Islamophobie, le mot préféré de Yacine Bellatar…

Islamophobie, voilà le mot préféré
De Yacine Bellatar, cet uléma frustré.
Il est vindicatif surtout avec les femmes.
Il aime les poncifs et bien souvent il blame ses méchants adversaires qui ne le comprennent pas
Lui le gentil comique,le gars le plus sympa.
Ses arguments sont faibles et très vite il s’essouffle.
Alors il crie,proteste et traite de maroufle,
Son interlocuteur, son interlocutrice
Qui arguent brillamment et le mettent au supplice.
Et toujours,il remue,se moque,vitupère,
En un mot comme en cent, il se met en colère.
Il répète sans cesse qu’il est un bon Français,
Un gentil musulman sans arrière pensée
Et puis soudainement,en pleine agitation,
Dit qu’il est marocain sans y faire attention.
Le masque est tombé vite,ça n’a pas pris longtemps
Cela ne l’empêche pas de rester insolent.
Et il n’hésite pas,méthode malhonnête,
A menacer de mort celui qui lui tient tête.
L’émir Ramadan désormais sur la touche,
Yacine se verrait bien dans plus grandes babouches,
Celles de grand vizir,de seul représentant,
Dans notre République de tous les musulmans.
Mais il y a Muhammad,Marwan de son prénom,
Prends bien garde Yacine qu’il ne te dame le pion

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16 Commentaires

  1. L’islamophobie est un droit républicain, comme l’avait rappelé avec courage cette belle tunisienne seins nus à la manif pro-islam ; mais plus encore l’islamophobie est un devoir pour le non-musulman qui connait l’islam un tant soit peu.

  2. Belattar le Marocain est du même acabit que son compatriote et coreligionnaire
    mais qui lui est dans un autre registre qu’est le Marocain Benalla
    et qui tous deux sont les copains de Macron l’arabophile-islamophile
    ce président qui méprise les Français et qui a en détestation les patriotes-Français

  3. Un parasite sur le dos de la France, comme il y en a beaucoup.

  4. Comment défendre l’islam politique quand on n’a pas d’arguments valables et crédibles, c’est tout l’art de cet énergumène qui jongle avec l’insulte et le mensonge sur fond humoristique et sarcastique.

  5. Le minimum eut été qu’il francisât son nom : » belle tare  » !

  6. Ce connard aura de mauvais jours quand le Micron ne sera plus au pouvoir. Il se sent soutenu le muzz avec sa grande gueule.

  7. Cet abruti va finir par avoir des problèmes avec ses incitations à la haine !

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