Quand les médias font l’éloge du colonialisme… musulman

Illustration : contrairement au colonialisme européen, les conquêtes arabo-musulmanes sont encensées par la oumma et… les islamo-gauchistes

D’un côté, le colonialisme européen établi sur environ 200 ans : affreux, cynique, sanguinaire. A mettre au ban de l’humanité et demander des comptes aux Européens avec moult repentance, culpabilité et, bien sûr, indemnités. Avec la bénédiction du gouvernement, de l’Éducation nationale, des médias et des islamo-gauchistes.

De l’autre, la merveilleuse et incroyable aventure de l’islam, romantique, étonnante, dispensatrice  de connaissances, d’amour, de tolérance et de paix.

Plus sérieusement, ce colonialisme islamique vieux de 1400 ans dure encore et encore, après d’innombrables pillages, massacres, viols, mises en esclavage et conversions forcées ayant transformé d’antiques civilisations en déserts. Et, alors que chrétiens et juifs ont été chassés des espaces arabo-musulmans qu’ils habitaient autrefois, il s’attaque à nouveau à l’Occident.

Mais c’est ce colonialisme là que les médias encensent… lorsque des archéologues retrouvent un vestige de hammam du XIIe siècle. C’est-à-dire datant de l’époque vénérée des historiens islamo-gauchistes : la mythique Al-Andalus.

Où, c’est bien connu, les musulmans vivaient en parfaite harmonie avec ces chiens de mécréants chrétiens et de juifs, condamnés à payer la djizia et à subir d’innombrables humiliations (un peu comme les « petits Blancs » de nos banlieues, quoi…)

Et pendant que les Azerbaïdjanais et autres mahométans, dans un silence médiatique assourdissant, massacrent les trésors du patrimoine chrétien au Karabagh ou ailleurs, oyez cette ode d’un journaliste frétillant de dhimmitude (avec l’AFP) où, devant tant de superlatifs vis-à-vis de cette incroyable découverte, certains lecteurs sensibles se lamenteront de la fin d’Al-Andalous en criant  : « salauds de Croisés de la Reconquista » !

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L’incroyable découverte d’un archéologue au fin fond d’un bar de Séville

C’est une surprise à laquelle cet archéologue ne s’attendait pas. Et le patron de l’établissement non plus sans doute !

À Séville, dans le sud de l’Espagne, un hammam du XIIe siècle, parfaitement conservé, a été mis au jour dans un bar, alors que celui-ci procédait à des travaux…

Désormais, les clients du bar pourront savourer leurs boissons en admirant les peintures et ornements islamiques du hammam.

La lucarne en forme d’étoile est apparue après les premiers coups de marteau. Alvaro Jimenez, l’archéologue mandaté pour assister au début des travaux, ne s’y attendait « absolument pas », raconte-t-il à l’Agence France-Presse.

Ont suivi 87 autres lucarnes, des étoiles, des octogones dessinant un ciel étoilé dans ce bar au style arabisant nommé Giralda, comme l’ancien minaret de la mosquée de Séville, qui se refaisait une beauté.

Un patrimoine préservé grâce à un architecte du début du XXe siècle

Passés la stupéfaction et « les gros mots » lâchés par Alvaro Jimenez, les ouvriers ont découvert de nombreuses peintures dans ce local de 202 mètres carrés et un hammam avec une salle froide, une tiède et une chaude. Des thermes vieux de plus de 800 ans dont les peintures, les sculptures et les décorations murales ont été figées dans le temps grâce à un architecte du début du XXe siècle, Vicente Traver, qui a dissimulé en 1928 ces décorations et ces lucarnes, lorsqu’il construisit deux étages supplémentaires.

Ce patrimoine, « nous pensions qu’il l’avait détruit, et nous devons bien reconnaître qu’il l’a sauvé », poursuit Alvaro Jimenez. « Il l’a trouvé et il l’a préservé pour le futur. »

Au XIIe siècle, Séville, conquise par les Almohades en 1147, était l’une des deux capitales de leur empire, avec Marrakech.

« La cathédrale de Séville a été érigée sur les vestiges de la mosquée almohade Aljama, construite entre 1172 et 1198 » et « ces bains se trouvent en plein dans cette zone de la ville que les Almohades ont rendue monumentale et ont convertie en leur centre politique, religieux, économique », rappelle Alvaro Jimenez.

[Les journalistes oublient de dire que, bien souvent, les colons musulmans n’hésitaient pas à édifier leurs mosquées sur les églises détruites par leur soin – NDA]

Au-dessus des mosaïques déjà présentes avant la rénovation sont désormais visibles des murs ornementés, des voûtes blanches gravées.

Le bar, qui devrait bientôt rouvrir ses portes, est devenu un musée vivant, entièrement refait dans un style épuré, qui met en valeur l’histoire du lieu et où les clients pourront se rafraîchir, comme on le faisait déjà d’une autre façon il y a huit siècles.

https://www.lepoint.fr/europe/l-incroyable-decouverte-d-un-archeologue-au-fin-fond-d-un-bar-de-seville-24-02-2021-2415215_2626.php

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Pour ceux qui doutent de la narration islamo-gauchiste, il reste la lecture de l’ouvrage de Serafín Fanjul …

Al Andalous, l’invention d’un mythe: La réalité historique de l’Espagne des trois cultures

Universitaire espagnol et arabisant mondialement reconnu, Serafín Fanjul a consacré sa vie à l’étude de l’islam comme phénomène religieux, sociologique, économique et politique.

