Photo illustrant l’article du Point : pour le système médiatique subventionné, les Gilets jaunes symbolisent le « néo-populisme ultradroitier » !
A peine les manifestants évacués du Capitole, les médias français se sont empressés hier de s’adonner à leur sport favori : casser du Trump et vilipender ses partisans, forcément des séditieux, des bas-du-front, des sanguinaires prêts à faire replonger l’Amérique dans la guerre civile.
Très discrets voire compréhensifs face aux émeutes de racailles racisées ou à la violence des gauchistes Black Bloc-antifas, ils n’ont pas de mots assez durs pour vomir les patriotes américains.
« Invasion du Capitole : Trump et l’ultime coup «sauvage» de l’incendiaire du chaos » (Libération)
« Trump reste le président du chaos, celui qui a prospéré sur la violence, les clivages, les divisions » (Le Monde)
« Donald Trump a mené la sédition. Il devrait être destitué puis jugé » (L’Obs)
Jeudi, le Point faisait de même (« Capitole envahi par des pro-Trump : « Ça peut tourner à la guerre civile ») mais en publiant opportunément, en plus, un article sur « l’ultradroite, prête à allumer la mèche » avec, pour illustration… un gilet jaune en béret basque, portant le drapeau français.
Associer ces articles et ces photos sur les manifestants pro-Trump et les GJ avec les mots « ultradroite », « mouvement identitaire », « mèche », « guerre civile », « antisémitisme » n’est pas innocent. Ainsi Pour le « grand reporter » du Parisien Jean-Michel Décugis, « l’écrivaine » Pauline Guéna et le journaliste du Point Marc Leplongeon, il existe pire que l’extrême-gauche et l’islam radicalisés : la « fachosphère » !
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Et malgré les attentats liés aux groupuscules gauchistes et islamistes depuis 50 ans, les milliers de morts et de blessés, les innombrables actes de vandalisme antichrétiens, l’islamisation et l’ensauvagement de la société, le vrai danger pour eux réside dans « l’ultradroite ».
Paradoxalement, Le Point avoue que ce danger reste secondaire par rapport au terrorisme islamique (ben oui, combien d’imams assassinés, combien de mosquées brûlées, combien de pogroms anti-musulmans ?) et que les plus extrémistes (tels ces déséquilibrés projetant des attentats aux lardons ou ces tireurs à l’arc survivalistes…) s’avèrent peu nombreux.
Mais alors pourquoi mettre tout le monde dans le même panier de « l’ultradroite prête à allumer la mèche » (de la guerre civile) : les skinheads (plus rares que les punks à chiens), le doux Renaud Camus (celui qu’il faut exécuter pour son concept de « Grand remplacement »), les antisémites soral-dieudonnéens (pourtant adorés par nombre de musulmans), les cathos de la Manif pour Tous, les royalistes de l’Action française et – c’est la catégorie apparemment la plus dangereuse – les « néopopulistes » Génération identitaire – Gilets jaunes – ultrajaunes – antivaccins – antimigrants – « chrétiens radicaux » et « cathos de l’Ouest » ?
Brrrr…. tout cela fait terriblement peur et le harcèlement contre Mila ou la décapitation de Samuel Paty paraissent peu de choses face « au programme de ces sinistres colonies : bûcheronnage et sport intensif pour les garçons, cuisine pour les filles et, pour tous, causerie négationniste, le soir au coin du feu ».
Un discours abracadabrantesque qui n’effraiera que la gauche fantasmant depuis des lustres sur les heures les plus sombres de l’histoire de l’humanité. Tout en ne décillant jamais les yeux sur l’horreur islamique qu’ils auront contribué à propager.
L’ultradroite prête à « allumer la mèche »
Le mouvement identitaire se prépare à une confrontation violente. « La Poudrière », livre enquête édifiant sur la « fachosphère », sonne l’alarme.
Par Nicolas Bastuck
Radicalisation, loups solitaires, fichés S, association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste… Si elles font immédiatement penser à l’islamisme radical, ces formules inquiétantes s’appliquent aussi aux groupuscules de l’ultradroite.
Dans un livre au titre évocateur (La Poudrière, Grasset), Jean-Michel Décugis, grand reporteur au Parisien, l’écrivain Pauline Guéna et notre collègue du Point Marc Leplongeon tirent la sonnette d’alarme : la « fachosphère », dont ils proposent une radioscopie documentée, attend son heure pour en découdre ; le moment où les mouvements identitaires vont convertir leur doctrine vénéneuse en actions violentes est peut-être proche.
Plusieurs mouvements sont déjà passés à l’acte mais, jusqu’ici, leurs plans ont été déjoués…
Un puzzle éclaté.
