La virilité de Trump plaît aux Américains, l'Amérique a pour idéal des hommes forts, stoïques…

Le manque de figures viriles américaines archétypales de la gauche explique beaucoup.

Le 19 octobre 2020 par Sebastian Gorka.

Sebastian Gorka, titulaire d’un doctorat, est ancien assistant et stratège du président Donald Trump, animateur de l’émission de radio diffusée à l’échelle nationale « America First » et auteur de « Why We Fight« . Vous pouvez le suivre sur Twitter @ SebGorka.

 

Nommez-moi un membre de l’élite politique démocrate de gauche qui vous rappelle John Wayne, George Patton ou Charles Bronson. Ne vous bousculez pas, je peux attendre.

Alors ? En avez-vous trouvé un ? Un seul suffira.

C’est étrange n’est-ce pas ? Vous pouvez vous creuser la cervelle avec cet exercice simple pendant des heures, probablement des jours, sans réussir à identifier une personnalité politique de gauche qui a même une légère odeur musquée de masculinité.

Même leurs généraux ne passent pas, pas même les plus célèbres. David Petraeus, le commandant vanté en Irak et plus tard directeur de la CIA sous le président Obama, ou le « Mad Dog » Jim Mattis, conscient de son image, échouent tous les deux à cet examen. Ils peuvent se présenter comme des moines guerriers, mais ils n’impressionnent personne avec leurs affaires délirantes ou la trahison de leur commandant en chef dans le cabinet duquel ils ont accepté de servir. (Je n’oublierai jamais l’histoire que m’a racontée l’épouse d’un patron de la CIA qui a dû accueillir Petraeus chez elle lors de sa visite officielle dans la capitale où son mari travaillait : « Il nous a fait une telle scène du fait que nous ne possédions pas le bon sucre artificiel pour son café ! » Ahh… « leadership »).

L’Amérique est une nation masculine. Des premiers colons aux derniers chercheurs d’or, en passant par la figure légendaire du cow-boy des plaines, puis le GI et les Marines de la Seconde Guerre mondiale. Notre pays est une nation définie par l’idéal classique d’un homme : un individu fort , stoïque, résilient et prêt à utiliser la violence pour la cause de la justice. Même les premiers Américains d’origine, nos Indiens, sont à jamais représentés comme des guerriers stoïques et autonomes.

Les démocrates manquent de telles figures archétypales. Et c’est pourquoi Donald Trump doit être détruit. C’est vraiment incroyable, même pour quelqu’un comme moi qui ne devrait pas être surpris, comment se définit le président américain Trump.

Je l’ai rencontré pour la première fois durant l’été 2015 lorsqu’il m’a demandé de le conseiller sur les questions de sécurité nationale lors des débats du GOP (« Grand Old Party » ou « Grand vieux parti », sobriquet pour le parti républicain). Puis, après notre miraculeuse victoire MAGA (« Make America Great Again »), j’ai servi dans sa Maison Blanche en tant que stratège, puis il m’a ultérieurement nommé à l’un de ses conseils d’administration du ministère de la Défense. Mais malgré toute mon expérience avec l’homme Trump, je ne m’attendais pas à ce que ce président de 74 ans, qui travaille plus de 20 heures par jour, puisse contracter une maladie qui avait provoqué une pandémie mondiale, être admis à l’hôpital et être de retour chez lui 72 heures plus tard ; cela m’a vraiment surpris. Et puis il y a eu son apparition au balcon de la Maison blanche !

Je sais qu’il a dirigé l’une des émissions de télé-réalité les plus réussies pendant 14 ans, mais malgré cela, l’épanouissement visuel et la profondeur spirituelle de ce moment à son retour de l’hôpital n’avaient rien eu de comparable au cours des 4 dernières années. Le retrait du masque, le salut à l’équipage de l’hélicoptère « Marine One » et le message tacite : « Je suis là, c’est OK Amérique, nous l’avons eu ». Voilà comment, pour lui, les choses devaient se passer, et on a eu droit aux réactions des médias grand public.

Des rapports déplacés de la détérioration rapide de sa santé vendredi et samedi, des appels à l’invocation du 25èmeamendement par Nancy Pelosi pour le virer pour cause de mauvaise santé, jusqu’à son retour comparé aux élucubrations de Mussolini, aux attitudes du dictateur de la Corée du Nord et des tsars de Russie, la gauche institutionnelle s’est détruite. Et pourquoi ? Tout simplement parce ces gauchistes détestent le fait que Donald Trump soit un mâle américain classique et véritable. Il ne s’excuse pas pour ses valeurs et n’entend pas soumettre son existence à une peur paranoïaque.

L’homme Donald Trump n’a pas montré de peur depuis qu’il a prêté serment aux États-Unis le jour de son inauguration. Ni lorsque la Corée du Nord a lancé des missiles au-dessus de la mer du Japon, ni quand l’Etat islamique a menacé de tuer des Américains à travers le monde, ni  lorsque la Russie a déployé des mercenaires en Syrie, ni lorsque la Chine a ensemencé le monde avec le coronavirus. Tout au contraire, il a agi et sauvé des millions de vies et a toujours placé l’Amérique en premier.


Et déployés contre lui, nous voyons quoi ?

