Après ses propos sur Orban, les Hongrois remettent George Clooney à sa place

Le torchon brûle entre la Hongrie et George Clooney : réponse carabinée d’un Hongrois dans une lettre…

Illustration : 

L’acteur George Clooney est toujours « du bon côté ». En « défenseur » du Bien, il soutient  le criminel  George Floyd « Il ne fait aucun doute que George Floyd a été assassiné », a déclaré George Clooney.

« Nous avons besoin de décideurs et de politiciens qui reflètent l’équité de base pour tous leurs citoyens de manière égale. Pas des dirigeants [Donald Trump] qui attisent la haine et la violence comme si l’idée de tirer sur des pillards pouvait être autre chose qu’un coup de sifflet racial ».

« Il n’y a qu’une seule façon dans ce pays d’apporter un changement durable: voter [Biden]», a-t-il conclu (source).

Au départ, Clooney s’en est pris  à la Hongrie lors de la présentation d’un film

Budapest tire à boulets rouges sur George Clooney. Le gouvernement hongrois de Viktor Orban n’a pas apprécié une interview de l’acteur américain accordée à GQ. George Clooney y présente son nouveau film Minuit dans l’univers et durant l’entretien, le comédien a dénoncé la colère et la haine dans certains pays du monde, avant de citer la Hongrie en exemple. 

Depuis cette interview dans la presse américaine, la télévision publique hongroise se déchaine contre la star holywoodienne. « George Clooney est un grand ami de George Soros et de son fils », peut-on entendre dans le journal de la première chaîne. Selon un expert, « la stratégie de Soros est de se servir de l’acteur américain pour attaquer la Hongrie, parce qu’elle refuse d’accueillir des migrants illégaux. » 

 Le ministre des Affaires étrangères hongrois a reproché, le 24 novembre, à l’acteur américain une connaissance trop «limitée» selon lui, de l’histoire et de la politique, après que l’acteur américain a décrit le Premier ministre de droite souverainiste Viktor Orban comme un exemple de «haine et de colère» dans le monde.

«Nous aimons l’acteur George Clooney… (mais sa) connaissance de l’histoire et de la politique semble assez limitée», a écrit le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjarto sur sa page Facebook.

Des membres du gouvernement hongrois avaient auparavant accusé l’acteur d’être une marionnette aux mains du milliardaire et mécène américain d’origine hongroise George Soros, bête noire de Viktor Orban qui l’accuse de comploter contre son gouvernement par le biais d’ONG qu’il finance, et d’encourager l’immigration.

«Soros profite de chaque possibilité d’attaquer le gouvernement hongrois. Il est frustrant qu’il y ait des acteurs (..) qui portent ainsi le combat de Soros», a déclaré Ors Farkas, un porte-parole du gouvernement.

 «Nous n’étions pas en pleine pandémie quand (le film a été tourné), mais il y avait toutes ces autres choses, à quel degré de haine et de colère nous étions tous confrontés à ce moment de l’histoire, partout dans le monde – de Bolsonaro au Brésil à Orban en Hongrie, regardez, il y a beaucoup de colère et de haine», avait exactement déclaré George Clooney.

« Clooney est un bon acteur, mais il n’a rien d’un oracle politique. Je suis sûr qu’il ne sait même pas où est la Hongrie », a commenté Tamas Menczer, secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères du gouvernement hongrois.

Voir aussi : Figaro Live « On ne peut pas dire que Viktor Orbán s’attaque aux libertés fondamentales »

George Clooney et les grands de ce monde, au sommet de Davos en 2017 :

Avec Biden

Avec Lagarde

A gauche : Klaus Schwab, fondateur du Forum de Davos et auteur du  «Great Reset», une mise au pas des populations dans une ère post-covid. 

Réponse d’un Hongrois  qui lui met le nez dans… la réalité de sa chère Amérique..

Monsieur Clooney!

 Vous conviendrez  évidemment que j’omette ici vos titres  honorifiques …

 Tout ce que je peux noter, c’est que même si vous êtes un excellent acteur et un beau garçon hollywoodien, il vous manque en quelque sorte le petit plus qui est absolument nécessaire à la véritable immortalité.

Ne vous méprenez pas, je passe un bon moment avec touts les épisodes  d’ Ocean’s Eleven, j’adorerais regarder votre emblématique – quoique un peu ridicule aujourd’hui –    Une nuit en enfer, évidemment je n’oublierai pas le Dr Ross d’Urgences, et ajoutons qu’un ami de longue date est votre voix hongroise – donc, je vous aime fondamentalement en tant qu’acteur.

Vous pouvez avoir fière allure de haut en bas, avec un sourire si faux. Mais regardons les choses en face: tout comme l’autre beau garçon hollywoodien, Brad Pitt, qui vient de mettre sur la table un « Once Upon a Time… In Hollywood » vous n’avez pas ce niveau de performance d’acteur.

