Merci à Dominique pour ce bilan, pour ces chiffres implacables… Même en Suisse, où il y a un nombre de lits incroyables, dont un très grand nombre sont restés vides, où il y a bien moins d’hospitalisés et de morts que lors de la première vague, les autorités fédérales agitent le chiffon rouge des interdictions et restrictions… Etrange, non ?
Christine Tasin
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Système de santé suisse confronté au Coronavirus SARS-2
Quelques chiffres
Dis-moi quelle est la main qui te nourrit, je te dirai ce que valent tes discours
En Suisse avec ses 8,57 millions d’habitants, à l’arrivée de la pandémie, un expert a prévu un manque de capacité en lits d’hôpitaux de 4250 lits, ce qui correspond à un manque d’un bon dixième des lits. Contrairement par exemple à la Chine ou au Panama, la Suisse n’a pas construit rapidement plus d’hôpitaux. Pendant la guerre froide nous avions 40 hôpitaux militaires de base de 500 lits chacun, dont une bonne proportion sous-terre. Malgré les efforts destructifs de la gauche il en reste quelques uns! Aucun n’a dû être mobilisé. Cet expert se trompait tout comme celui d’Oxford qui se trompe chaque fois qu’il y a une nouvelle grippe.
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Lorsque le Coronavirus SARS-2 a atteint la Suisse, on savait que le système de santé suisse dispose, comparé à l’italien et au français, de bons et généreux services en termes de dotation en personnel et d’infrastructure:
- 9,5 médecins généralistes et 37,5 lits d’hôpitaux pour 10’000 habitants
- 1,4 million de patients sont traités dans les hôpitaux chaque année en moyenne,
- 3800 patients hospitalisés entrent chaque jour dans un hôpital en Suisse. 200 hospitalisations liées à une pandémie en une journée ne sont donc pas un problème pour le système hospitalier suisse, comme certains veulent le faire croire.
- il y a 1300 places dans les unités de soins intensifs en Suisse. 50 patients Covid-19 peuvent y être aisément admis par jour. Même si ces patients restaient en moyenne dix jours aux soins intensifs, plus de la moitié des lits de soins intensifs resteraient disponibles pour d’autres patients. Le nombre de patients Covid-19 qui ont besoin d’un lit dans une unité de soins intensifs (environ un septième des patient hospitalisé pour Covid-19) ne risquent donc pas d’être un problème pour les hôpitaux.
- 633 places dans les EMS (Etablissement Médico Sociaux) pour 10 000 habitants âgés de 65 ans et plus
- Les EMS peuvent accueilli 90 000 personnes
- 312 000 personnes âgées ayant besoin de soins sont prises en charge à domicile par Spitex.
De plus le comportement de la population suisse n’est pas le même qu’en Italie; en Suisse, plus de la moitié des patients se rendent d’abord chez leur médecin lorsqu’ils tombent malades, pas à l’hôpital. Et la Suisse n’a pas plusieurs centaines de milliers de Chinois originaires de Wuhan comme dans la région de Prato en Italie, dont beaucoup sont allés à Wuhan pour fêter le nouvel-an chinois et ont ramené le virus chinois de Wuhan en Italie.
Ceux qui lisent l’allemand trouveront bien plus de chiffres, de faits et des courbes statistiques vérifiées et illustrations dans le livre CORONA IN DER SCHWEIZ (Covid-19 en Suisse) publié fin 2020 par le Professeur Konstantin Beck et Werner Widmer, deux économistes . On peut le télécharger en PDF gratuitement sur le site https://www.corona-in-der-schweiz.ch/ ou l’acheter broché.
Malgré ces points positifs du système de santé suisse, après avoir modifié la définition de la pandémie, l’OMS déclara et a fait croire aux gouvernants suisses que l’urgence sanitaire était grave même non accompagnée d’un grand nombre de personnes gravement malades et mourantes. Pourtant c’est là le critère médical pertinent de la définition d’une pandémie.
En Suisse, il y a en moyenne 68 000 décès par an, soit une moyenne de 186 par jour, dont 11% entre 40 et 64 ans, 25% entre 65 et 79 ans et 62% entre 80 ans et plus. 37% des décès surviennent dans un hôpital, 44% dans un établissement pour personnes âgées et bien trop peu chez soi. En Suisse, 74% de tous les décès (dus ou associé à la Covid-19) ont concerné des personnes de plus de 80 ans, même à la fin du mois d’octobre 2020. A noter que le risque naturel de décès est toujours plus élevé chez un Suisse de plus de 70 ans que le risque de mourir de Covid-19 s’il est infecté et que la durée moyenne de vie des Suisses est de 82 ans.
Avoir comme objectif de prévenir toute infection lors d’une pandémie est illusoire. Par contre, connaître la proportion de personnes immunisées est crucial. Seule une personne infectée sur une douzaine développe des symptômes de maladie de Covid-19. Au lieu de faire des milliers de tests PCR non diagnostiques et peu fiables n’eût-il pas été plus judicieux de chercher, avant de disposer de vaccins évidemment, qui et combien dans la population ont fabriqué des anticorps contre ce Coronarovirus SARS-2 et pour combien de temps? Nos élus, avec la complicité de leurs experts, ont préféré choisir de terroriser les gens |
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Pratiquement tous les patients décédés de COVID-19 en Suisse souffraient d’autres maladies antérieures et la moyenne d’âge de ces décédés est de 84 ans. Leurs comorbidités peuvent entraîner la mort de ces patients sans que le Coranovirus SARS-2 en soit responsable, mais pour mieux nous terroriser les statistiques comptent tous les décès associés au Coronavirus avec un test PCR positif comme si ils n’étaient dus qu’à ce virus. Pourtant le test PCR n’est pas un test diagnostique de maladie!
