément il a été supprimé avec le commentaire par le robot du site
Merci pour ta réponse Christine .
Il faut interdire les étudiants musulmans et africains dans nos universités qui polluent le cerveau des français de souche et menacent les profs .
Dissolution de ces syndicats islamogauchistes, hyper dangereux, qui attisent la haine et désignent les hommes à abattre,
c’est l’horreur qui règne dans ces universités !!
et là étrangement On ne les entends pas les GG islamo-gauchiasses et pro-musulmerdes
du type Martine Aubry qui illico-presto exige la fermeture du bar Lillois La Citadelle
un lieu public et convivial ou tous les patriotes et les nationalistes se donnent RDV
Martine Aubry cette reptile venimeuse qui utilise le double langage à la langue bifide
comme par exemple concernant sa grande mansuétude conciliante
envers les narcotrafiquants et les dealers de drogues afro-maghrébins …
tapez :
Que pensez-vous de cette citation de martine aubry (le ps …
Je n’ai que ces deux mots : lâches et dégueulasses !
Aucun doute possible, l’UNEF doit être dissous le plus rapidement possible car c’est une association antirépublicaine, antidémocratique, antifrançaise, anti-Universitaire qui véhicule l’islam politique, le décolonialisme, la haine du blanc, la haine de l’Occident, la haine de notre identité et qui se permet d’intervenir dans la pédagogie des enseignants, l’UNEF est tout simplement un ennemi de la France et doit disparaitre.
QUAND LA RELIGION VIENT FAIRE SA LOI DANS L ENSEIGNEMENT ALORS LE PAYS DOIT REAGIR ET DIRE STOP PAS DE VOILE EN DEMOCRATIE ET SI CA TE VA PAS BEN BARRE TOI!!
les francais doivent reprendrent les commandes de leur pays !!!
point barre
Dissoudre l’unef et tout le reste………si on en dissout un, faut aussi dissoudre les autres…….fouteurs de merde……ça devrait être cela la JUSTICE…….
ou alors attend t on que ces facs de merde payées avec nos impôts brûlent ??????
C’est sûr que nous ne sommes pas dans la création qui nous élève, depuis quelque temps, mais dans l’ignominie dû à des petits cons, non des grands cons qui ne savent pas quoi faire pour exister …oui dissolution de ces syndicats mais aussi l’interdiction individuelle de ces cons qui doivent être connus , aux cours ! ce n’est pas quand les profs seront exécutés qu’il faudra faire une enquête pour connaitre leurs motivations qui n’est autre que la haine , la haine d’eux même, la haine de l’autre et celle de la vie .
Effaré du silence de ses collègues ! dit l’un ! pourtant il devrait le savoir depuis le temps, que nous avons à faire à des grands enfants .
oui ces salopards ont participé à la mort de Samuel Paty. ils ont bien dissous GI alors ils doivent dissoudre l’UNEF. la présidente est une sale raciste d’anti blancs et anti chrétiens. elle s’est foutue de la g…..e du monde lors de l’incendie de Notre Dame cette robeux.
HS mais toujours chez les dégénérés gauchos (vos grands amis, lol)
Libé provoque l’indignation de féministes en publiant la lettre d’un violeur le jour de la Journée Internationale des Droits des Femmes
La Chine des années 50 … c’est quand la « révolution Culturelle » ???
Vous ne croyez pas que les habitants de cette ville ont voulu se livrer au diable?
Le résultat de l’élection le laisse penser.
Moussa doit dissoudre l’unef ,mais également interdire les syndicats d’étudiants , ils sont là pour apprendre et non pour faire du syndicalisme , mais avec la couille molle de moussa faut rien à attendre de bien , moussa darmanin est une carpette et les syndicats étudiants vont s’essuyer dessus !.
Oui !Je n’ai jamais compris que des gens totalement tributaires de l’argent publique qui leur fournit la possibilité de pouvoir étudier et avoir des situations enviables puissent s’organiser en « syndicats »!!!!
Pour faire quoi à la finale, puisque l’on a de moins en moins de fils d’ouvriers dans les prépas de grandes écoles et dans les travées de l’assemblée nationale. Donc ils n’ont aucune action sur l’évolution sociale des étudiants sinon de servir de tremplin à des fils de , pour pouvoir se lancer dans la politique et faire comme papa et maman ;de bons pontes socialos ou gauchos!!!
Quand on voit ce que génère l’Unef cela en dit long sur ceux qui devraient s’imposer dans la vie politique . A moins que sur le coup les gens se réveillent enfin de leur léthargie et ne se laissent plus abuser par ces guignols !!!
L’islam doit être ravi, les gauchos-islamistes constituent des milices de la charia sans qu’on leur demande.
Comme c’est beau le bénévolat solidaire.
L’enfûmage, l’endoctrinement pour dissimuler, contredire, déformer la réalité, ça suffit. Personne ne saurait durablement faire croire que le vert est blanc, comme neige