“Come-back” fracassant de Donald Trump à Orlando : j’adore !

“Come-back” fracassant de Donald Trump à Orlando : j’adore !

Abattu, Trump ? Isolé, Trump ? Foutaises que tout cela. Encore des niaiseries de journalistes occidentaux, shootés au poison mondialiste et complices de l’effroyable machination démocrate qui a privé Trump de 8 ou 10 millions de voix, le 3 novembre 2020.

Sans la fraude avérée, mais que les juges ont refusé de reconnaître, Trump aurait raflé la mise haut la main, avec un score historique.

Tous les chefs d’État européens, tous les journalistes savent très bien que Trump a été victime d’une fraude à l’échelle industrielle, savamment orchestrée par le camp démocrate, avec la complicité de quelques traîtres républicains et des juges qui se sont dérobés.

La “victoire” de Biden est le fruit d’un hold-up électoral et d’une machination planétaire. C’est la victoire des tricheurs et des hypocrites.

Il fallait abattre la bête noire des mondialistes, à n’importe quel prix.

Mais celui qui s’est battu comme un lion, seul contre tous, est loin d’être mort.

J’ai toujours aimé Trump. Parce que c’est un grand patriote profondément attaché à son pays, un battant courageux, un fonceur, un infatigable Rocky capable d’encaisser tous les coups sans  jamais être déclaré KO.

À peine désarçonné, il se remet aussitôt en selle et sonne la charge. Sa retraite n’aura duré que 6 semaines.

Il est le contre-modèle absolu d’un Macron qui crache sur son pays et insulte le peuple français, lequel a derrière lui des siècles de grandeur.

Macron, c’est le capitulard qui se couche à la moindre difficulté, incapable de reconquérir les banlieues, incapable de mettre la racaille et les islamistes au pas, incapable de combattre la fraude sociale gigantesque.

Macron, c’est la capitulation et le renoncement permanents, face à ceux qui veulent la destruction de la civilisation occidentale pour nous imposer la leur.

La France est en train de crever d’une immigration incontrôlée et d’une islamisation galopante, mais Macron n’a qu’une obsession : sa réélection. 

C’est un Trump qu’il nous faudrait pour sauver notre France millénaire du naufrage.

À Orlando, dimanche, “The Donald” a une fois de plus galvanisé les foules. Jugez plutôt.

Lors de la conférence annuelle de l’Union des conservateurs américains, il a entamé son discours par un jovial “Je vous manque déjà” ?

Au diable la personnalité controversée de Trump, oubliée la défaite, place aux combats futurs, à commencer par les élections de mi-mandat en 2022.

Ses fidèles soutiens étaient là, venus faire le procès des traîtres républicains, traités de “mous du genou, invertébrés et lâches… auxquels il faut envoyer une lettre de licenciement”.

Mitch McConnell et Mike Pence, les deux traîtres qui ont lâché Trump en rase campagne, étaient évidemment absents.

Trump Junior avait promis un discours énergisant de Donald, ses fans n’ont pas été déçus. Un discours offensif. C’est un potentiel candidat pour 2024 qui a parlé, se posant en leader incontesté du Parti républicain et tirant à boulets rouges sur Biden.

Extraits ( Figaro ) :

“Nous sommes passés de l’Amérique d’abord à l’Amérique en dernier”.

“On savait que son Administration serait mauvaise, mais pas à ce point… Son premier mois a été le plus désastreux de l’histoire des États-Unis. Ils sont anti-famille, anti-emplois, anti-énergie et anti-frontières.”

“Biden a suspendu le budget du mur frontière, mis fin aux reconduites à la frontière et relâché les criminels illégaux à l’intérieur des États-Unis… Nous leur avons laissé la frontière sud la plus sûre de l’histoire du pays. Ils l’ont transformée en désastre auto-infligé sous des prétextes humanitaires.

 Les clandestins affluent par dizaines de milliers… les trafiquants d’enfants et les cartels les plus vicieux sont de retour.”

“Biden a ouvert nos frontières à la Libye, au Yémen, à la Somalie”.

Promettant la défaite aux démocrates en 2022, Trump fait l’éloge de son bilan :

“La loi et l’ordre, une armée forte, l’énergie bon marché, l’éducation, l’absence de nouvelles interventions militaires  et les accords de paix au Moyen-Orient.”

En pariant très tôt sur le vaccin anti-Covid, Trump déclare avoir légué “un miracle médical” à Biden.

Et bien entendu, il ne reconnaît toujours pas sa défaite.