84 000 personnes âgées résidant dans les EMS (Les établissements médico-sociaux (EMS) hébergent des personnes âgées nécessitant des soins de longue durée) ont été placées en résidence surveillée pendant des mois. Il est illogique et cruel que la population d’une agglomération entière soit assignée à résidence pendant des mois pour protéger contre un virus les personnes les plus vulnérables dans la dernière phase de leur vie. Dans toute la Suisse, cette interdiction des visites a obligé environ 5000 résidents des maisons de retraite à mourir sans aucun contact avec leurs proches, soi-disant pour les protéger d’un virus! À la lumière du cas assez courant de résidents très âgés qui demandent à leur médecin quand ils seront enfin autorisés à mourir, l’interdiction de visite est une mesure cynique et mortifère pour ces patients très âgés et leurs proches.
Si la deuxième vague dont parle tant les médias était comme la vague du printemps, le système de santé se serait effondré dès l’automne 2020.
Pourquoi ça n’a pas été le cas?
Le virus serait-il plus contagieux et moins dangereux? Plus de gens sont immunisés, le taux d’infection chez les personnes âgées est plus faible qu’au printemps, tout comme le taux de mortalité chez les plus de 80 ans. Comme au printemps ce sont surtout les groupes non menacés de la population qui s’infectent et cela pour leur majorité sans aucun symptôme. En Suisse en 2020, environ deux tiers des personnes « infectées » avaient moins de 50 ans, très peu ont souffert de symptômes. Le taux d’infection chez les personnes âgées est plus faible cet hiver 2021 qu’au printemps 2020 et le taux de mortalité des personnes de plus de 80 ans a chuté de deux tiers.
En conclusion les dernières mesures autoritaires imposées sont disproportionnées.
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En conclusion, la majorité de nos médias et de nos élus nous mentent et cherchent à nous paniquer, à nous terroriser, pour mieux nous manipuler et nous soumettre. Comme l’a écrit David Horowitz : “derrière l’apparence avenante d’un politicien de gauche qui se dit modéré, il y a toujours un totalitaire qui ne demande qu’à jeter le masque”. Cette même vérité s’applique aux musulmans colonisateurs qui nous envahissent.
Heureusement qu’un avocat allemand, Reiner Fuellmich, a compris les fautes des dirigeants et de leurs experts ; il a porté plainte civile l’an passé contre le virologue faux Professeur et faux médecin Christian Drosden de la Charité de Berlin, le grand Coronaexpert de Merkel. Actuellement la priorité pour cet avocat et ses confrères internationaux est de porter plainte contre l’Agence européenne des médicaments responsable de l’approbation des nouveaux « vaccins » qui sont de l’ingénierie génétique. Lui et ses experts sont convaincus qu’ils sont extrêmement dangereux.
En Suisse, Peter Eberhart, Président de DU-Die Unabhängigen (les indépendants) a porté plainte contre Swissmedic (FDA helvétique) pour l’approbation du « vaccin » Pfizer.
Des épidémiologistes des maladies infectieuses et des scientifiques de la santé publique du monde entier gravement préoccupés par les effets néfastes sur la santé physique et mentale des politiques actuelles de COVID-19 recommandent une toute autre approche qu’ils dénomment protection ciblée.
A ce jour seulement 9076 vaillants Français ont signé cette déclaration internationale, pour 141’400 Allemands et 23’963 Suisses.
- Dr. med. Dominique Schwander
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Les chiffres affichés sont le double de la réalité dans les hopitaux les malades du covid sont comptés deux fois et en plus ils ne sont pas malades du covid!C’est l’arnaque du siècle qui est internationale!Tous les élus aux manettes de l’Europe et ailleurs mangent dans le ratelier de Big-Pharma!les vaccins sont plus dangereux que le Covid ,mais de ça l’on s’en serait douté ,comment auraient’ils pu prévoir et mettre en route trois vagues successives sans les vaccins qui contiennent les virus qui ont muté!car un virus peut disparaitre de lui mème et mème si il mute en permanence le rebond est toujours moins dangereux car nombre de personnes ont contracté ce virus ,ne sont plus ni contagieuses ,ni malades!Tous les virologues vous le diront!
Quelqu’un a-t-il enquêté sur les causes de l’engouement de Mr Berset et Mme Sommaruga pour le vaccin? En France on parle de « Conflits d’intérêt » cela existe-t-il aussi en Suisse ? Comment peut-on savoir qui est actionnaire chez Pfizer, par exemple ? Je ne comprends pas pourquoi les gouvernements poussent au vaccin. Vous avez une idée ?
@Anne Lauwaert
C’est comme Twitter… personne n’enquête sur les actionnaires du groupe. Par exemple que la famille princière d’Arabie saoudite est le second actionnaire… Ce qui pourrait expliquer l’islamophilie de Twitter et la chasse aux « populistes » islamophobes.
https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/un-prince-saoudien-deuxieme-actionnaire-de-twitter-07-10-2015-1971470_47.php
Merci Dominique pour cette analyse sans compromis.
L’UDC parti de droite suisse dénonce cette arnaque depuis un certain temps. Puisse-t-il être enfin entendu par les Suisses !
Article très interessant et son analyse pertinente me parait vraie . Je ne suis malheureusement pas étonné . on veut nous effrayer et nous soumettre. Résistons !!