La promotion Senghor d’Emmanuel Macron (2002-2003) : un exemple flagrant du manque de « diversité » parmi l’élite républicaine
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Le cinéma, la télévision publique, l’Opéra de Paris et maintenant… l’ENA. Pour Emmanuel Macron, la réponse à la crise des Gilets jaunes, c’est : plus de D-I-V-E-R-S-I-T-É ! Et en novlangue macronienne, la diversité, c’est PLUS de Noirs et d’Arabes musulmans (les Asiatiques ne comptant pas), MOINS de Blancs.
Ou, mieux encore, plus de femmes noires musulmanes homo ou transidentitaires, si possible grosses et handicapées. Enfin bref, plus de communautaristes et de minorités chouinantes et revendicatives.
Pas sûr que les papis-mamies des ronds-points de novembre 2018, la trentaine d’énucléés par LBD, les centaines de blessés graves et les milliers de « séditieux » provinciaux ayant manifesté contre le matraquage écolo-fiscal issus des énarques parisiens soient vraiment satisfaits de la proposition du chef de l’État…
Il est certain que l’ENA et sa caste de représentants hors-sol représentaient une partie du problème français mais Macron, au lieu de supprimer l’école des crânes d’œuf de la République (comme il l’envisageait auparavant), la renforcera par des « Talents ».
Qu’est-ce qu’un « Talent » dans la pensée complexe du président progressiste ? C’est un jeune « issu d’un milieu modeste », « d’origine sociale ou d’une zone géographique défavorisée », « d’un milieu défavorisé » ou « d’un lycée défavorisé ». Pour eux : un tuteur et 4000€ !
Cher « jeune », « Talent » gaulois non-racisé d’obédience chrétienne de Trifouillis-les-Oies ou de Saint-Jean-de-Cuculles, ce dispositif n’est donc pas pour toi, même en étant enfant d’ouvriers tirant le diable par la queue pour essayer de t’en sortir. Car doté, dès la naissance du « privilège blanc », il faudra désormais accepter ton Grand-remplacement par la sacro-sainte « diversité ».
C’est-à-dire les chances islamisées pour la France, les pépites mélanodermes, les penseurs wesh-wesh de cité, les Indigènes décoloniaux des quartiers, les futurs Omar Sy et Camélia Jordana de la haute-fonction publique, mus, on s’en doute, par un amour encore plus sincère pour la France et son histoire que ses enfants privilégiés « de souche ».
Suppression de l’ENA : Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il finalement fait machine arrière ?
Pour finir, la vieille dame de 76 ans ne va pas mourir. Alors qu’au moment de la crise des « gilets jaunes », Emmanuel Macron avait envisagé de supprimer l’ENA, l’École nationale d’administration, la prestigieuse institution perdurera.
Mais elle va davantage ouvrir ses portes aux jeunes issus de milieux modestes dans les prochaines années.
C’est ce qu’a annoncé le président, ce jeudi à Nantes, en promettant que 1.000 places supplémentaires seraient créés dans les « prépas Talents », des classes préparant aux concours des grandes écoles de la fonction publique et dédiées aux jeunes d’origines sociales ou de zones géographiques défavorisées.
De plus, l’allocation versée à ces jeunes sera doublée et montera à 4.000 euros. Ils passeront un concours spécifique, la voie « Talents », et des places leur seront réservées dans les écoles de la fonction publique (6 sur environ 80 à l’ENA et quelques autres à l’EHESP, l’ENSP, l’ENAP et l’INEP).
« On rapproche les candidats de la ligne d’arrivée »
Depuis des années, l’ENA est désignée comme un symbole de l’élitisme à la française et son recrutement est critiqué. Si 29 % de ses élèves sont boursiers, sa promotion actuelle n’a qu’un seul élève fils d’ouvrier, alors que 70 % ont un parent qui exerce un métier intellectuel…
Selon Boris Walbaum, énarque et cofondateur de l’association Article 1, qui lutte en faveur de l’égalité des chances : « Notre pays a besoin de hauts fonctionnaires qu’il faut former. Le problème fondamental, ce n’est pas l’existence de cette école, mais qu’elle ne soit pas assez ouverte socialement » [donc] « On rapproche les candidats de la ligne d’arrivée, en leur proposant une prépa de deux ans avec un tutorat ». « Et l’on conserve le principe de méritocratie républicaine.
Par ailleurs, ces prépas étant situées partout en France, les jeunes ne seront pas obligés de déménager pour y accéder », ajoute Daniel Keller.
« Je ne savais même pas que l’ENA existait », dévoile Macron
Si Emmanuel Macron n’a pas supprimé l’ENA, c’est aussi par ce que cela n’aurait pas réglé le phénomène d’autocensure de certains jeunes face aux formations de haut niveau. Car même quand les élèves sont brillants scolairement, lorsqu’ils sont issus de milieux défavorisés, ils n’ont pas l’idée d’y postuler, constate Daniel Keller : « Lorsque nous, les énarques, effectuons des visites dans les lycées défavorisés, nous rencontrons souvent des élèves brillants qui estiment que l’ENA n’est pas pour eux, et qui se sentent exclus des chemins d’excellence ».
Emmanuel Macron, qui a grandi à Amiens, a lui même été dans ce cas de figure : « Je ne savais même pas que l’ENA existait. Je l’ai découvert par hasard à Paris. Je suis un enfant de la chance sur ce point », a-t-il expliqué ce jeudi…
[Et mon c…, c’est du poulet ? – NDA]
Le contenu de la formation et les conditions de sortie de l’école posent question
Pour casser son image jugée élitiste et donner envie aux jeunes de l’intégrer, l’ENA devrait aussi revoir le contenu de son cursus, estime Boris Walbaum : « Il faudrait exposer davantage les étudiants aux territoires en difficultés, en leur demandant de faire un stage pendant six mois dans une association, une entreprise ou une administration implantée dans un quartier sensible, par exemple.
