Islamo-gauchiste ? Est-ce que j’ai une gueule d’islamo-gauchiste ?

Photo : Eric Fassin, le parfait islamo-gauchiste racialiste qui ne s’assume pas

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Cri d’effroi dans le marigot crypto-coco des pontes de la sociologie et des thésards en « études » décoloniales, de genre ou de race : la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Dominique Vidal, souhaiterait enquêter sur l’islamo-gauchisme.

Ces gens qui, autrefois, se complaisaient dans les « sciences » marxistes, l’histoire marxiste, la géographie marxiste (Labrousse), la sociologie marxiste et qui, avec le communisme, se sont trompés sur tout, recommencent avec l’islamo-gauchisme.

Quoi, nous, les universitaires de gauche islamophiles, islamo-gauchistes ?

(Extrait de la pétition « des 600 », publiée, bien sûr, dans Le Monde)

Pétition : Vidal démission !

Chercheur·es au CNRS, enseignant·es chercheur·es titulaires ou précaires, personnels d’appui et de soutien à la recherche (ITA, BIATSS), docteur·es et doctorant·es des universités, nous ne pouvons que déplorer l’indigence de Frédérique Vidal, ânonnant le répertoire de l’extrêmedroite sur un « islamo-gauchisme » imaginaire, déjà invoqué en octobre 2020 par le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer…

Notre ministre se saisit du thème complotiste « islamo-gauchisme » et nous désigne coupables de pourrir l’université. Elle veut diligenter une enquête, menace de nous diviser et de nous punir, veut faire régner le soupçon et la peur, et bafouer nos libertés académiques.

https://universiteouverte.org/2021/02/19/demission_vidal/#signataires

Ben oui, comme le médiatique sociologue Eric Fassin ou l’hystérico-historienne Mathilde Larrère (comparse en dhimmitude anti-France de Laurence De Cock), quand on passe son temps à imposer ses idées d’extrême-gauche et à défendre mordicus l’islam et les musulmans, on peut être qualifié sans aucun doute d’islamo-gauchiste.

Quand on passe sa vie à bouffer du curé, confit dans la haine de l’identité française, tout en étant subjugué par une identité musulmane liée à des croyances absurdes, moyenâgeuses, totalitaires et sanguinaires, forcément, on EST islamo-gauchiste.

Pire : quand on déclare que « le racisme antiblanc n’existe pas » tout en promouvant les ateliers « non-mixtes racisés » à l’université (Paris-VIII pour Eric Fassin ou Christine Delphy au CNRS), on devient même un islamo-gauchiste raciste – pardon, racialiste !

Et quand on traite les Français d’islamophobes racistes tout en rêvant de « changer de peuple » en le grand-remplaçant sans doute par ces si chères minorités « racisées » et islamisées, on ne peut être qu’un islamo-gauchiste raciste ET fasciste !

Enfin, quand on sépare l’islam de l’islamisme et que l’on met ce dernier à égalité avec l’islamophobie politique, c’est que l’on a rien compris à 1400 ans de guerres, de conquêtes, de pillages et d’exterminations. Bref, même à bac+12, on reste un c… incapable de comprendre les dangers d’une idéologie de mort sur notre civilisation, notre culture, nos libertés (dont celles de la femme ou des minorités sexuelles, ethniques ou religieuses).

Et même bardé de diplômes et de publications masturbatoires en écriture inclusive, le gauchiste ne comprendra jamais rien à rien à l’islam et aux musulmans de moins en moins modérés : il continuera à crier haro sur l’islamophobe quand, un jour, ses amis de la religion d’amour, de tolérance et de paix viendront lui proposer la conversion, la djiza, l’exil ou la mort.

Mais après tout, certains enseignants en mal d’exotisme et de sexualité épicée, n’attendent que ça : l’arrivée d’un président de la république musulman, la légalisation de la polygamie, le départ des juifs et la charia partout. Comme le prof François, dans Soumission, le roman prémonitoire de Michel Houellebecq.

