Je pleure et je tremble devant la Jeunesse de France au regard vide qui fait la queue aux soupes populaires

A la Jeunesse de France

Quelques réflexions sur la manifestation étudiante du 26 janvier et les soupes populaires

Le 26 janvier 2021, j’ai vu passer la manifestation des professeurs et des étudiants qui protestaient contre la politique sanitaire et économique du gouvernement et ses conséquences sur leurs conditions de travail et leurs perspectives d’avenir professionnel.

J’ai croisé les regards perdus et désabusés de cette Jeunesse studieuse qui est notre avenir et qui aspire, comme nous l’avons fait en notre temps, à un avenir radieux dans un pays prospère et heureux.

Jamais je n’avais vu de tels regards, une telle tristesse.

Spectacle poignant d’une Jeunesse qui frôle le désespoir, et qui doit se résoudre à l’indignité de faire la queue dans les soupes populaires pour pouvoir manger [1]. Une Jeunesse déclassée, sans avenir, face au gouffre de la misère.

Une Jeunesse que personne n’aide ou ne songe à aider, alors que les candidats potentiels à l’élection présidentielle, Marine le Pen, Mélenchon, Xavier Bertrand et leurs cohortes de médiocres font eux aussi la queue, mais pour accéder aux plateaux de télévision antichambre du pouvoir suprême.
Qui parmi eux s’est vraiment ému de ces sinistres cortèges de misérables qui hantent nos rues et qui sont chaque jour en plus grand nombre ? Aucun parti politique, aucun élu ne bouge, faute de compassion et d’idées, pendant que notre Jeunesse, qui est notre avenir, s’enfonce chaque jour davantage.

Véritables partis de l’étranger, les écologistes, l’extrême gauche et la gauche dite modérée demandent toujours plus d’aides pour les migrants, pendant que nos jeunes crèvent sans ressources, enfermés dans leurs chambres exiguës par un couvre-feu imbécile et inutile. Marine le Pen se couche lamentablement devant le pouvoir de Macron et fait de la surenchère faute d’idées et de talent, empêtrée dans le désastre financier de la gestion catastrophique de son parti en plein naufrage idéologique. Le centre mou et bedonnant de la République finissante et décadente temporise et manipule, installé dans ses confortables fauteuils du pouvoir, sous les ors des palais de la République : comme au Sénat dont le restaurant étoilé est l’un des lieux les plus courus de la capitale, ou encore à l’Elysée où Brigitte, qui vient toute honte bue nous faire de grandes déclarations sur les horreurs de l’inceste alors qu’elle rencontra son futur époux quand il avait 14 ans et elle 40, régente les menus diététiques de son époux et de sa cour, nous informe Paris Match, servis dans un service de Sèvres payé 500.000 euros. La République en mode Titanic, c’est maintenant !
J’entends de-ci de-là tel commentaire sur l’incomparable souffrance de la Jeunesse de 1914 ou de 1940, cette génération qui dut donner sa vie pour sauver la nôtre et celle de nos parents. J’entends tel jugement supérieur de bourgeois installés, j’observe tel regard désapprobateur sur de soi-disant enfants gâtés qui se plaindraient d’être privés de sortie en discothèque ou de sortie au cinéma. La comparaison avec notre époque est certes difficile : les souffrances des deux grandes guerres furent bien plus terribles et meurtrières.  Mais « Comme l’homme est dur, malgré ses cris de pitié, comme la douleur des autres lui semble légère, quand la sienne n’y est pas mêlée ! » disait Roland Dorgelès [3]
 
Aux bourgeois égoïstes sans compassion, aux notables du pouvoir installés par un peuple lâche et imbécile et qui profitent du système je demande : que fera cette Jeunesse abandonnée et misérable ? Croyez-vous qu’elle restera tranquille et s’abandonnera à mourir en silence ? « L’âme ne se rend pas au désespoir sans avoir épuisé toutes les illusions », disait Victor Hugo [2]. Mais notre Jeunesse a-t-elle encore les moyens de garder ses illusions ? Craignez son désespoir, craignez son ressentiment légitime, craignez qu’elle ne se réveille d’un seul coup et ne renverse un système qui l’a lâchement abandonnée. Craignez qu’elle ne devienne la proie facile du très probable réveil des fascismes de gauche ou de droite comme dans les années 20 ? Avez-vous oublié les leçons de l’histoire ? Voulez-vous vraiment revivre cela ?

