France culture, faites attention à qui vous donnez la parole, cela va nuire à votre image.
Vraiment, c’est à se tenir les côtes !
Voilà celle que décrit libé. :
Issue d’une grande famille réunionnaise, la politologue féministe et antiraciste divise avec sa vision décoloniale de la France.
Françoise Vergès, le temps «décolonie»
Décoloniser les institutions, les arts, le féminisme, soi-même… La Réunionnaise Françoise Vergès a toujours «la décolonisation»au bout des lèvres. Un prisme inconcevable pour ceux qui ne pensent pas que la société française soit profondément raciste. Et qui braque les universalistes, persuadés qu’un tel discours peut creuser une fracture au sein de la société à force d’opposer «dominants» et «dominés», «Blancs» et «racisés».
La première fois qu’on croise la politologue, c’est à la Colonie, bar parisien qui fait aussi office d’espace de débat, très porté sur ces questions. A coups de «ils ne nous donneront rien, on arrachera tout», «nous ne voulons pas nous intégrer à la France blanche», cette oratrice charismatique sait se faire offensive.
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Il en est une autre décrite par zinfos974. :
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Elle (NDLR Françoise Vergès) a, pourtant, pour parler de l’esclavage un titre, dont par modestie sans doute, elle ne fait état nulle part. Loin d’être une descendante, fût-ce lointaine, d’esclaves réunionnais, ce que peut donner à penser sa physionomie quelque peu orientale, la seule véritable ascendance réunionnaise, dont elle puisse se flatter, n’est nullement du côté des esclaves, mais, bien au contraire, des profiteurs métropolitains ou, bien pire encore, des esclavagistes de la Réunion.
En effet, si sa grand-mère était indochinoise (son père est né au Siam en 1925), sa mère est une bonne métropolitaine et surtout son grand-père, Raymond Vergès, né à Saint Denis de la Réunion en 1882 et fondateur de la dynastie politique réunionnaise, avait été élevé surtout par sa grand-mère Marie Hermelinde Million des Marquets, née en 1832 et qui avait épousé, en 1855, un modeste commis de marine métropolitain, Adolphe Vergès.
Ces Million des Marquets possédaient une plantation d’une vingtaine d’hectares, à la Ravine Saint-Jean, à Saint-André, « quartier » où elle résidait par ailleurs. Cette famille de planteurs était dans l’île depuis 1767 et elle se situait plutôt, on le devine déjà, du côté des esclavagistes que des esclaves.
Nous sommes naturellement parfaitement renseignés sur tout cela, en particulier, par les actes établis lors de l’abolition de l’esclavage en 1848 ; s’il avait été moins ignorant, le Parti Communiste Réunionnais de son papa aurait tout à fait pu, sans grand mal, faire disparaître ces papiers des archives locales.
Le trisaïeul de Madame la Vice-Présidente du Comité pour la Mémoire de l’Esclavage, « experte tranversale » pour les Etats Généraux des DOM, était un propriétaire d’esclaves ; elle se trouve donc être une descendante directe de « békés » réunionnais (même si ce terme est spéfiquement antillais) et même de colons esclavagistes. Elle n’y est naturellement pour rien, mais, dans sa position et vu ses propos, c’est un peu comique !
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Des deux, la dernière, peut-être lue par quelques racisés, montre un métissage -origine indochinoise- qui ne suffit pas à certains pour gommer ses origines blanches, et qui plus est, de descendante d’esclavagiste réunionnais !
Et voilà que la Licra, observant malicieusement qu’elle a quelque chose à voir dans sa mésaventure, offre ses services à la féministe décoloniale :
Ils nous fatiguent tous avec leurs histoires de race et pour Françoise Vergès c’est bien fait pour sa gueule… mais il y en a d’autres : creusez les ascendances des Diallo et Obono et on trouvera de belles surprises !
Ou les Traoré descendants de tribus esclavagistes au Mali les Soninkés par exemple.
Bonjour,
Merci pour cet article, oui c’est succulent !
Vergès est une imposture sur patte.
Je me souviens que, présentée comme une historienne de l’esclavage, elle s’est montrée incapable de répondre correctement, lors d’un jeu, à une seule question, parmi 5 ou 6, portant sur l’histoire de l’esclavage …
Qui parle de race, ce sont toujours les indigènes, jamais les blancs, ce sont donc les indigènes qui sont racistes et non les blancs. Le racisme en France n’existe pas si on parle de racisme pur, c’est plutôt une hostilité due à des comportements irresponsables, un manque de volonté d’assimilation et encore plus d’intégration. L’indigène arrive en Occident avec l’idée que le blanc est redevable ce qui est faux. Au lieu d’adopter un comportement de respect et de soumission, celui-ci veut imposer ses origines et son mode de vie ce qui est contraire à toute logique de fusionnement avec la civilisation française. Il est donc clair pour moi que ce n’est pas une décolonisation qu’il faut opérer dans notre pays mais une désafricanisation et une démusulmanisation qu’il faut réaliser dans les plus brefs délais. La désafricanisation et la démusulmanisation passeront obligatoirement par un retour de notre culture chrétienne non pas forcément par une pratique religieuse mais par une reconnaissance des sources de notre civilisation.
Dans la même veine, nous pouvons informer ces mijaurées que Mme kamala Harris est également descendante d’esclavagistes. Et pas des moindres:
https://www.dreuz.info/2020/08/16/kamala-harris-vient-dune-famille-desclavagistes-explique-son-pere-en-2019-dans-un-journal-jamaicain/
Rien que pour voir leurs petites visages se désintégrer devant l’horreur de la découverte: des noirs qui ont des esclaves noirs….
Françoise Vergès est la nièce de ce fumier de Jacques Vergès de triste mémoire, supporter du FLN, avocat enthousiaste de Klaus Barbie et du converti muzz Carlos. Toutes les branches de cette tribu sont pourries.
Bonjour,
Oui !
Y avait Paul aussi, je ne sais pas s’il vaut grand chose.