A la réalisation de la destruction de Barbès, Jeanne Labrune…
Le parisien du 18 novembre ! Nos commentaires surlignés en orange…
«L’horreur du quotidien» à Barbès :
le cri d’alarme de la réalisatrice Jeanne Labrune
La réalisatrice a lancé une pétition qui totalise 800 signatures réclamant le « rétablissement de l’Etat de droit dans ce quartier de Paris ».
Boulevard Barbès (XVIIIe). L’éternel se reproduit à l’infini. Vendeurs de cigarettes, de Subutex, (tiens je croyais que c’était en pharmacie) ce pansement alternatif à la prise de drogue, ces vols «à l’arraché», de colliers, de bijoux. Et désormais la fermeture de la bibliothèque de la Goutte-d’Or, dernier bastion de la vie de quartier.
Les ventes de cigarettes à la sauvette, ce marché aux voleurs, aussi. Le tout est boosté par le confinement, alors que la délinquance, elle, devient plus exponentielle, encore. Les opérations de police se multiplient. Comme les arrestations. Toutes les semaines, comme une volonté d’exister sur l’espace public. « C’est dingue. Ils sont tous les jours là, mais notre vie ne change pas. », lâche une riveraine*.
* : pauvre femme, avec tous ceux qui sont entrés avec la bienveillance des politiques, des bobos, des gauchos, des intello-dingos comme la ci-devant nommée !
Installée depuis un quart de siècle dans ce Barbès qu’elle aime, Jeanne Labrune, l’autrice, n’en est pas moins une femme opiniâtre. Qui ne laisse rien passer*. Elle a écrit un ouvrage sur ce Barbès adoré, mais qu’a-t-elle en retour ? Rien, ou presque.
* Par contre, qu’est-ce qu’elle a fait passer, et elle récolte aujourd’hui ce qu’elle a semé, le GISTI s’en est félicité !
A l’origine de cette pétition, il y avait ce dégoût de la situation. « Nous sommes passés de la petite délinquance de rue à l’horreur du quotidien. J’ai le souvenir, alors que nous partagions un café entre copains, dans le quartier, de cette femme, accompagnée de son mari, qui a été insultée, s’est pris un jet de chaise dans les jambes, et un café brûlant. J’allais faire ma quatrième chimiothérapie à l’hôpital Lariboisière », nous a-t-elle dit (Ce qui concerne le sujet ! Jouerait-elle du chouinement elle aussi, ça déteindrait ce truc là ?).
Les commerces ferment (pas nouveau, ailleurs déjà, dans l’indifférence !)
« Les gamins du coin, ajoute-t-elle, je les connais tous. Ce jour-là, assène Jeanne Labrune, j’ai décidé d’agir. Nous avons décidé de cette pétition. Parce que, trop, c’est trop. Je me suis dit : Stop aux petits cons au pied des immeubles. Il faut vraiment agir. Barbès est le quartier que j’aime. Ces gosses, ils me font rire, quand ils disent, cette dame, là, je sais qui elle est. »*
* : j’en ai la larme à l’œil !
Et d’enfoncer le clou : « les habitants des quartiers de la Chapelle, de la Goutte-d’Or et jusqu’aux confins du boulevard Barbès (XVIIIe) le savent. Ici on ne compte plus les commerçants qui ont mis la clé sous la porte, ou affiché sur leur devanture le panneau « Stop à l’insécurité ».
Depuis le deuxième confinement, nombreux sont les contrôles auxquels « le Parisien » a assisté. Reste cette délinquance endémique, à laquelle le public a de plus en plus de mal à résister. Jeanne Labrune l’a vécu dans sa chair. Un de ses colliers lui a été arraché, « avec ma peau. J’ai été blessée. Quand ils ont coupé à la pince le collier », souligne-t-elle. Cela a été très traumatisant, on ne se rend pas compte… J’ai eu le cou blessé. Coupé. *»
* : Les joies de l’enrichissement culturel, il faut savoir ce que l’on veut !
Néanmoins, la comédienne continue, contre vents et marées à aimer ce Barbès où elle vit « mais, voir cette drogue sur nos rebords de fenêtres, ces gosses qui continuent le deal, ces agressions… On fait quoi ?* ».
* : Déjà, tu arrêtes de de plaindre , tu arrêtes tes jérémiades pour les pôvres sans-papiers illégaux ayant forcé les frontières et venant vivre sur l’habitant avec ton assentiment… Ça nous fera beaucoup de bien ! Et sur ce point, tu fais ta repentance, ce qui ne semble pas encore en chemin !
