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Vous reprendrez bien un peu de déconstruction nationale ?
Après le peu convaincant discours contre les « séparatismes », il a peut-être semblé au gouvernement qu’il fallait donner quelques gages aux minorités se sentant « stigmatisées ».
Et pourquoi, propose Gérald Darmanin, ne pas renforcer l’apprentissage de l’arabe à l’école ?
Wallah, en voilà une idée qu’elle est bonne s’écrieront les djeuns de cité en « difficulté scolaire » ! En effet, les enfants, déjà en butte à la médiocrité du système scolaire français et maniant plus ou moins le français pourront donc suivre des cours d’arabe pour… pour… quoi, au fait ?
« Pour réduire le pouvoir des religieux » et « endiguer le séparatisme » assure le ministre de l’Intérieur.
Mais alors, pourquoi ne pas enseigner le bambara pour éviter des Coulibaly ou bien l’ourdou pour contrer les hachoirs fous de mineurs pakistanais de 25 ans ?
Selon certains linguistes, il paraît que la langue française doit beaucoup à l’arabe. Avec Gérald Darmanin rendant constamment hommage à ses origines, il serait temps, enfin, de lui donner un nouveau statut : l’islam étant la seconde religion de France, pourquoi l’arabe ne deviendrait-il pas la seconde langue officielle du pays ?
Et pour ceux qui seraient tentés de s’opposer à cette « proposition républicaine » (?), le ministre Darmanin lance l’anathème magique de la gauche (ou la fatwa) : « racistes » !
Dans une interview accordée au «Journal du Dimanche», le ministre de l’Intérieur plaide pour un renforcement de l’apprentissage de l’arabe à l’école.
Dans les colonnes du Journal du Dimanche ce dimanche 4 octobre, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin indique vouloir renforcer l’apprentissage de l’arabe à l’école. «C’est une proposition républicaine et courageuse» assure le ministre. Ce dernier y voit aussi un moyen d’endiguer le séparatisme, sujet du discours d’Emmanuel Macron vendredi 2 octobre.
Le ministre de l’Intérieur récuse avant tout l’apprentissage de l’arabe dans les mosquées. À l’enseignement de cette langue, il souhaite apporter un cadre laïque et républicain. «Quand j’étais enfant, mes copains, enfants de femmes de ménage comme moi et issus de familles portugaises ou espagnoles, apprenaient à l’école la langue de leurs parents. Mais mes cousins d’origine maghrébine n’avaient que la mosquée pour apprendre l’arabe…» déplore-t-il.
Et d’ajouter : «Est-ce cela que l’on veut? Nous avons besoin de jeunes Français qui parlent l’arabe […] L’enseigner à l’école c’est aussi un moyen de réduire le pouvoir des religieux. Ceux qui dénoncent cette mesure feraient bien de réfléchir… ou alors ont-ils un surmoi raciste.»
La position de Gérald Darmanin sur l’apprentissage de la langue arabe fait écho au discours du président de la République sur «la lutte contre les séparatismes» prononcé aux Mureaux. Emmanuel Macron y avait présenté le futur projet de loi contre «le séparatisme islamique» qui sera soumis le 9 décembre en Conseil des ministres. «Ce à quoi nous devons nous attaquer, c’est le séparatisme islamiste. C’est le cœur du sujet» avait-il dit.
Et de rappeler que «le but final» de cette «idéologie» est de «prendre le contrôle complet» de la société.
S’agissant de l’apprentissage de l’arabe à l’école, Emmanuel Macron avait assuré vendredi vouloir en finir avec les jeunes qui «vont l’apprendre (l’arabe) dans des associations qui leur proposent le pire et qui sont manipulées».
