Charles Trenet, le chanteur de la France joyeuse et insouciante

Il y a bientôt 20 ans disparaissait le plus joyeux de nos chanteurs : Charles Trenet (18 mai 1913 – 19 février 2001)

Si nous ne l’entendons plus sur les ondes et ne le voyons plus à la télévision, c’est peut-être parce qu’une certaine France a disparu avec lui. Une France joyeuse, fraternelle, populaire, gouailleuse et insouciante.

La jeunesse et la « diversité » amatrices de rap violent et de techno abrutissante trouveront peut-être ses chansons ringardes et doucereuses.

D’autres, à travers les mélodies poétiques et entêtantes du « Fou chantant », y trouveront sûrement du réconfort, de la nostalgie mais aussi de la joie de vivre pour toute la journée, se rappelant les années 50-60, les copains, les vacances, les pique-niques le long de la nationale 7 (sur une nappe Vichy près de la Renault 4CV), la mer, le Sud…

.

« Douce France » (1943)

.

« Que reste-t-il de nos amours ? » (1942)

.

« La Mer » (1946)

.

« Nationale 7 » (1955)

Et aussi « Y’a d’la joie » (1936), « Je chante » (1937), « Boum ! » (1938), « Le Soleil et la Lune » (1939), « La Romance de Paris » (1941), « Un jardin extraordinaire » (1957)…

 841 total views,  1 views today

image_pdf

39 Commentaires

  1. comment peut-on encore célévrer un pésdophile!!! l’affaire des « ballets roses » (pour les petites filles) et des ballets bleus » (pour les petits garçon,s)??? Tout le monde fait comme s’il ne s’était jamais rien passé, même si cela remonte à près de soixante ans et que maintenant on raconte qu’il a été « blanchi »

    • @Jocelyne Meynier

      Comme pour les autres : vous pouvez citer vos sources, oui OU NON ?

  2. Merci pour l’article, le choix des chansons et merci aussi aux lecteurs pour leurs témoignages.

  3. Ses chansons ont eu le grand mérite d’unir, en deca de la Méditerranée la France et l’Algérie-Francaise en son temps, un de mes instituteurs, en classe de cm1 nous faisait chanter « Douce France », cher pays de mon enfance, alors que nos origines étaient espagnoles, italiennes, maltaises, arabes, juives, etc…..nos « hussards noirs de la République » de l’époque, nous ont fait AIMER LA FRANCE et non la détester comme l’ont fait ces « professeurs des écoles » des années Mitterant, Chirac, Sarko, Hollande et de « Choupinet », comme dit PIERRE.!!! Bonne journée les Amis.

  4. J’ai été bercé par les chansons de Trenet. Quand j’étais petit , ma mère me jouait quelques uns de ses airs sur son piano droit désaccordé, dont « le jardin extraordinaire » qui plaisait aux enfants . Je me rappelle qu’il y avait des partitions et j’avais ainsi appris par cœur les paroles de la « romance de Paris » . C’était léger , et poétique . Il a travaillé avec de grand compositeurs de l’époque comme Paul Misraki et pour des chanteurs de « charme » comme Jean sablon qui a repris « vous qui passez sans me voir » .
    La chanson que je préfère est peut-être « que reste-t-il de nos amour? »
    Son style s’inspirait du jazz par le rythme qu’il imprimait à certaines de ses chansons, à l’instar de Ray Ventura et son orchestre, . C’était l’époque des zazous et du swing inspiré des EU , comme il y a eu celle des yéyés plus tard , une Line Renaud ou un Yves Montand se revendiquaient, eux aussi, de ce mouvement qui avait pris le parti de la joie et de l’espoir, où même les chansons tristes ne tombaient jamais dans le pathos.
    Heureusement qu’il y a avait des chanteurs comme Charles Trenet pour donner de la fantaisie et de la joie et même susciter la danse pour contrebalancer la profonde déprime exprimée par les chanteuses réalistes comme Edith Piaf par exemple ! Même si par ailleurs je reconnais son immense talent!
    Il plaisait à tous les jeunes de l’époque car il donnait le moral et peu de gens lui ont fait grief d’avoir continué à jouer ou chanter pendant une partie de l’occupation, tout comme Maurice Chevalier !
    On lui a longtemps reproché ses penchants qui relevaient plus de l’intimité qu’autre chose .
    Je déteste aussi cette habitude de traiter de collaborateurs, les artistes de cette époque, à part ceux qui ne chantaient que pour un parterre de soldats Allemands !
    Tout cela pour créer un rideau de fumée et ne pas citer les vrais responsables de la débâcle qui ont mené les nazis en quelques semaines dans la capitale .Victimes expiatoires de toute une société tout comme les femmes que l’on tondait sans autres formes de procès
    Je trouve que Gibert Bécaud ou plus tard Jacques Higelin ont appliqué à leur compte l’esprit de liberté et de légèreté poétique associée à la notion de rythme, propre au grand Charles Trenet !