“Cette élection était truquée et la justice n’a rien voulu faire”.

Et ses fans de scander “On a gagné” !

Trump accuse la Cour suprême de ne pas avoir eu le courage d’intervenir en sa faveur. Pas un seul de ses recours n’a été jugé recevable, y compris dans les États républicains.

Il veut des élections en un seul jour, en limitant le vote par correspondance et en exigeant des pièces d’identité.

Ensuite, Trump se pose en leader du Parti.

“Nous avons vécu un voyage comme il n’y en a jamais eu, nous l’avons commencé il y a 4 ans et il est loin d’être terminé. Il ne fait aucun doute, nous serons victorieux”.

“Pas besoin de créer un nouveau parti. Nous avons déjà le magnifique Parti républicain”.

Vient ensuite le ton menaçant contre ceux qui l’ont trahi.

“Une poignée de valets de l’élite politique de Washington”, citant les noms des 10 représentants et des 7 sénateurs qui ont voté sa condamnation le 7 février.

“Ces RINO ( Républicains seulement de nom ) vont détruire le parti et le pays… ne s’opposant jamais aux démocrates, aux médias et aux radicaux qui veulent faire de l’Amérique un pays socialiste”.

Trump termine en restant très évasif quant à sa candidature en 2024. Il est vrai que c’est encore loin.

“Qui sait ? Je pourrais même décider de les battre une troisième fois”.

Il prédit un candidat républicain à la Maison Blanche.

“Et je me demande qui ce sera ? Qui, qui, qui ce sera” ?

On le voit, c’est du Trump comme on l’aime, un discours volontaire, optimiste, dénué d’hypocrisie et de mensonges.

De la démesure, certes, jamais avare de  superlatifs et même d’excentricité, c’est du pur Donald Trump. On aime ou pas.

Mais reconnaissons que c’est quand même autre chose que les discours hypocrites et mensongers de nos politiciens de salon, calculateurs et machiavéliques au possible.

Un électeur républicain a confiance en Trump. Mais quel Français a confiance en Macron, qui ne sait que mentir ?

Jamais Trump ne capitulera devant le Président fraudeur, l’usurpateur qui lui a volé sa victoire.

C’est en 2022 que les élections de mi-mandat lui permettront de prendre sa revanche, en renforçant le camp républicain, débarrassé des ses traîtres.

Ceux qui pensaient avoir enterré le trumpisme une bonne fois pour toutes, en sont pour leurs frais.

Et tous ceux qui ont cautionné la fraude électorale massive, en Europe, auraient tort de pavoiser. Trump est bien vivant et le fait savoir.

https://ripostelaique.com/come-back-fracassant-de-donald-trump-a-orlando-jadore.html

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7 Commentaires

  1. Mr Trump est comme Mr Poutine il aime son peuple et ça c’est la première des valeurs pour un Président!

  2. J’ai bien entendu écouté le discours de Trump avec émotion et espoir, du “rentre dedans” sans mâcher les mots, un discours de choc pour tous ceux qui ont trahi l’Amérique, n’hésitant pas à citer les noms, des RINOS aux tribunaux, y compris la Cour Suprême, sans ménagement. Comme l’exprime Jacques Guillemain : « On aime ou pas ». Pour ma part, J’AIME énormément et ses électeurs, ces 75 000 000 d’Américains (outre sans doute 10 000 000 dont les votes ont été détournés) veulent tout simplement travailler pour nourrir leurs familles, s’exprimer comme ils en ont envie, payer moins d’impôts, vivre en sécurité et pouvoir se défendre en cas de danger. Rien à voir avec les milliardaires hypocrites pour qui ces millions d’Américains ne sont que des “déplorables” au dire d’Hillary Clinton. Le Trumpisme est bien vivant et les Pelosi, Schumer, Biden, Harris ont bien raison d’avoir peur.

  3. J’ai suivi son discours et je dois dire que le Président TRUMP revient encore plus fort!

  4. En occident il nous faudrait un Trump pratiquement dans chaque pays si nous voulions sauver ce qui peut encore l’être et inverser le cours de l’ histoire , bien sur avant il faudrait apprendre a voter , là c’est compliqué !

  5. MONSIEUR TRUMP n’a jamais été désarçonné. Seule son humanité a freiné ses ardeurs pour ne pas employer des méthodes plus expéditives afin de rétablir une situation qui n’aurait jamais dû exister sans l’extrême pourriture humaine présente sur cette terre. Tout cela n’est pas un retour mais un cheminement élaboré de longue date. Surveillons la suite !

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