Dans une interview au Monde datée du 28 décembre, le chercheur Jean-Yves Camus, spécialiste des radicalités politiques (Fondation Jean-Jaurès), considère que la menace que fait courir l’extrême droite à la France reste « secondaire », comparée aux 263 victimes du terrorisme islamiste répertoriées depuis 2012. Le nombre de militants se réclamant de la droite radicale stagne : autour de 3 000, selon les services de renseignements, soit dix fois moins qu’en Allemagne…
Les mouvements identitaires français restent très divisés, éclatés façon puzzle entre ultranationalistes, révisionnistes, catholiques intégristes, « gabberskins » (les rejetons des skinheads auxquels les auteurs consacrent un chapitre édifiant) et autres survivalistes…
À chaque groupuscule ses symboles (sanglier, soleil noir, croix celtique…), son uniforme (blouson Stone Island ou jupe plissée), son sombre folklore. Leur doctrine est faite de bric et de broc même si la haine de l’Autre, le juif en particulier, finit toujours par les rassembler. Le « grand remplacement » théorisé par Renaud Camus, que les auteurs sont allés rencontrer dans son château de Plieux (Gers), est leur nouveau mantra.
On aurait tort, pour autant – et c’est la thèse du livre – de ne pas se méfier de cette nébuleuse haineuse, dont le faible nombre ne reflète pas l’influence, comme l’a relevé la Direction générale de la sécurité intérieure dans une note récente.
« Une nouvelle catégorie [de l’ultradroite], plus dangereuse, est apparue : les néopopulistes, dont la menace est sous-évaluée et qui veulent passer à l’action », mettent en garde les renseignements.
En 2015, déjà, deux chercheuses alertaient le pouvoir après la vague d’attentats qui venait d’endeuiller le pays ; elles pointaient des « tendances sécessionnistes extrêmement fortes » et « un risque de désintégration du lien national ».
La République a tenu, mais les actes de violences commis par l’extrême droite ont triplé depuis 2012, autour de plusieurs moments clés : la Manif pour tous (2013) ; l’onde de choc des attentats (2015) et la loi Travail (2016). Dernier catalyseur en date : le mouvement des Gilets jaunes.
Le 1 er décembre 2019, jour de la « prise » de l’Arc de triomphe, des jeunes ultras se réclamant des Zouaves de Paris ou du Bastion social (le « i » est de trop) affrontent les forces de l’ordre et les antifas (antifascistes).
[Qui peut assurer que « l’ultradroite » aurait vandalisé l’Arc de triomphe ? – NDA]
Mais à Bordeaux, des appels à la « convergence des luttes » entre « ultra-jaunes » et black blocs crépitent sur des boucles de la messagerie Telegram. Des antisémites notoires (l’écrivain négationniste Hervé Ryssen, Dieudonné, Alain Soral…) se fondent en jaune dans les cortèges. « Il y avait là, dans l’effervescence des débuts, le potentiel d’une véritable révolution », semble regretter François Bel-Ker, secrétaire général de l’Action française, interrogé par les auteurs.
Antivaccins et conspirationnistes.
Puis l’épidémie est arrivée, chaudron idéal pour le « bouillon de culture de l’ultradroite ». Antivaccins et conspirationnistes de tout poil s’emploient à présent à fédérer les colères.
« Les mouvances contestataires radicales espèrent tirer profit de la crise sanitaire, comme elles l’avaient fait avec les Gilets jaunes », s’inquiètent les RG, qui craignent une « convergence des colères, comme on l’a vu en Allemagne où militants des deux extrêmes ont défilé côte à côte contre les restrictions imposées par le virus ».
Les auteurs ont recueilli dans les Ardennes le témoignage d’un ultra-jaune, qui leur a dit attendre « le bon moment » pour prendre les armes.
Ils ont suivi des jeunes militants de Génération identitaire ou du Bastion social, partis s’aguerrir dans le Donbass, aux côtés des combattants des Républiques séparatistes de Lougansk et de Donetsk – d’autres ont rejoint le Haut-Karabakh, d’autres encore l’île de Lesbos où, armés de bâtons, ils repoussent vers la mer les esquifs des réfugiés.
Ils ont voulu voir Angers, creuset d’un radicalisme chrétien de plus en plus vivace, notamment dans les écoles et à la « Catho » de l’Ouest. Ils ont disséqué la mécanique infernale du « doxing » et du harcèlement en ligne, pratiqué par quelques ultras geeks.
Endoctrinement.
Ils racontent encore les camps d’été de Jeune Nation, émanation de l’Œuvre française, animés par l’ex-FN Yvan Benedetti, exclu du parti par Marine Le Pen après s’être déclaré « antisioniste, antisémite et antijuif ».
Au programme de ces sinistres colonies : bûcheronnage et sport intensif pour les garçons, cuisine pour les filles et, pour tous, causerie négationniste, le soir au coin du feu.
Pas de doute, l’ultradroite est de retour, la dissidence s’organise. « Face à une société à vif, il ne reste plus qu’à allumer la mèche », préviennent les auteurs de La Poudrière. Leur enquête sonne comme un ultime avertissement : le feu couve et le fond de l’air est hautement inflammable§
* La Poudrière, de Jean-Michel Décugis, Pauline Guéna et Marc Leplongeon (Grasset).