  5. C’était un chanteur, pas un bruiteur. Ses chansons étaient des mélodies pas ces horribles éructations maudissant la France et les Français vomies par des parasites venus d’ailleurs parce que chez eux, les bruits qu’ils produisent seraient accueillis à coups de cailloux !
    Je me permets de rappeler à @ TEMPLIER que
    « …En janvier 1964, Charles Trenet est
    condamné à un an de prison avec sursis et 10 000 francs d’amende. Il
    fait appel du jugement, et sera relaxé… »
    Relaxé en appel donc INNOCENTÉ.
    https://www.laprovence.com/article/edition-aix-pays-daix/5642716/10aout1963-charles-trenet-sort-de-la-prison-daix.html

    • Comme dirait l’autre calomniez calomniez, il en restera toujours quelque chose, même si la personne est totalement innocentée!

  6. Ses chansons ont bercé toute mon enfance et ma jeunesse. J’adore encore les chanter, toute seule en karaoke. Notamment, les mélodies doucement mélancoliques de Douce France – reprise par des rappeurs pour chouiner sur la méchante France – ou Que reste-t-il de nos amours ? ou L’âme des poètes : »Longtemps longtemps… après que les poètes ont disparu », je savoure avec elles la nostalgie de mes jeunes années (ainsi que la chanson éponyme Mes jeunes années). Ses chansons contrairement à ce que l’on peut penser de prime abord ne décrivent pas toujours une réalité idyllique, parfois au contraire, elles peuvent être cruelles comme Je chante, où le jeune chanteur se suicide à force de souffrir autant de l’indifférence que de la faim qui « le poursuit » ou « tourmente son appétit », et il ne dort sur « la mousse des bois » que par obligation faisant de nécessité vertu et non pas par simple goût candide pour la poésie parmi « les elfes des bois ».
    Je chante encore aussi volontiers La romance de Paris « au coin des rues elle fleurit Ca fait au coeur des amoureux, un peu de rêve et de ciel bleu, ce doux refrain de nos faubourgs parlent si gentiment d’amour… » aux paroles qui évoquent la dure vie de nos anciens jusqu’en gros la fin des années 50. Une autre me revient en mémoire : « je’m’ souviens d’un coin de rue, aujourd’hui disparu, mon enfance errait par là, je’m’ souviens de cela… ».
    Il y a la veine plus connue, pleine d’insouciance et de gaieté un peu échevelée incluant : Boum, « quand votre coeur boum, le monde entier fait boum  » ou C’est un jardin extraordinaire, Y a d’la joie (bonjour bonjour les hirondelles, y a d’la joie dans le ciel par dessus les toits… »
    Je suis allée l’écouter à l’Olympia quand il a fait sa tournée pour ses 60 ans dans les années 70. J’avais perdu le premier billet – dans ma prime jeunesse j’oubliais au moins une fois par an mon sac dans le métro avec évidemment tout son contenu dont les pièces d’identité ! Mais sans crainte car pour refaire sa CNI dans Paris intra-muros c’était l’affaire d’une journée !
    Donc je rachète un deuxième billet et j’assiste à son récital. Il se tenait sobrement dans la lumière d’un projecteur avec son chapeau sur la tête, sa voix restait celle de sa jeunesse et il ne manquait pas d’exorbiter ses yeux pour mimer une certaine ivresse que donnent les rêves un peu « fous ».
    Il avait la réputation de participer à des ballets bleus. Son homosexualité étant gardée toutefois dans son milieu artistique comme un secret de polichinelle et considérée comme une sorte de licence artistique.
    Je l’ai adoré jusqu’à près de 40 ans ! Puis un jour, ma ferveur se transféra sur Gainsbourg en pleine période Gainsbarre ! L’expérience de la vie m’avait forcé à quitter le monde « à jamais disparu » de mon enfance pour entrer dans celui plus amer et fiévreux de l’âge mûr.

