Des psychologues tirent la sonnette d’alarme, sans remettre en question, les imbéciles, le port du masque quand on travaille avec des enfants, mais passons et examinons les conséquences terribles pour nos tout petits à la crèche, en pouponnière, en maternelle ou au primaire… et je ne parle pas des pauvres gosses en centre d’accueil pour enfants abandonnés, orphelins ou maltraités qui ne sont pas en famille d’accueil. Il y a en a de plus en plus, puisque de plus en plus de familles d’accueil sont sollicitées pour s’occuper… de « mineurs non accompagnés »
Immobilité du visage, sons mal prononcés, retard de la parole: le masque ralentit le développement des petits
En France, deux psychologues cliniciennes se battent depuis des mois pour que les professionnels de la petite enfance portent des masques transparents. Si elles sont tout à fait d’accord avec le port du masque dans les écoles et les crèches pour les adultes, elles mettent en garde contre les conséquences pour le développement des enfants.
« Les bébés sont d’une grande sensibilité à l’égard du visage, tant ils en tirent d’informations. Ils peuvent aussi, à certaines périodes et notamment entre six et dix mois, présenter des réactions de peur face aux visages inconnus. Certes, on peut se rassurer sur le fait qu’il s’agit d’une détresse passagère, et que les capacités d’adaptation du bébé sont telles qu’il parviendra à s’habituer », ont expliqué les Dr Célia du Peuty et Anna Cognet dans une longue tribune dans la presse française. « Mais certaines conséquences sont moins immédiatement repérables, et priver le bébé de plus de la moitié du visage de son interlocuteur plusieurs heures par jour entraîne un risque d’incompréhension relationnelle », expliquent-elles.
« De quels risques parlons-nous ? Principalement d’un risque d’altération de l’identification des émotions, d’un sentiment d’insécurité, d’une entrave dans le développement de la communication orale, voire, par mimétisme ou par manque de stimulation, une tendance à l’immobilité du visage. »
Tout cela est à rapprocher de nombre d’expériences édifiantes quant au besoin de tendresse, en paroles, en gestes, avec les sourires… Et faire grandir des petits sans sourire, c’est non seulement les priver de quelque chose de fondamental mais aussi en faire de futurs robots pour qui l’humanité sera quelque chose d’étranger.
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Tout d’abord l’expérience célèbre -légendaire sans doute – de l’empereur Frédéric II de Hohenstaufen qui , au XIIIème siècle, voulait savoir quelle était la langue « naturelle », originelle, de l’humanité. Il fit donc élever des nourrissons par des employés qui les nourrissaient lavaient, habillaient mais ne leur parlaient pas. Jamais le moindre mot, jamais même le moindre geste de tendresse, jamais le moindre jeu… Les enfants ne parlèrent jamais et finirent pas mourir… d’absence de lien, d’absence de tendresse.
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Ensuite l’expérience de Harlow sur des macaques, qui préfèrent une peluche à un biberon de lait... Et ce sont des macaques. Or, macaques ou bébés humains ont besoin pour se développer, pour avoir envie de grandir, de construire… avant tout de tendresse, de communication, qui passe et par les mots, et par le toucher… et par le sourire !
https://carnets2psycho.net/pratique/article296.html
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est-ce que l’ordure de l’Elysée et sa bande de macaques paieront un jour pour tout cela ???
Ils sont déjà des ASSASSINS en direct pour avoir interdit le traitement du Professeur RAOULT mais toutes ces morts « dérivées » leur sont également imputables !!
FRANCAIS refusez la muselière que le salopard cité ci-dessus vous impose pour mieux vous mener à l’abattoir …..
Le terrorisme d’Etat s’est mis en place lors de l’épisode des GJ, alors que certains Français étaient heureux et soulagés que la police tape sur leurs concitoyens, puisque le Luc Ferry avait proposé que les flics aillent plus loin en tirant à balles réelles.
L’épidémie de covid19, permet de peaufiner la technique, en » matant » tous les récalcitrants, les Gaulois réfractaires.
Police à chaque coin de rue, arrestations musclées pour des broutilles, PV exorbitants, terreur instaurée et « fermez vos gueules » dirait le conbandit.
Donc, maintenant, ils s’attaquent aux enfants pour formater les nouvelles générations, et les veaux acquiescent….
Ces petits ne se développeront pas harmonieusement, c’est impossible si tous leurs sens ne sont pas en éveil. Ces enfants doivent absolument voir le visage des personnes qui s’occupent d’eux . C’est un monde de fous qui se met en place.
C’est criminel mais tous ces salopards du gouvernement s’en foutent, si j’avais encore un enfant en bas âge il aurait été hors de question qu’il porte cette muselière.
En effet, tout se joue avant 6 ans, notamment l’acquisition des apprentissages nécessaires à la sociabilité, paroles, ressenti et interprétation des mimiques, interactions…
Etonnant que si peu de psychologues aient mis en garde contre ce grave danger pour le développement de l’enfant.
Mauvais signe que désormais, il n’y a plus de liberté de penser, de recherche y compris dans les professions où elle est indispensable. La peur diffusée par le terrorisme intellectuel et la soumission qu’elle génère aux autorités hiérarchiques et autres les incitent à penser dans le cadre « autorisé ». C’est ce qu’on a constaté durant les décennies où ont sévi les gangs pakistanais aux dépens des adolescentes paumées de la classe ouvrière en G-B. Les travailleurs sociaux les ont laissé agir au prétexte qu’ils craignaient d’encourir l’accusation de racisme.
Les ravages du terrorisme intellectuel – pas seulement, désormais terrorisme d’Etat ou « systémique » – sont là, frappant les sachant comme les classes laborieuses.
Terrifiant, désespérant.
Le principal étant de bien les éduquer à veauter Trou du cul.
Merci Christine pout cet article documenté. Mais pourquoi les parents ne se révoltent pas? Et les profs, le personnel des crèches? La lâcheté? Mais il s’agit de leurs enfants quand même!