Ses travaux majeurs, dont le présent ouvrage est la première traduction en français, ont fait grand bruit en Espagne et l’on peut aisément comprendre pourquoi. Il s’est en effet penché principalement sur Al-Andalus, cette Espagne médiévale dite des trois cultures, où la domination politique de l’islam aurait permis pendant des siècles d’extraordinaires échanges culturels entre les communautés islamique, chrétienne et juive, sur fond de cohabitation harmonieuse.

Il montre avec érudition comment l’imaginaire des romantiques est passé par là, laissant en héritage une vision du passé hispanique qui relève davantage du fantasme que de la réalité.

La vérité historique a été emportée par la croyance, et celle-ci est d’autant plus séduisante que les sirènes du conformisme ont su la détourner à leur profit pour faire de l’Espagne d’alors un véritable paradis perdu du multiculturalisme européen. Face aux partis pris stériles et lieux communs en tout genre, Serafín Fanjul entend dissiper la brume pour « retrouver l’Espagne ».

Et la réalité historique que son travail restitue est celle d’une péninsule où règnent entre les communautés l’intolérance et le conflit, la souffrance et la violence, bien loin de l’ouverture et de l’apaisement trop souvent soutenus. La minutie de l’argumentation de Fanjul permet ainsi d’entrevoir, à rebours de la représentation habituelle, une Espagne qui a trouvé dans la Reconquista la voie de l’émancipation et de la libération.

https://www.amazon.fr/Andalous-linvention-dun-mythe-historique/dp/2810007055

Al-Andalus en 790

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9 Commentaires

  1. Ils sont montés jusqu’à Poitiers, mes ancêtres habitant plus bas, qu’est-ce qu’ils ont dû prendre, les pauvres! En réhabilitant leur maison, vieille comme Mathusalem, le style est roman, on a trouvé dans les fondations un fémur et une côte! Peut-être que c’était les os d’un soldat ottoman qui passait par là et qu’ils auraient zigouillé? C’est vrai que chez nous on est des résistants nés! Dès qu’il y a une injustice on enfourche notre cheval blanc! Et haro sur l’oppresseur!

  2. avec macron et ses sbires, l’invasion par les sauvages est facilitée et même encouragée.
    les islamistes peuvent venir tranquillement égorger les FRANCAIS …. moussa les encourage et le yéti les défend !!!
    Vive la FRANCE !!!

  3. Il y a eu une période où les communautés arabes juives et chrétiennes ont vécu en bonne harmonie; c’est celle de l’Algérie Française!!!
    Mais bizarrement elle est présentée comme un contre exemple puisque c’était sous l’égide de la République Française et de la France chrétienne !!!

  4. Tous ceux qui n’étant pas arabes sont devenus musulmans l’ont été de force. L’architecture arabo andalouse est très inspiré des Perses , indiens , et l’art Byzantin.
    La plus ancienne mosquée en Tunisie à Kairouan est à l’origine très sobre dans ses fondations, elle a été par la suite modifiée pour correspondre aux canons architecturaux. Pour considérer l’art islamique , il faut aller dans la péninsule arabique d’où sont parties les conquêtes musulmanes !

  5. La plus cruelle est la colonisation de l’Inde par les arabes https://www.islam-et-verite.com/linvasion-islamique-de-linde-plus-grand-genocide-de-lhistoire/ . 
    L’historien musulman Firishta [de son nom complet Muhammad Qasim Hindu Shah, (1560 -1620) auteur de Tarikh-i Firishta et du Gulshan-i Ibrahim fut le premier à donner une idée du bain de sang médiéval que subit l’Inde durant la loi islamique. Il estima que plus de 400 millions d’Indiens furent massacrés pendant l’invasion et l’occupation islamique de l’Inde. 
    Mais bizarrement personne en parle .

  6. Merci de ne plus faire de la publicité pour Amazon. Son fondateur, Jeff Bezos, est l’un des nouveaux maîtres du monde qui encouragent l’islamisation de la France.
    Les lecteurs de Résistance républicaine achèteront ce livre historique par exemple à la nouvelle librairie, rue de Médicis (75006) ou à un site français.

  7. Bonjour,

    La Almohades, la secte mahométane la plus fanatique, la plus cruelle de toute l’histoire du colonialisme musulman en Espagne …

    Et l’on nous invite à pleurer sur ces crapules ?

  8. Il y en a plein qui rêve de ce temps là avec leur zamis muzzs, mais peut être que c’est parce qu’ils n’ont jamais vécu avec ces sauvages dégénérés et destructeur des valeurs chrétienne.

    • Petite remarque, cruelle ou ironique, ce sont eux qui ont importé le zéro en l’empruntant aux Indiens!

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