    https://www.youtube.com/watch?v=1hfCVJUXHRs (l’ âme des poètes)
    La romance de Paris : https://www.youtube.com/watch?v=flOL60N4mk0
    Mes jeunes années https://www.youtube.com/watch?v=eB7HI2n0MgY
    le jardin extraordinaire https://www.youtube.com/watch?v=Z7H57p1HNbY

    • Merci Anne-Marie pour ce beau témoignage ! Je connais la plupart de ses chansons par cœur, tant elles ont bercé mon enfance. Mon père a côtoyé Charles Trenet pendant deux ans, alors qu’ils étaient tous deux en service militaire à la base aérienne de Villacoublay, en 1938-1940. Charles était alors totalement inconnu. Mon père n’a jamais vraiment su à quel sexe porter sa préférance… J’ai retrouvé une lettre que Charles Trenet lui avait adressée par la suite, devenu célèbre, dans laquelle il écrivait : « Mon petit Pierre, j’ai toujours ta main dans la mienne »… Allusion évidente à sa chanson « J’ai ta main dans la mienne, et les yeux dans les yeux… »
      Dans son journal Pierre, mon père, a noté que Charles passait la moitié de son temps aux arrêts, incapable de se plier à la discipline militaire… Il jouait du piano d’une façon très originale.
      Ce qui m’émerveille dans les chansons de Charles Trenet c’est son inventivité, ces enchaînements inattendus, surréalistes et cocasses, comme dans « Le Serpent python » ou « Mam’zelle Clio » par exemple…
      J’en ai toute une collection en 78 tours de l’époque… qui servirons sans doute de pigeons d’argile à la jeune génération après ma mort.

      • Très intéressant !

        Merci à vous pour ce commentaire. Mais aussi à Claise (cela dit, le but d’un homme n’est pas d’atteindre « la perfection dans sa vie privée »), Sylvestre89, Anne-Marie G, Romulus, Dorylée et bm77 !

      • Merci également à vous ! j’ai oublié une chanson à laquelle je suis restée « fidèle » : Fidèle. Je ne manque pas de la chanter régulièrement, les paroles de la fin sont très tristes, mais résonnent tellement avec la période que nous vivons.
        « Quand tout change et s’en va sans regrets
        Quand on est seul debout sur la passerelle
        Devant tel ou tel monde qui disparaît
        Quand on regarde tous les bateaux qui sombrent
        Emportant les choses qu’on espérait
        Quand on sait bien que l’on n’est plus qu’une ombre
        Fidèle à d’autres ombres à jamais. »
        Sauf que nous, c’est un processus programmé de destruction mais le grand Charles était un grand sensible qui savait la tromper avec en effet comme vous dites une fantaisie fantasque qui a grisé ma jeunesse, comme une drogue douce !

  7. Les paroles de la MER son plus grand succès sont complètement insipides et incohérentes… mais la poésie est là ! Avec son art de faire rêver… ce qui voudrait dire bien entendu que le RAP cette merde des racailles ne fait pas rêver mais gerber !

    • Sauf erreur, il aurait dit qu’il l’avait composée en un quart d’heure sur un coin de table.
      Et alors ?
      c’était le moment où les Français commençaient à profiter de leur travail, de leurs vacances.
      Les trente glorieuses. 🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷

  8. Je fus nourri à la Chanson Française et en saurais toujours gré à mes parents. J’ai redécouvert Charles TRENET il y a une quinzaine d’années: je le place au Panthéon. Savez vous qu’il s’était essayé, en plus du jazz qu’il a su habilement marier avec la langue française, au blues avec ce magnifique morceau: « le blues du corsaire ». En sus, toujours à la fin de sa vie, et une longévité aussi créatrice crée l’admiration, il commettait ce petit-chef d’oeuvre à la gloire des artistes: « le peintre perdu ». Bonne écoute!
    https://youtu.be/cQKVDwj5hU0
    https://youtu.be/lr_xUJWNHpM

  9. Maintenant avec quelques années de plus, j’adore Charles Trénet. Il m’arrive souvent d’écouter le soir tard (au lit) Douce France. Tout est dit dans cette chanson, c’est la France de mon enfance. NOTRE FRANCE ! La FRANCE QUE J’AIME !