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« La langue française doit beaucoup à la langue arabe »… Le « zéro » par exemple. Oui, sauf que le « zéro » a été emprunté aux Indiens…
La langue française doit beaucoup à la langue arabe
Depuis des siècles, la langue française a emprunté toute une série de champs lexicaux à la langue arabe. Lorsque vous parlez d’ « algèbre », d’ « alcool », d’ « alchimie » d’ « abricot » ou encore de « gazelle » ou de « girafe », sachez que vous utilisez des mots qui proviennent de l’arabe.
Comment un terme tel qu’« algorithme » a-t-il bien pu débarquer dans la langue française ? Dès le XIIe siècle, tirant son origine d’un grand astronome et mathématicien du début du 9e siècle : « Al-Kharezmi », né en Ouzbékistan et mort à Bagdad. Ses écrits rédigés en langue arabe et traduits en latin au XIIe siècle ont permis d’introduire l’algèbre en Europe.
En linguistique, le phénomène est connu sous l’appellation d’« emprunt » que fait une langue, une culture, à une autre langue, à une autre culture. Un phénomène qui s’explique par l’histoire et qui s’opère de manière naturelle, témoignant des rapports entre les peuples.
L’empire arabe, à son apogée, a influencé de manière significative les cultures européennes. Et pour cause : Dotée d’une force politique, commerciale et militaire, le tout couplé à un rayonnement civilisationnel fulgurant avec le développement des sciences telles que l’astronomie, la médecine, les mathématiques et l’épanouissement de la littérature, la civilisation arabe a su profiter à bon escient de son contact avec les cultures indienne, persane ou encore grecque, multipliant les contacts en Orient et en Occident.
De nombreux mots arabes sont entrés dans la langue française via le latin médiéval, l’italien, le dialecte sicilien ou encore l’espagnol.
Les exemples ne manquent pas. Dans le domaine des mathématiques, ce sont des termes tels que : « zéro », « chiffre », « algèbre », en matière de chimie et de pharmacopée où les Arabes excellaient, ce sont des mots à l’instar d’ « alcôve », d’ « amalgame », d’ « alambic » qui ont débarqué dans la langue française.
En biologie, des termes désignant des plantes ont marqué de leur emprunte la langue française : « henné », « ambre », « talc », etc.
[…]
Plus récemment, les différentes vagues d’immigration des Maghrébins en France ont également amené leurs lots d’influences linguistiques sur la langue française. Ou encore le conflit israélo-palestinien qui a amené les journalistes à intégrer des termes tels que « moujahiddin » qui désigne un « combattant de la guerre sainte », « hizballah », littéralement « le parti de Dieu ».
L’expansion de l’empire arabo-musulman, les flux migratoires, la façon dont les Arabes ont traduit et intégré le savoir des Grecs, la transmission de ce patrimoine scientifique et culturel à l’Europe via la traduction d’ouvrages arabes en latin dès le XIIe siècle en Espagne, expliquent assez facilement pourquoi la langue française doit autant à ses ancêtres arabes.
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La France baisse une fois de plus son froc devant l’islam.
Français , réveillez vous.
Si on arrive à trouver DIX mots empruntés à l’arabe, la belle affaire !!!
combien de mots comporte la langue française, il y en a tellement qu’on ne les connait pas tous, ces dix mots représentent quoi ? 0, 00001 % et encore, je suis généreux !!
toutes les langues ont des emprunts linguistiques à d’autres langues pour décrire certains objets qui n’existaient pas avant d’arriver dans le pays, comme ‘tomobile », chez les arabes dérivé d »automobile »
Que je sache, pour lutter contre Mussolini, les immigrés d’Italie n’ont pas appris l’Italien à l’école de la raie publique.
Idem pour les Espagnols qui fuyaient Franco.
Je me souviens très bien d’un copain d’école, dans les 50, venu d’Italie, et qui parlait Français sans même une pointe d’accent.
Comme d’habitude avec le visiteur venue de l’enfer.
Il fait semblant de durcir le ton avec le colonisateur, et en même temps leur donne les plains pouvoirs.