Aujourd’hui, Jeunesse abandonnée, tu es le visage d’une France trahie par l’élite égoïste que tes parents ont installée. Fasse le ciel que ta révolte légitime ne soit trop terrible !

.

Que tous ceux qui ne veulent pas voir ou ne voient pas, que tous ceux qui détournent le regard par lâcheté ou inhumanité, méditent donc ces paroles de Primo Levi [4] « Vous qui vivez en toute quiétude, Bien au chaud dans vos maisons, Vous qui trouvez le soir en rentrant La table mise et des visages amis, Considérez si c’est un homme Que celui qui peine dans la boue, Qui ne connaît pas de repos, Qui se bat pour un quignon de pain, Qui meurt pour un oui pour un non. Considérez si c’est une femme Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux Et jusqu’à la force de se souvenir, Les yeux vides et le sein froid Comme une grenouille en hiver. N’oubliez pas que cela fut, Non, ne l’oubliez pas : Gravez ces mots dans votre cœur. Pensez-y chez vous, dans la rue, En vous couchant, en vous levant ; Répétez-les à vos enfants. Ou que votre maison s’écroule, Que la maladie vous accable, Que vos enfants se détournent de vous. »

 

[1] « Vidéo publiée par RT France le 29 Janvier 2021.

[2] « Les Misérables », roman publié en 1862.

[3] « Les Croix de bois », roman publié en 1919.

[4] « Si c’est un homme », roman autobiographique paru en 1947.

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29 Comments

  1. notre jeunesse est « perdue »…….par manque de fierté, de repère, de famille, d’inculture, et d’énergie…….. sortir la tête de leur écran de merde en font des zombies……. ils ne s’intéressent qu’à très peu de choses, avoir du réseau et le plein de batterie …….
    LA FAUTE A QUI ???
    ne cherchez pas trop, et regardez vous dans une glace ……………………..

  2. N’est-ce pas la jeune génération qui devrait être sur les barricades contre la dictature sanitaire et les covimanipulations ? Non, ce sont les vieux qui se battent – Raoult c’est un vieux, Charles Gave , Bercoff, Montagnier, Perronne, tous ces gens-là ce sont des vieux – Où sont les jeunes ? – au lieu de la file à la soupe pourquoi ne manifestent-ils pas devant le parlement ? c’est eux qui crient « Macron-démission » ? ou bien votent-ils pour Macron ? Monsieur Crenne, allez interroger ces jeunes , demandez-leur pourquoi ils ne font pas la révolution.

  3. La prochaine étape c’est la distribution de Soleil Vert !
    Synopsis de ce film de 1973
    En 2022, les hommes ont épuisé les ressources naturelles. Seul le soleil vert, sorte de pastille, parvient à nourrir une population miséreuse qui ne sait pas comment créer de tels aliments. Omniprésente et terriblement répressive, la police assure l’ordre. Accompagné de son fidèle ami, un policier va découvrir, au péril de sa vie, l’effroyable réalité de cette société inhumaine.

    La coïncidence de date n’est-elle pas étonnante ?

  4. Tous les jeunes ne sont pas à mettre dans le même sac c’est comme ceux qui disent c’est la faute aux électeurs qui ont voté Macron tout le monde n’a pas voté pour lui ,il y a des jeunes qui avaient des petits boulots pour financer leurs études et avec la fermeture des restaus plus rien, les aides ?plus pour les migrants qui ont tout ,et les parents parfois qui sont aussi dans la précarité ne peuvent pas aider leurs enfants ,et ce n’est pas parce que nous nous avons galéré et je sais de quoi je parle que les jeunes doivent galérer autant .