Derrière les vitrines, des histoires qui se ressemblent toutes, comme l’état d’esprit dans lequel se trouvent celles et ceux qui les racontent. « C’est un mélange de lassitude, d’écœurement, et parfois de peur, lâche un épicier de la Goutte-d’Or. Entre les trafiquants, les mineurs isolés qui se battent entre eux et agressent les passants, les vols… La situation est explosive.* »
* : Patience ! Cela ne va pas tarder à faire BOUM !
Le fléau de la toxicomanie
Charlène (*) raconte. Elle courait, ce mardi, avec une amie trentenaire aux abords des jardins d’Eole : « Mardi soir, je faisais du sport avec une copine. Elle a été prise à partie par une toxicomane. Cette femme l’a agressée par derrière. On est allée voir les agents de la Ville. »
(*) Le prénom de Charlène a été modifié à sa demande
Dans le secteur de la place de la Chapelle, seul quartier classé « de reconquête républicaine » (QRR) dans la capitale et intégré à la zone de sécurité prioritaire (ZSP) 10-18, l’ambiance n’est pas meilleure. C’est à cet endroit que Gérald Darmanin, tout juste nommé ministre de l’Intérieur, avait réservé l’une de ses premières visites, de nuit, aux forces de l’ordre, en juillet.
C’est dans ce même secteur que les personnels de la bibliothèque de la Goutte d’or ont décidé d’arrêter le travail, ce mardi. Trop d’insécurité. Des attaques au couteau… « notre vie est mise en cause, souligne Loïc Guezo, le président de Demain La Chapelle. On attend beaucoup plus des pouvoirs publics* ».
* : et que peut-on attendre de vous ?
Un ras-le-bol des habitants
Depuis des mois, une femme s’élève contre les violences commises dans son quartier. C’est Jeanne Labrune. Réalisatrice et comédienne, installée depuis 25 ans dans ce quartier, elle a tout vu, tout vécu*. Elle sait tout de cet incroyable petit morceau de Paris. Et, elle est à la tête d’une pétition revêtue de 800 signatures, qui réclame le « rétablissement de l’Etat de droit dans l’arrondissement ».
* : Elle a contribué à tout foutre en l’air ! Ce n’est pas mieux résumé ainsi ?
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Elle a le même coiffeur que Pierre-Jean Chalençon.
Bof ! rien à cirer de cette gourdasse qui se plaint de ce qu’elle a contribué à créer, et qui ne changera pas d’avis sur l’immigration, ni sur l’islam,
elle s’imagine installer un état de droit quand elle ne voit pas qu’il y a maintenant un état islamique,
eh ! réveille-toi la cruche !! tu as souhaité un dar « ché pas quoi » , une maison de conquête islamique, tu l’as eu,
et ceux qui ont voulu macron,
maintenant, ils l’ont dans le fion !!
En réalité le processus s’est inversé, à force d’aller dans une direction et de persévérer, on pense qu’on améliore son concept de civilisation alors qu’on s’en éloigne de plus en plus pour finalement se retrouver dans la direction opposée, c’est un peu comme celui qui ne sait pas que la terre est ronde et qui finit par revenir à son point de départ, il tourne en rond mais pendant ce temps la pensée évolue, ce qui était le bien est devenu le mal, c’est le problème de celui qui croit détenir la vérité alors que cette vérité change.
Y en a qui retournent leur pantalon!
Elle n’a qu’à retourner son string!
Et surtout, surtout fermer son claque merde et pas nous faire chier avec ses états d’âme.
Encore faudrait-il qu’elle en ait une!
On a d’autres chechias à fouetter! Ben quoi, je ne fouette pas les chats!
Gérard
Et des crétin(e)s de ce genre, islamo-gauchistes de stricte observance, ce n’est pas ce qui manque, surtout à Paris! Ils nient, ils refusent la réalité, jusqu’au jour où ils ont le cou (plus ou moins) coupé .Tant que ça n’arrive qu’aux autres, ils s’en foutent , »L’islam cépaça, padamalgam. » Mais quand ce genre de pépin leur tombe dessus, les voilà qui couinent et se pleurnichent dessus. De là à changer carrément leur fusil d’épaule…Il ne faut pas trop leur en demander, car ils risqueraient d’y perdre leurs appuis et leur job.
YRavi qu’elle se soit pris le boomerang dans le cul dans son quartier chic, la Bobo.
encore une qui découvre l’eau chaude en s’y brûlant le Q!
Elle ose parler de cou coupé alors que ça tête de conne n’a pas roulé dans le caniveau. J’t’en foutrais!