C’est tout à propos de ça. Passons aux choses sérieuses

 Vous avez réfléchi sur la haine qui a inondé le monde, l’autre jour à propos de votre dernier film, et vous avez cité Viktor Orbán comme exemple de cette haine.

«Il suffit de penser à Orban en Hongrie», dites-vous dans une interview inquiétante sur la haine.

 Premièrement, nous supposons que vous avez vraiment donné votre propre  opinion des choses

Alors,  monsieur Clooney, n’avez-vous pas regardé autour de vous depuis environ un an dans votre propre pays ?

Je veux dire, à propos de la haine? Vous n’avez vraiment pas remarqué ce qui se passait aux États-Unis ?

Vous n’avez même pas remarqué que votre patrie était au bord de la guerre civile?

 Sinon, je résumerai pour vous: regardez ce qui se passe dans votre patrie – si toutefois le mot patrie ne viole pas votre sensibilité et le politiquement correct-  si c’est le cas, je m’en excuse.

Dans votre pays, donc, au printemps, un homme important est mort lors d’une opération de police. Un criminel noir, un voleur, un rat brutal mais lâche,  qui attaquait des femmes enceintes avec une arme à feu. Il avait avalé plein de drogue, il a résisté, ils se sont agenouillés sur son cou (un protocole commun – l’autre jour en Allemagne la police allemande s’est agenouillé sur le cou d’un député de l’AfD, sans que cela vous émeuve, mais bon, peu importe), c’est l’histoire.

Mais à partir de ce criminel noir,  un grand héros national a soudain  été fabriqué par les médias et la politique du «Politiquement Correct» (c’est-à-dire les méchants les plus sombres), et toutes sortes d’épaves humaines et de foules se sont répandues dans les rues pour faire une «révolution».

La bannière est celle des  BLM et des Antifas. Et la «révolution» est, en fait: le déboulonnage des statues,  le vol libre, le pillage, le bouleversement, le lynchage.

 Cela se passe dans votre pays aujourd’hui.

 N’avez-vous pas remarqué la haine globale qui dure depuis  près d’un an chez vous ?

N’avez-vous  pas vu des masses de gens marcher dans la rue, une saleté qui pourrait difficilement être qualifiée d’humaine, car cette foule a pillé, volé, incendié et attaqué quiconque était censé ne pas être d’accord?

 S’il y a un endroit sur terre aujourd’hui où tout est submergé de haine, c’est bien votre patrie, les États-Unis.

Là où les gangs noirs attaquent les Blancs dans les rues, battent quiconque est considéré comme un électeur de Donald Trump, où, par exemple, des femmes âgées, des vieillards et des enfants sont abattus par des Afro-Américains dénués de tout sentiment ou sensibilité humaine.

Et ceci est l’œuvre des médias traditionnels et de la politique «progressiste» qui consiste à regarder ailleurs au lieu d’observer et de comprendre.

N’avez-vous pas remarqué ce qui s’est passé  quand un groupe de leaders du centre-ville de Seattle a créé un «territoire en dehors des États-Unis» et y a fait son QG militaire pendant des semaines?

 N’avez-vous vraiment pas non plus remarqué les gens obligés de  protèger leurs magasins, leurs maisons, leurs familles avec des fusils, et vu  dans leurs yeux qu’il faudrait bien tirer si cet animal, cette foule affreuse les attaquait ?

 Après cela, vous osez citer le Premier ministre hongrois comme l’exemple de la haine qui engloutit le monde !

 Êtes-vous vraiment stupide,  monsieur Clooney? Car si tel est le cas, c’est bien là le scénario le plus effrayant qui soit.

 Et puis nous arrivons à Soros ici.

 On peut supposer que vous n’avez pas prononcé ces paroles par stupidité. Je veux dire, par vous-même. C’est pourquoi nous pensons que vous êtes guidés par votre gentillesse et  que ce non-sens flagrant a été placé dans votre bouche. Bien sûr, cela n’enlève rien à votre responsabilité.

De toute façon, dans votre propre monde, c’est par  gentillesse que l’on parle comme cela, et évidemment vous le pensez aussi. Tout comme le vieil homme malhonnête et méchant qui a passé toute sa vie inutile et dégoûtante à détruire des millions de personnes, à faire de la spéculation boursière sale, à attaquer les monnaies nationales, à corrompre les politiciens, et qui après avoir senti le souffle de la peste, s’est acheté une conduite «philanthropique».

Et vous, M. Clooney, êtes manifestement dans le bateau  de ce vieux méchant qui dit des bêtises. Vous n’avez pas de questions à vous poser,  vous y allez!  C’est juste une question d’élite hollywoodienne (respect pour les rares exceptions, vive Clint Eastwood et James Woods!), Tout comme l’élite politique «démocratique» et toute l’affreuse «élite médiatique» qui savent exactement ce qui est juste, ce qui est nécessaire, et ce qui est digne de dire. Et surtout, ils savent par eux-mêmes exactement ce qu’il est interdit de dire. Comme un mouton qui a été malmené à quelques reprises par un bâton électrique.