    • Oui et c’était un poète , ses chansons c’était lui, c’était la France , cette vraie France qu’une armée de cloportes puantes , débiles et vociférantes essaie de détruire avec des saloperies infâmes qu’ils débitent avec haine et hurlements hystériques .
      il était homo ? et puis quoi ? Il y en a beaucoup d’autres parmi les galonnés d’une certaine académie qui ont refusé de lui offrir un siège qu’il méritait bien , lui qui aimait la poésie , la nature , la France , la langue française , aussi bien que quelques cocus pistonnés qui dissimulent leurs cornes sous leur bicorne et siègent , célèbres inconnus dans une académie qui laisse déjà filtrer les menaces même pas dissimulées , d’un remaniement infâme et débile de cette langue française qu’ils devraient , au contraire , défendre ! car ils sont payés pour ça ! non ?

      • Oui, merveilleux poète ! Vraiment, aujourd’hui je l’adore ! Et il n’a pas été récompensé à sa juste valeur !

  10. A côté de ses chansons, ne pas oublier qu’il a été pris dans une affaire de ballets roses (il aimait beaucoup les jeunes enfants), et a été sauvé par un certain Mitterand.

    • Mais vous les sortez d’où ces histoires de « ballets roses » ?

      Comme l’écrit Christine, on parle de musique ici, pas de son homosexualité.

      Sinon, il faudrait en condamner des chanteurs, des peintres et des écrivains !

      • il s’agit de pedophilie, pas d’homosexualité.
        Vous avez le droit d’aimer les gens que vous voulez … si ça passe entre adultes consentants.
        Les enfants, on ne touche pas … sauf les adeptes de l’Islam, et les gauchos bien pensants.
        informez vous avant de déifier vos idoles !

        • @Filouthai

          1 : je n’ai pas d’idole et je ne déifie personne
          2 : je rends hommage ici à un chanteur, à son œuvre et à une époque
          3 : si vous êtes mieux informé, merci de citer vos sources (sérieuses)

          • Par ailleurs, Filouthai, il faut le chanter sur quel ton que l’on ne fait pas d’amalgame ici entre le chanteur et la vie privée ? Il n’y a aucune source sérieuse parlant de pédophilie chez Trénet, il faut arrêter de faire des procès de Moscou et de mélanger oeuvre et vie privée. C’est insupportable cette fixation de gauchistes sur la vie privée des artistes qui devrait empêcher d’apprécier leur oeuvre, c’est ce genre de raisonnement qui mène à déboulonner les statues de Colbert, de Christophe Colomb et Lincoln, au lieu de construire notre histoire, notre culture, on cherche à piétiner, à lyncher… celui qui est au-dessus des autres pour son oeuvre. Quand c’est mérité c’est à la justice de le faire pour les politiques comme pour les artistes mais on ne va pas brûler les oeuvres de Gide à cause de sa vie privée non ? Si ?????

  11. Pas du tout à mon gout ! Ni le lascar, ni ses chansons… Rien quoi ! Mais comme disait l’autre  » Si t’aim’ pas, n’en dégoute pas les autr’ ! »

    • C’est ton droit, Paco, bien sûr !

      Moi-même, étant jeune, Charles Trenet m’énervait. Mais je suis comme lolotte de Modigliani (commentaire plus bas), avec le temps, j’aime bien l’écouter pour le côté nostalgique.

  12. Ouais, douce France c’était il y a longtemps. Avant l’arrivé des Chances pour la France.
    Maintenant ça serait plutôt, aux armes citoyens.

  13. c est aussi un type impliqué dans des histoires de pédophilie..j ai jamais pu blairer ces yeux globuleux!!!!