  • Un Parti démocrate qui a été capturé par des extrémistes radicaux qui veulent des frontières ouvertes, couper le budget de la police, l’amnistie pour 11 à 20 millions d’étrangers illégaux et un « Green New Deal » (projet des écolos aux États-Unis) qui étranglerait l’économie américaine.
  • Des médias qui se sont entendus avec les restes du gouvernement Obama et d’anciens membres du cabinet de celui-ci pour dissimuler un coup d’État silencieux, puis propager une campagne de diffamation de source russe contre le candidat puis contre le président Trump ainsi que des « journaleux » qui veulent que vous soyez paralysé par la peur par suite d’un virus qui a un taux de mortalité de 0,2 %.
  • Un parti républicain de l’establishment qui ne s’est jamais rendu à la volonté des électeurs républicains après 2016 pour soutenir le non-politicien qu’ils avaient choisi comme président. Un parti qui n’a rien fait pendant 4 ans alors que les démocrates, les médias et les pourfendeurs ont essayé encore et encore de le démettre de ses fonctions, à l’exception du petit groupe de combattants du « Freedom Caucus » qui comprennent et soutiennent le mouvement MAGA.

Et puis il y a les plus bêtas de tous : les « Bushies » rejetés et ratés.

Si vous voulez vraiment comprendre à quel point la haine pour le président n’est pas vraiment une détestation politique mais fondée sur la nature effacée de la plupart de ses critiques, compilez simplement une liste de ses détracteurs RINO (« Republican In Name Only ») les plus virulents. Qu’il s’agisse de l’oléagineux Bill Kristol ou des personnages risibles du « Lincoln Project » comme Tom Nichols, Steve Schmidt, Rick Wilson ou George Conway, un mot les décrit tous : des eunuques.

Aucun d’entre eux n’est « l’homme » que vous voudriez dans la renardière à côté de vous. En fait, les vrais Américains éviteraient simplement d’être vus avec l’un d’entre eux en public, tellement ils sont minables. Et quand ils voient un homme qui ne s’arrête tout simplement pas, qui ne se soucie tout simplement pas de l’approbation de « l’élite » moralement en faillite, et qui ne se laisse tout simplement pas intimidé. Cela les rend fous.

L’Amérique est devenue la plus grande nation du monde pour une raison. Ce n’était pas seulement le résultat du génie de nos fondateurs ou de la Déclaration d’indépendance ni de la Constitution. Il est devenu le plus libre et le plus puissant à cause de vrais hommes. Des hommes comme Donald Trump.

 

COMPLÉMENT DE JACK

Tandis que les sondages donnent « Sleepy Joe » largement en tête, comme Hillary Clinton jusqu’à la veille des élections en 2016, voilà quelques exemples récents de ce que font les VRAIS AMÉRICAINS pour leur président :

  • 10 octobre : 30 000 (oui : TRENTE MILLE) voitures défilant dans les rues de Miami

https://youtu.be/NVfsCn4NYY8

 

  • 19 octobre : partisans de Trump sur 30 miles de route (48 km) en Arizona

https://twitter.com/i/status/1318240432006987778

 

  • 19 octobre : la foule attendant l’arrivée du President Trump à Tucson, Arizona:

https://youtu.be/mozwQHLxu-k

 

  • 18 octobre : Newport Beach, Californie, état normalement très démocrate…

https://twitter.com/i/status/1317924751994621952

 

  • 20 octobre : immense drapeau à New York devant la « Trump Tower »

https://youtu.be/KLROBvcw-J8

 

Etc… Etc… La foule à chaque rallye de Donald Trump. Voyons maintenant les tentatives de son adversaire, Joe Biden (juste quelques exemples Car Joe Biden ne se déplace pas beaucoup) :

 

  • 12 octobre. Rallye de Biden et Kamala Harris à Phœnix, Arizona : PERSONNE !

https://youtu.be/V0UNRfZayRk

 

  • 13 octobre à Toledo, Ohio. Alors que Biden tente de parler devant un espace pratiquement vide, des enthousiastes de Trump, derrière une barrière, crient « Four More Years »…

https://twitter.com/i/status/1315716928128913411

 

  • 21 octobre. Obama voulait venir au secours de Biden… Il n’y avait que quelques personnes, peu enthousiastes… « This is embarrassing » a dit Obama !

https://twitter.com/i/status/1319100290747039746

 

Mais les sondages donnent encore Biden en tête !!!

https://www.frontpagemag.com/fpm/2020/10/its-about-president-trumps-manhood-sebastian-gorka/

Traduit par Jack pour Résistance Républicaine.

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7 Commentaires

  1. A noter que les hommes virils sont souvent en couple avec de belles femmes plus jeunes , ce qui est le cas de notre Grand TRUMP

  2. Même nos émissions de vulgarisation médicale, s’attachent à salir TRUMP, à se moquer de lui, à faire croire des âneries pour le discréditer.
    C’est fou comme la gauchiasse est semblable des deux côtés de l’Atlantique.
    Ils ne se rendent pas compte qu’ils se sont fortement discrédités en invitant Karine Lacombe à plusieurs reprises, et en plébiscitant le vaccin anti-grippal pour se protéger contre l’épidémie de coronavirus

  3. Le problème, aux USA, est qu’il peut y avoir une majorité d’Américains pour Trump mais comme ce sont les grands électeurs qui votent, Biden pourrait gagner (l’inverse de ce qui s’est produit il y a quatre ans, quoi).
    Et sans être complotiste (quoi que…), tout est fait pour que Biden soit élu car si c’est le cas, je pense qu’il serait ensuite écarté sous un faux prétexte (son âge, maladie) et serait ainsi poussée Kamala Harris au devant de la scène, en tant que femme noire. Le gros lot pour les progressistes.

  4. Je crains fortement qu’il y ait autant de malades que de ce côté de l’océan.

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