Toute cette gesticulation n’est faite que dans un but politique, pour tenter d’acheter le voix de ses opposants. Je vous parie qu’un mois avant les élections, il va augmenter les retraites de cinq escrocs, et le comble est que beaucoup vont courir…
En cela , on copie l’Algérie, et au lieu de faire en sorte de les intégrer, on va au contraire les pousser vers une langue étrangère, et de plus celle du coran,
quelle grosse erreur !! mais est-ce une erreur, ou plutôt, on pourrait croire que maintenant notre gouvernement obéit à des ordres donnés ??
je cite Samia » La graine du séparatisme est dans la culture arabo musulmane même !!!
et nos dirigeants devraient le savoir,
donc je fais l’hypothèse qu’ils sont parfaitement au courant, et en cela ,il s’agit d’une nouvelle odieuse trahison et un enfoncement au cœur de la culture et du culte musulman, intimement liés.
Samia a tout dit. L’Arabe c’est normal de l’apprendre dans une mosquée puisque c’est la langue du Coran. L’Arabe littéraire , celui qui en fin de compte est proposée par le ministre pour l’école sert à déchiffrer le livre religieux . Ce que les gens ne comprennent pas c’est que la langue parlée au magrehb en Algérie ou Tunisie est faite de plusieurs dialectes . Donc, ce que propose Darmani. est une arnaque qui s’appuie une fois de plus sur la méconnaissance des français sur des gens que d’un coté ils acceuillent à tour de bras sans sciller mais dont ils se désinterressent totalement de ce qu’ils sont réellement
Les magrhebîns ce ne sont pas que des arabes , ils peuvent être aussi kabyles
berbères qui forment autant de sous groupes; Touaregs , Chaoui, mozabytes etc De plus ils ont été occupés par les Turcs et les Français plus une présence juive importante dont ils ont empruntés beaucoup d’éléments de langages.Pourquoi donc proposer le renforcement de l’apprentissage d’une langue qui est certe la composante majoritaire du langage parlé en Algérie mais devient un acte religieux une fois enseigné dans sa version littéraire. .
En fin de compte darmanin est dans l’hypocrisie la plus parfaite. Il va, au contraire de renforcer la République ,faciliter le travail des imams et aller dans le sens du gouvernement algérien qui en imposant l’arabe comme languevprincipale a voulu défranciser les algériens ,tout en faisant des concessions aux islamistes. N’est ce pas le but non avoué de darmanin ?
Nom Darmanin. Si il y a une langue qu’il faut renforcer c’est bien le Français. Pas d’apprentissage de l’arabe ni en maternelle ni en primaire. Actuellement on peut déjà choisir l’arabe en 6eme où en 4ème comme n’importe quelle autre langue. Ça suffit !
On n’a pas à favoriser l’arabe plus qu’une autre langue. On est en France 🇫🇷
Il y a plein de mots de la langue française empruntés à l’arabe : égorgement, excision, infibulation, lapidation, décapitation, attentat suicide, attaque au couteau, frappez les cous, tuez-les….. C’est assurément un enrichissement de la culture française ! Pour les amateurs de poésie, je signale que Darmanin rime avec crétin, rime pauvre comme il se doit.
Moïse Dar manin ………..
heu!non! Moussa Dar Manin
en hommage au grand père tirailleur Algérien ??
pourtant Dar menine est bien un nom d’ origine maltaise
l’ embrouille est totale
Tiens je croyais que dans la constitution française la langue officielle est le français , qu’est qu’il vient nous casser les bonbons le traître darmanin avec l’apprentissage de l’arabe , Peuple de France il est vraiment temps que tu te bouges le cul avant qu’il soit trop tard , l’heure n’est plus aux hésitations !