    • Oui vous avez raison. Il y a eu l’histoire des ballets roses, j’étais encore petite quand on en a parlé et je me demandais à mon niveau ce que voulait dire ballets roses.Voyons le côté artiste – regardez ce qui se passe en ce moment avec Olivier Duhamel …

    • N’importe quoi, la seule affaire de « pédophilie » dans laquelle il ait été impliqué c’est une plainte parce qu’il côtoyait 2 mineurs de 20 ans ! alors que la majorité était à 21 ans alors !!!! Nulle part il n’est question de ballet rose, il était homo, et alors ? On s’en fout. Par ailleurs je répète que nous ne sommes pas des gauchistes nous jugeons l’artiste pour son oeuvre pour la beauté, le bonheur qu’il a apporté;.. on se fout de sa vie privée. Ya de la joie ! merde !

      • Bravo Christine d’avoir la clarté d’esprit de ne pas mélanger l’oeuvre et la vie privée car pratiquement AUCUN homme n’est arrivé à la perfection dans sa vie privée… ( avec le tabou absolu de l’amour au masculin ). Seules les femmes y parviennent par leur dévouement à leurs enfants sortis directement de leur chair… elles seules sont en phase avec la nature qui les récompensent par des montées hormonales qui permettent d’accéder au bonheur… CELINE cet exemple extraordinaire avait une vie de merde… sans parler des faux humanistes gauchistes qui ne sont que des prédateurs. En plus il est bon de rappeler qu’a cette époque on allait en prison pour des relations avec un mineur de 21 ans moins trois mois… juste parce que des parents homophobes refusaient d’admettre que leur fils est homo. Il existe un font d’homophonie qui n’est qu’un manque d’intelligence qui pollue la façon idéale de voir un futur juste et harmonieux dans une société apaisée dominée par l’amour et l’empathie et non la haine et le jugement péremptoire… par des gens cent fois plus pourris qui ont une vie de merde. Cette paresse intellectuelle conduit à une méconnaissance terrible qui se remet l’amalgame odieux entre pédophilie qui est une pure saloperie (manipulation d’enfant impubère et bébés ) et l’homosexualité qui dérape avec la limite d’âge qui n’est que de l’éphébophilie… Mais la médiocrité sexuelle mixée à la paresse intellectuelle et surtout la naïveté d’une vie médiocre sans expérience permet à des journalistes boutoneux d’affirmer des condamnations sadiques juste pour le plaisir de salir une réussite… qui fait de l’ombre à leur médiocrité !
        L’erreur des politiques c’est de prendre parti pour la sexualité alors qu’elle ne regarde que la sphère privée… même si chez les homos il existe un maximum de connards genre LGBT, bien des homos ont prouvé qu’ils avaient plus de couilles que les soi disant hétérosexuels… De Gaulle serait gêné d’apprendre que Jean Moulin était PD ! … et bien d’autres !

      • Tant qu’il n’agressait pas des enfants, son comportement relève de la vie privée (PRIVÉE).

      • Bien répondu ! Avec mon mari, après avoir ingurgité les horreurs de la journée et après les avoir régurgitées rapidement, nous écoutons Charles Trénet au lit. Un pur bonheur !

      • Il est vrai qu’on se tamponne de ce qu’ils font de leurs outils, et s’ils jouent au « petit train » mais, maintenant, c’est une gloire… avec décoration à l’appui.
        Même si je n’appréciais pas le chanteur, il faut reconnaître le talent..

    • J’ai lu les articles à l’époque, malgré les histoires sordides auxquelles on a voulu mêler Charles Trenet, rien a pu être retenu contre lui. Le regard farfelu qu’il se donnait, l’avait fait surnommer le chanteur fou, c’était un rêveur, pas un prédateur.

      • Son talent demeure. Point.
        Pour ce qui est de sa vie privée, aussi longtemps qu’elle demeure dans le cadre légal – de l’époque – cela ne me regarde pas.

    • exactement….oui et peut-être si les enquêtes avaient abouti pire que Duhamel!!

  14. Ses chansons étaient un véritable hymne à la joie, Un vrai bonheur d’écouter ce poète qui m’a enchantée pendant des années. Merci Charles- envoies nous un peu de joie d’où tu es, car la terre est en pleurs.

Les commentaires sont fermés.