Il faut que les diplômés soient plus compétents sur les questions sociales et soient plus connectés avec les réalités de leur pays ».
Un virage déjà pris, puisque le directeur de l’école a annoncé qu’à partir de cette année, les étudiants ne feraient plus leur stage dans des grands groupes mais dans des PME. Pour Daniel Keller, l’ENA doit aussi « mieux former ses étudiants à la gestion de crise, afin d’en faire des fonctionnaires caméléons »…
Le directeur de l’ENA, Patrick Gérard […] a annoncé en décembre dernier qu’à partir de la promotion 2021, les épreuves de sortie seraient davantage pratiques et moins académiques. La révolution de l’école strasbourgeoise est donc loin d’être finie…
[Traduction : comme à Sciences-Po, il faudra éradiquer la culture générale et l’écrit pour favoriser les « djeuns défavorisés » – NDA]
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le plus grave ,c’est la naiveté des gens de croire qu’un menteur irresponsable peut changer…………on n’est pas sorti de l’auberge…………………
Pauvre France, tu es perdue, mais c’ est toi qui a voté pour ces pignoufs !!!!!
c’est fascinant de voir – actuellement dans tous les domaines – que au lieu de redresser la barre des choses qui vont mal , bien au contraire on les empire, c’est une fuite en avant qui ne peut finir que dans le mur – un jour ou l’autre tout ça doit faire boum
Il ne savait pas que l’ENA existait, de même qu’il n’avait jamais rencontré de noirs ni d’arabe !
Le problème de l’ENA, ce n’est pas l’ethnicité des élèves mais plutôt le formatage idéologique par des profs trop politisés à gauche,
Il faudrait changer les programmes et renouveler les enseignants
Comme à Sciences PO Paris dont Eric Zemmour a si bien évoqué la dérive.
Genre de conneries qu’ils véhiculent :
On va créer des postes dont le travail ne sert à rien pour que les gens puissent toucher un salaire. Dixit un élève……………
On se croirait dans l’ancienne URSS où les gens mettaient leur production à la benne
J’ai fait une recherche sur «E.N.A. anciens élèves célèbres»
Les noms que j’ai trouvés sont édifiants. Est-ce vraiment valorisant d’être sorti de ce gourbi ?
Recherchez donc « le livre noir de l’ENA » (en pdf) vous allez tomber de la chaise en lisant ce qu’ils ont fait de l’économie française. La seule sanction qu’ils ont obtenue c’est la légion d’honneur.
Depuis 20 ans environ, nous tirons tout le système éducatif vers le bas tout simplement parce que les indigènes sont incapables d’être au niveau des Français de souche, cela se voit dès l’école primaire, ils sont incapables de se concentrer en classe et de travailler sérieusement. Quand vous avez 2 ou 3 indigènes dans une classe, toute la classe régresse car ils vont dissiper la classe et bien entendu retarder le programme. A l’université, c’est la même chose, nous avons des individus qui obtiennent des licences mais qui sont incapables de maitriser les bases du français, ils sont très médiocres et dévalorisent les diplômes.
macron ne supprime plus l’ENA et à la place des Ânes il y met des canassons. Voilà donc les futures zélites de la Nation France : des chevaux bancals.
Je connais la musique, à la scolarité quand un élève est noir ou arabe et qu’il n’a pas la moyenne pour obtenir son diplôme, on surévalue ses notes pour qu’il puisse passer, ce qu’on ne fera pas forcément pour un blanc car il faut bien montrer que certains sont trop faibles. On facilite ainsi les indigènes pour artificiellement les intégrer au détriment des vrais français de souche.
la France est tirée vers le bas de plus en plus avec ces gauchos et leur idéologie à la con.
Encore une façon de combattre le « séparatisme »:
Voler dans les comptes des sans dents, pour inonder les colons.
c’était déjà l’école des ânes alors là ça va être l’école des ânes bâtés. pauvre France. Micron est un idiot de pervers narcissique..
Question un peu con
L’ENA forme les hauts fonctionnaires qui ont leur propre idéologie. Le pouvoir au rythme des élections change de couleur politique. Les politiques ont du mal à se faire obéir par leurs chefs de cabinet issu de l’ENA, si les idéologies sont contraires.
Les politiques passent, les chefs de cabinet restent.
Alors pourquoi maintenir une institution qui n’a que des désagréments sur la durée?
Bizarre
Un concours spécifique ! C’est fondamentalement anti-républicain ! On va empêcher des gens méritants d’accéder à l’ENA pour le permettre à d’autres qui ne le méritent pas suite à leur niveau insuffisant… En outre quand ces gens là seront aux commandes de leur secteur administratif, ils passeront leur temps à privilégier leur communauté, voire à leur permettre de tricher honteusement. On ne doit pas accepter ça !
Bah, ça ne va pas changer grand-chose, la plupart de ceux qui y sont passés ont du avoir leur diplôme avec 3 de moyenne en économie.
Ou alors le nom officieux d’école nationale de l’arnaque n’est pas usurpé.
Quand on a fait ses études à la Providence à Amiens , prétendre ne pas y avoir entendu parler de l’ENA c’est soit être un abruti complet soit un menteur pathologique.
les deux mon capitaine !! mais en pire !
Bonjour , les deux mon colonel !
les deux