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quand on a peur de son chien qu’on a pas toujours bien traité, on dit qu’il a la rage et qu’il faut s’en débarrasser………la peur commencerait elle à changer de camp ?????
pour ma part,plus d’empathie ni de pitié……
Un véritable pot-pourri qui ramasse des brindilles en espérant allumer un incendie !! Peuhhh !
Ces antifas-black, etc… ils ont tous le bras tendu pour saluer qui ? Hitler ? Quelle est l’idole de ces enragés, à part la démolition de celle qui les a acceptés : la France.
Des mules qui ne voient même pas l’aiguillon qui les fait brailler ou se taire.
On pourrait créer des T-shirt avec l’inscription : ADA-MALI pour répondre au T-shirt de la menteuse sur la photo de gauche, celle qui est chocolat au lait (sans sucre).
propagande Luciférienne des pédo-satanistes Mondialistes et immigrationnistes
destructeurs de l’intérieur et fossoyeurs de la France
et dont A. Bauer le Grd Mage Noir du GODF et éminence grise des gouvernants étatiques
ainsi que O. Duhamel le Grd Gourou de secte satanique et étatique « le Siècle »
ont sont les principaux vecteurs instigateurs et propagandistes !
réunissons nous en communauté comme les muzz ou les blacks. en effet nosu serons plus puissants
la creation de clans serait une reponse en effet car la police auras autre choses a faire qu a proteger nos familles surtout que eux meme ont des familles a proteger en prioritè,donc oui faut le faire!!contacte par l intermediaire de RR!! MERCI CHRISTINE DE FAIRE LE RELAI,ONT DOIT EN DISCUTER!!!
Denis il me faut une vraie adresse mail pour vous contacter, merci de me laisser un message sur contact@resistancerepublicaine.com
je veux bien récupérer les invendus ou les bouquins jetés par les déçus de sa lecture pour faire du feu dans ma cheminée ! et quelques feuilles aux toilettes pour les jours de pénurie.
Je ne sais pas si ce bouquin aura du succés. Ou alors pour frissonner le soir au coin du feu dans les chaumières, comme une nouvelle histoire de retour des loup-garous ou des morts-vivants, en faisant semblant d’y croire.
Une histoire à dormir debout concoctée par deux journaleux zélés, qui d’ores et déjà est assurée de sa promotion médiatique. Ils auraient pu sous-titrer leur oeuvre : les enfants de Dupont-la-joie.
Plus que jamais, pour contrer cette stigmatisation du patriotisme qui obsède les mondialistes et leurs larbins zélés journaleux, il faudrait qu’en réponse, les patriotes se constituent en communauté revendiquant sa culture, son histoire et la mémoire de ses ancêtres. Au nom de quoi cela pourrait être interdit puisque les autres communautés ont le droit de le faire ? Si les Noirs, les Arabes peuvent être considérés comme formant des communautés légitimes, pourquoi cette possibilité nous serait interdite ? Parce que nous serions la majorité ? Mais je suis sûre qu’il y a moyen de faire valoir ce droit au point de vue juridique. Une telle communauté – qui pourrait s’intituler CRAB, communauté rassemblant les associations blanches ou CRAE – défendrait les droits des autochtones européens qui de plus en plus se voient lésés de leurs droits au prétexte qu’ils sont majoritaires et qui de fait sont traités comme les anciennes minorités de jadis avec en plus les parti-pris judiciaires, médiatiques et politiques.
Une telle communauté pourrait répertorier toutes ces atteintes aux droits sous couvert de « lutte contre le privilège blanc » pour le battre en brèche avec études à l’appui (comme aux USA où le privilège blanc est démentie par des études qui montrent que le travailleur blanc masculin perçoit un salaire inférieur à celui perçu par une femme de la diversité).
Avant tout, pour qu’une telle communauté puisse se constituer, il faut mettre en avant sa fonction principale qui serait la formation d’un réseau de soutien et de solidarité en tant que victimes de discriminations injustes, aussi bien dans les services publics – la police et la gendarmerie par exemple ne donnent jamais suite à des plaintes portant sur des litiges ou carrément des menaces quand le plaignant est blanc et que ses adversaires sont diversitaires, ce qui ne fait qu’accroître le sentiment d’insécurité.
Evidemment, je n’ignore pas que ces réseaux d’entraide et de soutien ont été déjà ébauchés sans trop de succès, souvent de façon presque clandestine car sous surveillance étroite des RG. Et que cela ne prend pas l’ampleur qui serait souhaitée. Je suis certaine même que RR doit être considérée comme faisant partie de ces mouvements prétendument radicaux près à faire exploser la prétendue « poudrière ».
C’est pourquoi j’observe avec admiration l’action de Philippot qui certes ne veut pas constituer une telle association mais dont l’objectif final est le même : sauver notre culture, notre patrimoine historique, notre identité. Il en va de même pour la jeune Marion qui me semble avoir toute la finesse requise pour tenir les rènes, le réseau des adhérents du RN pouvant constituer une base.
Bonjour,
Peut être connaissez vous le blog « TERRE AUTOCHTONE » d’Antonin Campana?