  5. Autres formes de pauvreté : je regardais sur la 3, le 26 Janvier, une émission de Pièces à conviction, sur les enfants placés, au nombre de 200 000 ; une première émission avait eu lieu en Janvier 2019, sur une enquête qui mettaient en lumière le destin tragique de certains enfants placés ainsi que les dysfonctionnements des services de l’ASE (protection de l’enfance ) ; Deux ans après, un secrétaire d’ Etat a été nommé, mais le reportage nous montrait la maltraitance qu’ils subissaient : la pauvreté là, c’est des enfants laissés dans des hôtels, dont un qui est mort récemment à 13 ans d’un coup de couteau donné par un autre enfant placé, dans l’hôtel où ils ne reçoivent que peu de visites des éducateurs ! celui qui sert d’éducateur est le patron de l’hôtel qui veille à la bonne conduite de ces jeunes ! ils sont livrés à eux même alors que, OUI, ils ont une chambre pour dormir et se laver ! à 18 ans ils ne font plus partie de l’ASE, et peuvent sortir du dispositif sans formation ni travail ! Pour moi, ils n’ont pas les armes ni la capacité, pour se défendre dans la vie, déjà en rupture avec des parents français déficients ! MAIS PAR CONTRE NOUS AVONS 40 000 MNA, POUR LE MOMENT EN FRANCE HEBERGES PAR L’ ASE ! C’est encore une fois là ou l’Etat blesse , trop de monde, pas de moyens, pas de personnel ou démissionnaire mais « ILS  » continuent d’ ouvrir les vannes de l’immigration des mineurs , d’Afrique du Nord notamment !! C’ EST PATHETIQUE, QUE CES HOMMES POLITIQUES NE FASSENT PAS DE RAPPROCHEMENT, MAIS C’EST SURTOUT DRAMATIQUE POUR NOS ENFANTS, EN FRANCE, SOI DISANT PAYS EVOLUE ! ( mais aussi en Angleterre avec le gang des pakistanais ..)

  6. Ce qui me terrifie, c’est de voir tous ces gosses abandonnés par les parents ! Comment voulez-vous que les gamins ne se sentent pas en TROP ? Inutiles ? Pourquoi leurs parents ne sont-ils pas là, au moment où ils en ont le plus besoin ? Quand les parents prendront-ils leurs responsabilités ? Personne pour pallier la carance de parents égoïstes ? Quelle pitié !!!

  7. Cela me fait penser à la situation de l’Allemagne pendant la grande crise de l’après guerre (celle de 1914). Je n’ai pas besoin de vous raconter la suite, vous la connaissez!

  8. nous nos parents ne pouvaient pas nous payer d’études, alors nous sommes allés après le travail en cours du soir au CNAM pour obtenir des unités de valeur pour évoluer dans l’entreprise, pour ne pas rester au bas de l’échelle et c’était pas 35 heures, 40 voir 48 heures. alors c’est vrai qu’ils n’ont pas de chance certains de nos étudiants. mais faut se bouger et bosser pour y arriver. A moins d’être gosse de riche, tout n’arrive pas tout cuit dans nos assiettes. et les parents de ces étudiants, ils les ont faits, ils doivent aussi aider et assumer à la culture de leurs enfants. On a fait une France de glandus ou tout est dû. la preuve tous les illégaux qui veulent venir pour en profiter ….nos gosses vont certainement en baver avec toute marée humaine de blacks et beurs qui arrivent et ne glandent rien…

    • c’est bien aussi le problème ! quand je vois dans ma ville des personnes faire des maraudes, apporter vêtements et soupe à des sans dents, au sens propre du terme, car des jeunes n’ont plus de dents ou très abîmées, – ce n’est pas un mensonge car je vais leur parler – , qu’ils dorment pour certains dehors , et que vous voyez des africains se balader plutôt bien vêtus et avec tél dans les mains , vous vous dites qu’il y a un problème !! « nos gosses en bavent déjà  » , et la colère me submerge !