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Quelques saillies de l’islamo-gauchiste de compétition Eric Fassin s’effarouchant pour un tweet le menaçant mais qui n’a jamais eu de mots pour Mila et ses 50 000 menaces de mort :

« Il n’y a pas d’islamogauchistes en France mais il y a des néofascistes […]« L’extrême droite est au pouvoir, alors même qu’elle n’a pas été élue… » » (Regards.fr – La Midinale)

« Il faut proposer une image du peuple qui inclue les minorités […] et changer le peuple, c’est passer du reflet à la proposition. Mais il faut aussi changer de peuple[…] Comment nous faire entendre, alors que nous ne sommes pas majoritaires ? Car dans les élections, c’est la majorité qui compte ! Il faut essayer de peser plus que notre poids. Il faut devenir des minorités agissantes «  (Regards.fr)

« Le racisme est un phénomène de domination sociale, donc, par définition, il ne peut pas être symétrique – Parler de racisme anti-Blanc est donc absurde » (Le Point)

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Évidemment, on retrouve Eric Fassin, pourtant du côté des gros privilégiés de la nomenklatura universitaire (payée par nos impôts de sales blancs), chouiner avec Rockaya Diallo sur le sort des « racisé.e.s » et parler, encore et toujours de RACE, comme les nazis obsédés d’autrefois…

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Check tes privilèges blancs

Personne n’a envie d’être défini sur le plan racial. Mais le choix n’est pas toujours donné, et surtout pas à n’importe qui : il est rare de devoir se définir racialement lorsqu’on est une personne blanche. 

Pourtant à la blanchité sont associées des avantages, qui ne sont jamais des privilèges en soi mais bien par rapport aux personnes racisé·e·s : pouvoir se rassembler sans être accusé·e·s de communautarisme, allumer la télévision et voir des personnes blanches, pouvoir emménager dans n’importe quel quartier sans autre condition que la contrainte économique, ne pas avoir à parler au nom de son groupe racial lorsqu’on s’exprime… 

Il est pénible de se penser comme blanc·he·s, il est pénible de penser ses propres privilèges. Pour penser la blanchité, les privilèges qui y sont associés, pour expliquer comment la société «  produit  » de la race, Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent Éric Fassin, sociologue à l’Université Paris 8 et auteur de «  De la question sociale à la question raciale  ? Représenter la société française  » (La Découverte, 2006).

https://www.binge.audio/podcast/kiffetarace/check-tes-privileges-blancs

 

[Del Valle] La convergence totalitaire rouge-verte qui gangrène les sociétés occidentales

 

Cette semaine, Alexandre del Valle revient sur la polémique provoquée par l’interview de Frédérique Vidal, qui a dénoncé « l’islamo-gauchisme » qui « gangrène la société et l’université ». Un crime de lèse-majesté impardonnable pour les chercheurs de gauche et d’extrême-gauche qui règnent sur l’université française et occidentale depuis des décennies…

Sans surprise, la réaction de ceux qui, au sein du CNRS, se sont sentis visés, a été de réclamer dans une pétition de 600 universitaires publiée dans Le Monde, la démission de la ministre, et d’essayer de la discréditer en l’accusant de cautionner un combat d’extrême-droite puis de « faire planer la menace d’une répression intellectuelle ».

Désavouée par Emmanuel Macron, qui ne veut pas se mettre à dos les adeptes de l’islamo-gauchisme au sein de sa propre majorité comme Aurélien Taché et les médias qui relaient ce courant, Mme Vidal a mis le doigt sur une réalité criante, et elle a d’ailleurs été soutenue par Jean-Michel Blanquer, pour qui l’islamo-gauchisme est un « fait social indubitable ».

L’islamo-gauchisme en question

En réalité, l’expression islamo-gauchiste n’a pas été inventée par « l’extrême-droite », mais par un ancien directeur de recherche du CNRS, Pierre André Taguieff, figure de l’antiracisme qui, dans son ouvrage La Nouvelle Judéophobie (2002), popularisa le terme...

L’islamo-gauchisme désigne en fait les intellectuels, journalistes, militants ou responsables politiques qui refusent de dénoncer l’islamisme sous prétexte de ne pas « stigmatiser l’Islam » et qui font croire que le racisme ne peut être que le fait des Blancs-Occidentaux-judéo-chrétiens coupables de tous les maux, mais jamais de celui des musulmans issus de l’immigration, victimes par essence, d’où l’impossibilité même de l’association entre islam, islamisme et jihadisme.