On peut dire qu’à Paris le mal est profond, Cela me rappelle le film : en cas de malheur avec Gabin et Bardot tourner en 57, ou à la fin de l’histoire on retrouve Yvette, jeune prostituée interprétée par Brigitte Bardot morte dans une chambre d’hôtel d’un quartier ouvrier parisien qui aurait pu d’ailleurs être tourné à Barbès, assassinée donc par son amant jaloux.
Prévenu André client amoureux de la belle Yvette joué par Jean Gabin arrive sur les lieux du crime, et là stupéfaction on peut apercevoir à l’étage de l’hôtel deux maghrébins à la fenêtre en train d’observer la scène en écoutant de la musique arabe.. plein tube !!
Non ce n’est pas vrai .. ILS étaient DÉJÀ LÀ !!!!
@ Antiislam.
Même si je viens de lui tailler un petit trois pièces, je suis assez d’accord avec toi, Antiisslam.
A savoir si son retournement en est un, ou n’est qu’un « pas de deux » … 🙄
Faites savoir CONCRÈTEMENT à Jeanne LABRUNE que vous partagez pleinement l’opinion exprimée
par Jean-Paul Saint-Marc à son sujet dans cet article :
IMPRIMER l’article et L’ENVOYER par La Poste à l’ADRESSE POSTALE PUBLIQUE de la gauchiste.
Elle habite dans le même immeuble que Catherine Schwaab
Source : https://blogs.mediapart.fr/claude-hudelot/blog/180714/visions-de-barbes-la-voix-de-jeanne-labrune
(où l’on apprend en sus que pour Jeanne LABRUNE « Il y a beaucoup de douceur dans le quartier le plus dur de Paris. La douceur de Barbès est veloutée comme la peau des bananes. » Alors Jeanne, la peau de ton cou, elle est veloutée comme une banane ou pas maintenant ?! LOL)
et « Catherine Schwaab » (en réalité Caterine Schwab) habite au
https://www.pagesjaunes.fr/particuliers/017197246800000000C0002
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Signer au bas de la dernière page, dans l’espace resté blanc, avec votre prénom et ville (inutile de bêtement donner vos coordonnées complètes une collabo…) et poster.
Les plus taquins pourront rajouter une ligne sur la douceur de Barbès et les bananes, comme cité plus haut.
Voilà, faire acte CONCRET de résistance ça commence en investissant un timbre.
Pour ceux qui voudraient en faire PLUS+ :
Vous pouvez en plus envoyer un autre article un autre jour, celui de nos confrères de Riposte Laïque :
https://ripostelaique.com/agressee-la-realisatrice-a-migrants-jeanne-labrune-appelle-au-secours.html
Les paramètres sont :
https://www.printfriendly.com/p/g/kUcSuF
Taille de texte 130%, taille d’image 100
N’imprimer que les deux premières pages du PDF (qui en fait 11) au choix : en deux feuilles imprimées recto chacune ou bien en une seule feuille imprimée recto-verso.
Bien fait pour sa g….e cette gourdasse de gaucho les a tellement soutenus qu’aujourd’hui ca lui revient dans la tronche. pas à plaindre la grognasse de nantie
Bonjour,
Oui !
Mais je pense qu’il faut soutenir ceux de nos compatriotes qui ouvrent les yeux, même tardivement.
L’islam m’était totalement indifférent encore au début des années 2000.
Puis j’ai compris ce que c’était.
Si Labrune, après sa pétition actuelle, persiste dans son attitude passée, et ne lutte pas contre l’islamisation et l’immigration, alors guère de pitié à avoir.
Que les fanatiques de l’islam, musulmans et non-musulmans, règlent leurs comptes entre eux.
qui sème latempête la récolte
bon il est temps que les coiffeurs puissent rouvrir leurs salons, comme ça nid de pie euh non la Jeanne pourra y aller!
Elle pense peut être que « l’état de droit » est un gâteau qu’on achète à la boulangerie. Elle n’a pas du faire l’ENA.
Ils sont nombreux aujourd’hui a se plaindre de la situation qu’ils ont contribué a créer , d’autres comme julien dray osent encore venir donner des leçons a la télé entre autres .
Dès le déconfinement, je lui suggère de convier ses homologues de chez Arte (et/ou autre pourvoyeur de repentance et vivre ensemble) à un thé à la menthe à la terrasse d’un des cafés-maure du quartier devenu bab el j’did/Marrakech ( la pègre, la crasse et les ordures en plus …)
C’est ce qui préfigure le futur Paris sous république islamique… Ils ont toujours milité dans ce sens ?
Ben alors : vos gueules !