      • Ce qu’ils faut noter aussi , c’est que l’inconsistance de certains jeunes étudiants est due en grande partie à l’extrême banalisation de la prise de substances illicites.
        Pour ces jeunes elle est tellement addictive qu’elle fait passer l’achat des joints avant même celle de la bouffe !
        Et à qui on l’achète la beuh ? Au mohamed ou au moussa du coin ou au petit blanc qui aura groupé les commandes .
        Il est vraie que dès que l’on a une université dans une ville , on a les points de deal adéquats! C’est presque une « nécessité »!
        C’est le phénomène de l’offre et la demande qui s’impose
        Poitiers, Rennes, Tours, etc… ou ma propre ville , c’est à partir des cités environnantes, des centaines de jeunes et leurs familles très majoritairement pour ne pas dire exclusivement, issus de l’immigration qui sont concernés par ce business illicite.
        Ce n’est pas une vue de l’esprit mais quelque chose que je vis et vois tous les jours!
        Je pense que dans son inconscient collectif, cette jeunesse estudiantine ,grosse consommatrice de beuh ,assimile à des bienfaiteurs , ces jeunes issus de l’immigration qui lui refile leur addiction quotidienne ou hebdomadaire. Ils sont pour eux des sortes de médecins du quotidien!!!
        Ils ne connaissent, pour la plupart , du côtoiement avec l’immigration des quartiers, que ce rapport furtif lors des transactions avec les dealers .
        J’ai connu tout jeune, à travers mes relations dès la fin des années 60 les plus âgés qui montaient à Paris pour acheter un peu d’herbe , puis dans les années 80 certains allaient se fournir aux squats de l’îlot Chalon, ou à la station Etienne Marcel, hauts lieux de traffics jusque dans les années 90,puis le raz de marée des points de deal, en parallèle , il faut le dire, à une immigration marocaine qui finie par dépasser en nombre celle des Algériens !
        Et je peux dire, malgré les écueils et ma jeunesse difficile, que ce n’était pas une fatalité de tomber la dedans ! Certains jeunes qui trainaient un certains mal de vivre n’ont pas eu cette instinct de survie et en sont morts!
        J’ai connu ce drame dans ma propre famille proche, et j’ai vu tous les rouages qui ont amené à cette issue fatale! On ne va pas me faire croire que des étudiants qui ont été fagotés pendant toute leur scolarité par l’opium du peuple, au sens figuré, qu’est la religion de la pensée unique ,anti raciste, pro immigration, gaucho, associée à la prise réelle des substances de toutes sortes qu’ils en sont complètement sortis indemnes !!!*Et nous, non plus, par le fait !. Ces jeunes, ce sont les futurs élites, le devenir de la nation, ou ce qu’il en restera une fois que nos propres élites anti France ,associées à l’immigration majoritairement anti France, elle aussi, ,auront réussis leur coup!!!
        En tout cas, ils ont bien entamé tout cela, en partie grâce aux électeurs collabos et malheureusement aux abstentionnistes qui ont toujours une bonne raison pour ne pas voter mais ne sont pas les moins râleurs pour cela !
        Il ne faut pas banaliser cette prise de drogue par des millions de jeunes étudiants et son impact sur les esprits et donc directement sur les choix politiques faits.
        Elle a des effets pervers sur toute la société, et le manque de réactivité de cette jeunesse ou au contraire la prime à l’émotion brute, que l’on ne doit pas encourager , comme l’a fait Castaner, car pouvant être cause de lynchage ou de pillages de la part de ceux qui ne peuvent les restreindre , en sont directement quelques unes des conséquences néfastes ! Sans parler de l’aide logistique que cela permet aux trafiquants majoritairement musulmans qui peuvent acheter avec cette énorme manne financière; armes et faux papiers pour aider le terrorisme islamique! Ils peuvent remercier nos benêts qui ne sont pas pour rien, en amont ,dans les attentats , même si ils s’en défendent ! Les mêmes qui vont déposer peluches et bougies sur les lieux de ces massacres ! « Dieu se rit de ceux qui pleurent des conséquences dont ils chérissent les causes! ». Décidément elles sont nombreuses en ce moment les occasions d’utiliser cette citation !

  9. tous des enfoirés ces électeurs qui ne pensent qu’à leur avantages et privilèges. tant que les français n’auront pas compris qu’il faut tous les virer, on n’avancera pas. les hauts fonctionnaires et politicards ainsi que juges magistrats et avocats ont simplement pris la place des aristos avant la révolution. Louis XVI est mort pour rien car il se souciait du peuple lui.

  10. En Angleterre, un homme qui offrait une soupe populaire a été arrêté car il générait un attroupement, en infraction avec les restrictions covid…