En 2016, dans L’Islamisme et nous, Taguieff voyait dans la tenue de réunions non-mixtes et du camp d’été décolonial des Indigènes de la République « interdit aux Européens » la confirmation que « l’antiracisme est mis au service de l’islamisme et de l’islamo-gauchisme, ou instrumentalisé pour la défense de causes ethnicisées ».

L’expression a été largement reprise par Alain Finkielkraut, Caroline Fourest, Jacques Julliard, Elisabeth Badinter, Pascal Bruckner, Bernard-Henri Lévy, ou encore par Michel Onfray. Ce dernier écrit en 2013 qu’il ne communie pas « dans l’islamo-gauchisme d’un Nouveau Parti Anticapitaliste dont le héraut intellectuel est Tariq Ramadan ». Franz-Olivier Giesbert déplore quant à lui une « collaboration d’une partie de la gauche avec l’islamo-fascisme, donnant naissance à un islamo-gauchisme qui a des relais partout ».

Pour Jacques Julliard, l’islamo-gauchisme est le fait d’une poignée d’intellectuels d’extrême gauche, « très influents dans les médias et dans la mouvance des droits de l’homme, qui ont imposé une véritable sanctuarisation de l’islam dans l’espace politique français ».

D’après lui, les hérauts de l’islamo-gauchisme « s’angoissent des progrès de la prétendue “islamophobie” alors qu’ils ignorent délibérément le sort des millions de chrétiens victimes des persécutions dans le monde musulman ».

En mai 2016, lorsqu’il était à Matignon, Manuel Valls avait accusé la gauche radicale de « capitulation intellectuelle » et avait dénoncé les « discussions entre Mme Clémentine Autain et Tariq Ramadan » puis les « ambiguïtés entretenues par Benoit Hamon qui forment le terreau de (la) violence et de (la) radicalisation ». L’ex-fondateur et président de SOS Racisme, Malek Boutih, déclarait ainsi dans 20 Minutes : « La théorie [de Benoît Hamon] est claire : il est normal qu’il y ait du communautarisme car les musulmans sont maltraités. […] Benoît Hamon est en résonance avec une frange islamo-gauchiste », allusion à l’ex-porte-parole de Hamon, Pascal Cherki, qui avait soutenu une réunion “interdite aux Blancs”.

Boutih reproche également un deux poids deux mesures en matière de laïcité : « Hamon et ses amis considèrent qu’on peut critiquer l’Église catholique mais pas les musulmans. Vous ne les verrez jamais utiliser le terme christianophobie par exemple. »

CNRS, EHSS et Science Po Paris gagnés par l’islamo-gauchisme : de la convergences des luttes au « Hijab day »

Pour revenir à la polémique autour de Mme Vidal, on comprend pourquoi des chercheurs du CNRS se sont sentis visés par les propos fort lucides de la ministre : dans les années 2000, l’universitaire d’extrême-gauche qui a le plus défendu l’islamisme radical sous couvert de lutte contre « l’islamophobie », a été Vincent Geissler (chercheur au CNRS), auteur de la Nouvelle islamophobie, suivi dix ans plus tard par Thomas Deltombe, auteur de L’islam imaginaire : la construction médiatique de l’islamophobie en France (1975-2005).

Ces deux « chercheurs » ont essayé de faire de « l’islamophobie » pour l’équivalent de l’antisémitisme et ils ont en partie réussi à diaboliser l’idée-même de combattre l’islamisme…

Outre des membres du CNRS comme Geisser, d’autres instances de la recherche universitaire ont été perméables à des militants islamistes, tel le leader du Collectif de Lutte contre l’Islamophobie (CCIF), Marwan Mohammad, militant Frère-musulman devenu chargé de recherche à l’École de Hautes Études de Sciences sociales (EHESS). M. Mohammad se sert de cette étiquette pour donner un vernis « scientifique » à la négation du problème islamiste, vu comme une « construction islamophobe ».

