Paris c’est le Moscou de Staline : les restos ouverts pour le pouvoir, les files d’attente pour les autres

«Les policiers du coin ferment les yeux» :

« Nous avons pu manger dans certains d’entre eux où se mêlent à table policiers, magistrats, ou simples fidèles du quartier. »

Ils ont parmi leurs clients des politiques et des hommes d’affaires q

Nous pouvons commander dans ce lieu où le gel et les masques n’ont pas cours

«Aujourd’hui, c’est plein, désolé vous êtes un peu serrés», s’excuse le propriétaire.

C’est peu dire. On s’assoit sur une confortable banquette, mais engoncé entre deux tables espacées d’une vingtaine de centimètres de la nôtre.

 

Immersion dans les restaurants qui ouvrent clandestinement

Malgré l’interdiction liée au Covid-19, à Paris et en banlieue, des restaurants accueillent encore des convives dans leur arrière-salle. Nous avons pu manger dans certains d’entre eux où se mêlent à table policiers, magistrats, ou simples fidèles du quartier.

[…]

https://www.leparisien.fr/paris-75/on-a-teste-ces-restaurants-qui-ouvrent-clandestinement-23-01-2021-8420790.php

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16 Comments

  1. Les politiques ce n’est pas comme nous pour le plaisir mais juste leurs femmes elles ne veulent pas se salir les mains dans la pluche de légume et faire la vaisselle c’est un autre monde.

  2. C’est l’URSS importé sur notre sol! S’ils contractent le COVID, je ne pleurerai pas sur leur sort! Ils ne l’auront pas volé!

  3. Que des restaurants ouvrent clandestinement, c’était à prévoir, pourquoi devraient-ils se laisser ruiner par les ordres délirants venus de la freluquette ?
    Ce qui est moins reluisant, c’est qu’ils soient fréquentés par ceux qui sont censés faire respecter les ordres d’en haut,
    et là, on peut dire que c’est à ça qu’on reconnaît un régime corrompu jusqu’au trognon, les flics et magistrats qui tapent sur le péquin écrasé par les règles et interdictions diverses et variées, se permettent ce qui est interdit aux citoyens ordinaires,
    c’est le royaume de la macronie, l’injustice règne en maitre

  4. Surpris ?
    Même pas… avec les affaires duhamel, bergé, lang etc… ont avait déjà un bon aperçu de leurs vices et fourberies (sex & drugs).
    C’est paris poubelle qui pose problème, une ville a totalement éradiquer avec la merde et nomenklatura (de détraqué(e)s et saloperies en tout genre) qui la compose. Faute de quoi…

  5. qu’ils en profitent bien tous ces enfoirés car le jour ou les gaulois vont les foutre dehors, tous ces hauts fonctionnaires vont regretter de les avoir baiser ….

    • Ca y est , j’ai retrouvé les plans de la guillotine. Mais il me reste à trouver un panier pour les têtes et quelques sacs de sciure de bois. d’près les jardiniers, le sang séché est un trè bon engrais

  6. faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais . Ce que disent toujours les GOUROUS ou DICTATEURS .

  7. Ah oui le deux poids deux mesures pour toutes ces enflures et nous la plebe fermez la et obéissez et surtout ne parlez pas même avec le masque bande de pourris je les hais .

  8. La situation que nous subissons actuellement est un mélange de la Prohibition aux USA et de la société communiste.

    La Prohibition, sorte de dictature sanitaire avant l’heure, est sortie de l’esprit tordu de tarés puritains protestants qui voulaient lutter contre le mal absolu, l’alcool. Le résultat en a été la multiplication des bars clandestins (« speakeasies »), de la fabrication clandestine de l’alcool et de sa contrebande, sources de profits pour la mafia et autres gangsters.

    La vie « sociale » communiste fonctionnait de la même façon que la vie « sociale » française actuelle, et ce depuis ses débuts, en 1917, jusqu’à sa fin, en 1991. Tandis que la nomenklatura avait droit à ses restaurants et lieux de plaisir bien fournis en nourritures et alcools, le citoyen de base devait se taper des heures de queues et faire du marché noir pour améliorer son quotidien. La corruption était incroyable car tous les fonctionnaires se faisaient graisser la patte, les détournements de marchandises étaient monnaie courante et le troc avec les Occidentaux un bonus appréciable.

    Fin août 1979, j’étais lycéen et apprenais le russe en seconde langue. A l’époque, j’habitais au Havre, ville communiste jumelée avec ce qui était Leningrad. Tous les ans, une délégation de lycéens et de membres de la municipalité passaient 15 jours en URSS dans le cadre d’échanges culturels. J’ai donc au l’occasion, malgré la surveillance dont nous faisions l’objet de la part des Soviétiques, de prendre conscience de ce qu’était la vie soviétique. Il serait trop long de détailler ici ce passionnant voyage chez les Soviets, mais j’ai vu les files de Leningradois et Moscovites dans les rues et les hommes en impers de cuir noir du KGB faire le pied de grue à côté de leurs voitures noires. Chaque Soviétique, civil ou militaire, se baladait avec une sacoche ou un cartable, au cas où une vente de rue interviendrait subitement. Il y avait aussi les Beriozki, magasins exclusivement réservés aux touristes…sous les gigantesques affiches de propagande du PCUS qui dénonçaient l’impérialisme bourgeois américain.

    Bref, notre « vie » actuelle a un certain goût de déjà-vu pour moi, et ce flicage oppressant, cette privation de liberté, me rappellent étrangement ce que j’ai vécu et ressenti en URSS.

    Pour être honnête, les restaus clandestins ne sont pas l’apanage de Paris. Là où j’habite, en Provence, il y a des endroits interdits où les locaux qui connaissent peuvent aller…

    Pour ceux qui ne l’ont pas vu, je conseille le film de Jean-Marie Poiré  » Twist again à Moscou », une comédie délirante qui se passe en URSS, avec Clavier, Blier, Jacques François, Noiret, Lamotte et d’autres excellents artistes.

    • Moi aussi, je suis né Havrais, et j’ai connu (un peu plus tôt) ce genre de voyage.
      Le grand sac qui circulait de convive en convive, dans lequel on pouvait prélever une grande boite (d’excellent) caviar, en déposant un billet de 100 FF.

  9. Et après ses pourris nous explique que tout se qu’ils font c’est pour notre bien. Bande d’enf……

  10. Situation normale et acceptée dans toutes les dictatures qu’elles soient de gauche, mondialiste ou musulmane parce qu’elles sont toutes caractérisées par plusieurs classes de justiciables.
    La France championne de « l’enrichissement » par la diversité cumulant gauche, mondialisme et islam, imaginez le futur!

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