  11. Au risque de passer pour une affreuse facho au coeur dur, je crois avoir compris que c’est la jeunesse étudiante, bénéficiaire des distributions alimentaires à 1 euro qui vous fend le coeur de cette façon. Et vous généralisez à toute la jeunesse qui n’a pas d’avenir selon vous.
    Quand je compare ma génération avec la leur, je n’ai pas envie de les plaindre. A mon époque, les étudiants étaient bien moins nombreux qu’aujourd’hui, ceux qui allaient à la fac avaient des parents qui avaient les moyens ou bien, c’était les plus déterminés, qui savaient ce qu’ils voulaient et travaillaient pour.
    Aujourd’hui, je n’ai pas l’impression que ce soit majoritairement des jeunes qui ont envie de décrocher tel diplôme en vue d’exercer tel ou tel métier. Dès le secondaire, ils ont été habitués à la loi du moindre effort et du maximum de plaisir car telle est la philosophie post-soixante-huitarde, le travail, les sales boulots, plutôt les immigrés que « nos enfants », d’où l’immigration de masse.
    Non, je ne plains pas des jeunes qui se plaignent et que l’on plaint et qui le cas échéant répondront « ok boomer ».
    Ce n’est pas entièrement de leur faute me dira-t-on mais de celle de leurs parents.
    Ce n’est pas faux, mais la condition humaine consiste à se prendre en main, sinon c’est le politique qui prend la main. Nous l’avons oublié, jetant aux orties la valorisation du travail, du mérite; après 68, il fallait pas de sélection pour entrer en fac. On voit le résultat aujourd’hui et demain ce sera pire.
    Je ne plains que ceux qui ne demandent pas qu’on les plaigne, par exemple les jeunes de Génération identitaire.
    Tout le monde n’a pas l’étoffe d’un héros, certes, mais en principe des étudiants devraient être capables d’analyser un minimum le monde dans lequel ils vivent, étant citoyens et électeurs.
    Si d’ailleurs, pleurnicher, compatir servaient à quelque chose, cela se saurait. Comme ce n’est pas le cas, il faut donc que la jeunesse aux yeux désespérés – il y avait plein de petits boulots pris par les clandos avant le covid et même depuis – découvre que faire la teuf est certes plaisant, mais que tout ce qui vaut a coûté des efforts préalables pour être apprécié. Et que rien n’est dû. Tout se conquiert.
    Telle était la loi implicite autrefois, admise par tous car il n’y avait pas d’assistanat et de surenchère politique pour toujours plus de « social ».

    • Oui en effet vous avez raison, mais le côté positif je l’espère c’est que tout ce merdier de la dictature sanitaire à l’invasion migratoire va réveiller notre jeunesse européenne pour les ramener vers le camp national une partie tout du moins pour qu’en 2022 le malade mental biberonné à l’antiracisme qui nous sert de président, soit envoyé sur orbite au-delà de notre galaxie !👌🇨🇵

      • Moi aussi, j’espère que la dèche les rappellera aux dures réalités de la vie. Il y a trop de laisser-aller, de pleurniche, d’auto-apitoiement, de relâchement : quand je vois les espaces verts jonchés de canettes de sodas ou bière, d’emballages de gateaux qui ont été jetés négligemment comme si leurs consommateurs ne daignaient pas se donner la peine de les jeter dans les poubelles proches, qui existent bel et bien dans ma petite ville, je suis écoeurée. Sans parler des masques qui traînent négligemment un peu partout. Je me dis qu’un tel manque de civisme qui se pare d’une fierté de mauvais aloi est le signe d’un manque de respect de soi et des autres. Il est vrai que j’ai été élevée à l’ancienne ! Mais au moins, cette éducation m’a appris que « pleurer n’est pas de mise » ou alors pleurer pour se soulager le coeur un moment mais surtout pas pour s’auto-apitoyer.
        Je ne réserve ma compassion qu’à ceux qui la méritent, ceux qui ne réclament rien et font le maximum ou s’ils ne le font pas ont la dignité de ne rien demander et surtout pas exiger au nom de la justice. Ceux-là peuvent compter sur moi, mais pas les veules, les mous, les abrutis de la société de consommation. Pour tout dire, ceux qui n’ont que la justice à la bouche alors qu’ils sont gavés mais en veulent toujours plus me répugnent.

    • Bonjour,
      c’est exactement ça !
      Des générations de fegnasses trop habitués à se complaire dans l’assistanat !
      On peut même dire que plus de 90% des jeunes ne veulent pas aller bosser.
      Pour certains, se lever très tôt c’est trop difficile, pour d’autres, travailler la nuit c’est impossible, faire un travail en poste 3/7 ce n’est pas pour eux !
      Ils s’ aglutinent dans des facs chercher d’éventuels diplômes pour exercer un taf qu’ils n’auront jamais car « pas d’expérience professionnelle ou trop de monde sur le marché »!!!
      En contrepartie, des parents qui ne font pas leur (travail de parents) non plus s’ajoute à cette débandade !
      Faudrait faire un retour en arrière d’une quarantaine d’années pour éviter toutes les technologies qui favorisent la fénéantise mais c’est devenu impossible !!!