« » d’ « abricot »
ouf! l ‘ R sauve bien des choses 😆
Adalbert tout ce que vous écrivez est fort intéressant mais bien trop long pour un commentaire. Merci de faire court et d’envoyer vos propositions d’articles à contact@resistancerepublicaine.com
comment les arabes vont pouvoir s’intégrer. c’est plutôt le français qu’il faut leur apprendre. certains vieux n’ont pas eu le courage de l’apprendre. ça pour la caf , ils savent et comprennent bien mais pour s’intégrer , ils ne savent pas. quelle honte ce pays
Le triste moussa (raser) darmanin est un muzzs, faut pas s »étonner qu’il veuille que la France soit musulmane.
Et encore un ! Un ! Toujours la même rengaine, apprendre l’arabe serait la solution. Or cette langue n’est pas une langue comme une autre, pour les arabo musulmans, elle est LA LANGUE, celle du paradis, celle de l’islam. Voilà comment encore renforcer un peu plus la suprématie de la oumma sur tout le reste. On nous prend pour des cons. La graine du séparatisme est dans la culture arabo musulmane même !!!
Je n’arrive pas à comprendre ce genre d’idée et le raisonnement qui est derrière. Comme vous l’avez dit, : pour quoi faire?
En quoi l’apprentissage et le renforcement de la langue du pays d’origine permet-elle de mieux s’intégrer à la France et de se sentir plus Français? La maîtrise de la langue arabe aura plutôt comme « avantage » de permettre à ces jeunes de rester en contact étroit avec ce pays.
Elle leur permettra judicieusement d’avoir u meilleur accès aux chaînes arabes et aux sites en arbe d’internet, comme les sites djihadistes. Et donc non seulement de ne pas perdre le lien « indispensable » (pourquoi?) le monde arabe, mais de le renforcer et ainsi de pouvoir garer un maximum de distance et de sépration avec la culture française.
Que d’évidents avantages! Pourquoi pas des cours de djihadisme pendant qur’on y est.
En passant, il faut aussi prendre extrêmement garde à ne pas créer de sentiments d’injustice chez nos braves immigrés musulmans, si chanceux pour la France : et là je m’inqujiète que l’on privilégie ainsi l’enseignement de l’arabe, au détriment du Turc! Les Turcs valent-ils moins que les locuteurs arabes? Il faut donc tout aussi impérativement enseuigner le turc, d’autnat plsu ques les turcs ont du mal à s’intégere, il faut donc là aussi prendre soi de bien renforcer les liens communautaires et empêcher qu’ils ne deviennt trop français.
Et tant qu’à faire, enseignons, l’ourdou, la pachtoune, l’afghan, le tchétchène, le parsi…. Du coup, j’ai une encore plus riche idée : pourquoi ne pas transformer les écoles où les musulmans sont majoritaires ou en forte minorité (disons 25%) en madrasas ?
@Adalbert le Grand
Je suis parfaitement d’accord avec vous : pour pouvoir les assimiler, il faudrait, en effet, qu’ils n’apprennent JAMAIS » leur langue. On a bien interdit aux Bretons ou aux Alsaciens de parler la leur à l’école !
Ainsi, pour Darmanin, on lutterait contre le « séparatisme » qui mène au terrorisme en leur donnant le moyen de comprendre des sourates appelant, par exemple, à exterminer le mécréant ? Et puis quelle arabe ? Celui du Coran ? Le littéraire ? Celui du Maroc, d’Algérie ou d’Egypte ?
Et puis, qui les empêche d’acheter une traduction du Coran ? Ou bien de prendre des cours ? La méthode Assimil de nos parents, ils ne connaissent pas ?
Finalement, comme tout ce que fait ce gouvernement, c’est encore de la poudre aux yeux, des fausses solutions voire, carrément, du cynisme. Pour lutter contre l’islamisme, la première chose à faire, c’était de fermer les frontières à l’invasion migratoire, expulser, interdire toute construction de mosquée (puisqu’il n’y a pas réciprocité dans les pays musulmans) et d’opter pour le discours le plus ferme à l’encontre des musulmans (la République a bien su le faire envers l’Eglise et les catholiques).
Or, avec Macron, c’est le contraire : un pas en avant, trois en arrière.