Dans un autre registre, on peut mentionner l’infiltration islamiste de Science Po Paris: l’association Salaam Science Po Paris, présidée par Yacine Benmohammed […] a été à l’origine, en avril 2016, du « Hijab Day » qui dénonce « la stigmatisation vécue par de nombreuses femmes voilées en France »

Salaam Sciences Po Paris relaie des publications de la galaxie féministe musulmane, du CCIF ou encore et Havre de Savoir (site islamiste frères musulman).

En avril 2013, le CCIF et Salaam Sciences-Po ont d’ailleurs organisé un colloque à l’EHSS intitulé  « L’islamophobie en questions », qui présentait le « rejet de l’islam » comme une « négation occidentale de l’altérité »… Malgré cela, les signataires de la pétition du Monde contre Frédérique Vidal continuent de s’indigner que l’on puisse remettre en question « l’objectivité » de leur « communauté scientifique »!

https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/politique/del-valle-la-convergence-totalitaire-rouge-verte-qui-gangrene-les-societes-occidentales-128786

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8 Comments

  1. Il a raison, c’est un problème de haine sauf que la haine n’est pas du bon côté. Avoir de bonnes études est une bonne chose mais ce n’est pas tout, il faut aussi avoir de l’expérience, pas seulement l’expérience de son travail mais l’expérience qu’on appelle le vécu, avoir côtoyé toutes sortes de gens, des ouvriers, des gens très différents dans des milieux très différents, dans des pays très différents et dans des situations très différentes. L’intelligence devient réelle quand elle s’appuie sur la connaissance expérimentée, si le savoir ne repose pas sur l’expérimentation, il ne peut être qu’incomplet et alors on se trompe même avec les meilleures intentions du monde. Dans le cas présent il s’agit d’idéologie socialo-communiste et l’islam dans notre société est un parfait support car il est considéré comme l’idéologie du pauvre, pauvre d’esprit aussi. On me dira alors que l’idéologie ne concerne pas le savoir expérimenté, je crois que si, l’homme, la femme, choisit son idéologie en fonction de ses connaissances expérimentées, rien d’autre. J’ai connu des gens très bon dans leur domaine à la fac mais incapables de comprendre des choses basiques, c’est le constat de mon expérience en faculté. Nous avons donc des gens sincères d’un côté qui sont forgés dans l’honnêteté intellectuelle et le désintéressement et de l’autre des gens égocentriques et arrivistes qui ne recherchent que le pouvoir pour le pouvoir.

  2. Je pense, mais ce n’est que mon avis, que l’on dit islamo-Gauchisme, parce c’est la gauche qui a favorisé cela!

  3. hitler était national-socialiste, mussolini était socialiste, staline était socialo-communiste et tous étaient des fascistes venus de la gauche. Rien d’étonnant à ce que les totalitaires de gauche s’entendent bien bien avec l’islam qui est une idéologie politique totalitaire.

    • D’autant que Hitler, de même que Mussolini ,aimaient beaucoup l’islam et les mahométans, qui le leur rendaient bien.
      Mais les gauchouillards nient la réalité, nient l’histoire. Quand on leur flanque l’Histoire , les faits historiques sous le nez, ils deviennent rouges de colère, car leurs arguments sont indigents.

  4. Excellent , ils sont nombreux toutes ces ordures islamo-gauchiottes fascistes qui devront être juger par le peuple souverain de France , je ne donne pas chère de leurs saloperies de carcasses !

    • Merci Antiislam

      Dans l’article d’Alexandre del Valle, il est dit que Macron a désavoué sa ministre pour ne pas se mettre à dos les adeptes de l’islamogauchisme (dont Aurélien Taché « et les médias qui relaient ce courant » – sans doute Le Monde, Libé, Mediapart…)

      Ça en dit long sur sa vision de la France et sa soumission à l’islam et aux idées d’extrême-gauche.

      On remarquera aussi la posture victimaire de ces islamo-gauchistes (on les soupçonne, ils ont peur, on bafoue leurs libertés…) et leur hypocrisie à propos du « débat démocratique ». Personne ne peut arriver à de tels postes et à une présence médiatique constante dans les médias publics si l’on ne partage pas leurs idées délirantes.

      La vérité, c’est que les anathèmes (reductio ad Hitlerum), la peur et les menaces réelles sont pour le clan patriote et identitaire.

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