    • je partage en partie ce que vous écrivez, mais les responsables sont ceux qui décident : j’ai entendu des profs dirent qu’ils avaient eu des consignes de ne pas noter en dessous d’une certaine note pour les contrôles, pour le bac ! donc ils ne sont pas noté au mérite ! comment s’y retrouver dans ce qui est mensonge au départ, quand on a 18 ans ? Ces gamins pensent donc être des « génies  » et ne comprennent pas ce qui leur arrive, en partie , car certains ont la force de caractère ! après je ne suis pas sûre qu’il y ait tant de petits jobs à cause du Covid, la preuve c’est qu’avant il n’y avait pas ces files d’attente … et vous avez raison mais je crois que la pauvreté peut avoir plusieurs visages , être différente d’une époque à une autre aussi Après il ne s’agit pas de pleurer, mais la réalité c’est qu’ils ne mangent pas si il n’y a pas de resto universitaire, c’est le cas de mon petit fils où,dans son école, il n’y a pas de restauration .. (il n’a pas de problème par ailleurs ) .
      J’ai lu dans l’Est R. journal local, un article « larmoyant  » , d’un jeune qui se plaignait car il était à la campagne, isolé donc, par rapport à son école après bac, et aussi ses copains, alors qu’il y a des moyens de communication..il était chez sa mère qui le nourrissait et le logeait ..- .je concède que le travail par internet est fastidieux, les parents le disent et qu’ils perdent une année, ne savent pas où cela va les mener , mais voilà un cas typique de victimisation ( par rapport à d’autres ).. je pensais aussi qu’il pouvait venir en aide à des personnes âgées du village ..

      • Denise je n’ai pas dit que le covid génère des petits jobs, mais qu’il y en avait avant l’épidémie et les confinements.
        Il ne faut pas mettre tous les jeunes dans le même sac, mais le printemps dernier quand j’ai entendu qu’une sorte d’engouement pour les travaux maraîchers avait saisi la jeunesse désoeuvrée par le confinement, j’étais un peu étonnée. Puis quand après la première semaine beaucoup de ces bonnes volontés ont déclaré forfait, je me suis hélas retrouvée en terre connue. En effet, les travaux maraichers sont pénibles, pas par les charges qu’il faut soulever par le caractère répétitif propice à l’ennui et surtout les gestes et les positions souvent courbées qui finissent par fatiguer les articulations ou le dos. Mais quand on est jeune, foi d’ancienne vendangeuse, le corps s’y fait en quelques jours et pour l’ennui, il faut s’en arranger, c’est souvent le cas d’ailleurs dans d’autres types de travaux dont ceux de bureau.
        Il a fallu faire appel à des Polonais et autres Européens moins bien lotis que nos petits Français.
        Eh bien, je suis désolée, je pense que nos petits Français sont trop gâtés et qu’ils vont devoir revenir à plus de courage et d’humilité.
        Les sales boulots doivent être faits et ne doivent pas être réservés aux seuls malchanceux, en l’occurrence aux immigrés qui génèrent des inconvénients bien pires que l’ennui à supporter durant quelques heures et une durée limitée comme c’est le cas dans les travaux saisonniers qui faisaient l’humble bonheur des jeunes désargentés d’antan.

  12. Mais pendant ce temps nos politicards sont très concernés par le bien être et le confort des déchets humains qui nous arrivent de toutes part.

  13. que les parents se remettre en question c’est eux qui ont voté pour tous ces pourris qui nous gouvernent .Quand au parti politique que ce soir Marine Le Pen ils s’en foutent ..ce qu’ils veulent c’est leur salaire c’est avoir le pouvoir et se gaver ..Vous les voyez pour chaques elections ,mais apres plus personnes Et ca va du plus petit candidats au plus grand.Des cantonale, des régional jusqu’au présidentielles

    • Tous les élus ne sont pas pourris … Malheureusement, beaucoup parmi eux font passer leur réélection avant le bien commun des Français. Puisqu’il y a plus de quarante millions d’électeurs étant à peu près tous éligibles, il faut interdire les réélections. L’expérience est faite depuis plus d’un siècle: permettre les réélections est une catastrophe. Faisons une autre expérience, sans réélections (sauf petits villages) et voyons le résultat après un demi-siècle de fonctionnement. Exigeons des candidats qu’ils connaissent la vie active réelle grâce à un travail pendant plus de douze ans (ou même vingt ans) en tant que salarié ou patron. Il ne faut plus de politiciens professionnels trop facilement corrompus par divers lobbies (lobbies = corrupteurs de son vrai nom).

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