Monsieur Clooney, vous avez bien appris votre leçon.

 Ils savent qu’il est interdit de dire quoi que ce soit sur la réalité et la vérité. CNN et le New York Times sont ainsi, c’est leur monde.

 Et dans ce monde, il est évident et naturel qu’apercevant de dos un trafiquant de drogue noir portant une mitraillette en plein Seatle, le public  sache bien que c’est Viktor Orbán et personne d’autre qui porte toute la haine en ce monde.

Vraiment, What else, M. Clooney?

Le Blog Bádog est animé par le chroniqueur Zsolt Bayer. Membre fondateur du parti au pouvoir du Fidesz, Bayer est connu pour ses déclarations crues.

Contre Macron dès 2017, et sa politique libérale en matière d’immigration, il écrit : « Macron devrait être envoyé derrière les barreaux ».

«Vous et vos partisans serez les derniers à pouvoir vivre une vie ‘française’ dans votre patrie… »

 : Macron, un danger pour la civilisation européenne

La lettre originale in extenso en hongrois (elle a été largement remaniée pour le présent article de RR) :

https://magyarnemzet.hu/kulfold/valasz-george-clooneynak-9003137/

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13 Commentaires

  1. Tous ces clowns me font gerber !! Celui là, quand il parle, il devrait systématiquement tirer la chasse d’ eau !!!!!!!

  2. Toujours la même chose l’artiste hyper favorisé qui se croit porte parole du peuple et de la vérité. Il ferait mieux de fermer sa grande gueule d’inculte qui profite de sa notoriété pour influencer un domaine qu’il ne connait absolument pas, pauvre sot.

  3. tous ces connards d’artistes se mêlent de tout ce qu’il ne faut pas. mais avec leurs millions que font ils pour les pauvres. rien du tout . Alors qu’ils ferment leur g….e ces bobos gauchos islamo

  4. Exact Anne Marie Jon Voigt et les 2 autres acteurs nommés font partie des acteurs qui réfléchissent par eux même ! Ça change des perroquets.

  5. Ouah ! Ça décoiffe.
    Il l’a bien mouché ce vaniteux bobo , ami également de hussein obama !
    Trump aura un mal fou à nettoyer toute cette bouse .

  6. Le seul reproche que je ferais à cette lettre est son oubli de l’acteur Jon Voigt, père d’Angelina Jolie dans la liste des collègues de Clooney qui ont la clairvoyance et surtout l’honnêteté de soutenir le POTUS actuel !
    Sinon, tout le reste est d’une insolence du plus bel aloi indispensable pour répondre à la basse calomnie dictée par l’opportunisme et l’intérêt le plus vil pour sa carrière et sa gloriole.
    Cet épistolier hongrois est un disciple de Figaro !

  7. Je le verrais bien jouer un grand rôle dans Sherlock Holmes; Il serait excellent dans le rôle du chien des Baskerville.
    Je ne regarderai plus jamais ce débile gochiotte.

  8. Ca sent le remake du fait divers, avec Omar Sy (l’ami des traoré) dans le rôle de floyd.

  9. Schwab, le poto de Soros, Clooney, sa femme née Amal Chouffedine -chiite libanaise- sont juste bons a enterrer vivants vu le mal que ces ordures du « camp du bien », peuvent faire a l’ humanité
    ces « hongrois », en réalité MADJYARS, sont des finno ougriens d’ origines diverses et ont hérité de la tête dure de leurs ancêtres

  10. Et des zartistes qui devraient fermer leur gueule, mais qui débitent des conneries au kilomètre, il y en a un paquet, comme en France.

  11. Quand tout fonctionne avec la propagande politiquement correcte, la débauche devient un modèle. La commission européenne corrompue peut acheter 500 000 doses du Remdésivir toxique (elle est belle cette Europe). Maradona qui aurait dû être disqualifié pour tous ses matches, drogué, mafieux, tricheur, devient l’icône de tout un pays. Le clooney lui, veut juste réanimer sa petite entreprise dans cette époque où le pourri devient étalon, ou les français se font chasser de leurs propriétés par l’immigré, Ou les africains, les islamistes dégénérés passent avant les français dans leur propre pays. C’est le radeau de la Méduse, où les mots patrie, nation, France ne veulent plus rien dire.

  12. Qu ‘il s ‘ occupe à tourner des films c ‘ est ce qu’ il sait mieux faire .Lui, dans son quartier huppé ultra protégé que connaît il de cette violence des groupes extrémistes come BLM,antifas.

  13. Encore un qui s’occupe de choses qui ne le regardent pas et surtout ne supporte pas les conséquences de ce qu’il veut imposer aux autres comme pas mal de gros cons et grosses connes que nous avons chez nous !

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