A la retraite, âgé, seul ? Et si vous participiez aussi à notre Grand remplacement ?

Photo : Gilda (20 ans), ancienne « mineure non accompagnée » venue d’Angola, hébergée par Yvette (81 ans)

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Contre les méchants identitaires sans cœur et repliés sur eux-mêmes (heureusement sévèrement et régulièrement punis par notre justice Mur des cons), le Conseil constitutionnel a semblé donner raison à tous les passeurs et leurs migrants en reconnaissant une valeur constitutionnelle au « principe de fraternité » (Dalloz)

Évidemment, Fafa (bius) et son club du troisième âge (73 ans de moyenne) de la rue de Montpensier choisissent les principes révolutionnaires qui les arrangent pour les accommoder à la sauce progressiste-mondialiste-immigrationniste.

Car à l’origine, selon l’historienne Mona Ozouf, on parlait de « fraternité de rébellion » contre le gouvernement (serment du Jeu de paume – juin 1789) et de

Bref, passons…

En parlant du troisième âge, il est peu probable que Laurent Fabius (73 ans), Alain Juppé (75 ans) ou Valéry Giscard d’Estaing (bientôt 95 ans) aient recours à des migrants afghans ou érythréens pour meubler leur solitude et leur ennui…

En revanche, l’État, débordé par l’invasion migratoire « qui n’existe pas » (Libé, lui, parle « de fausse impression d’invasion ») encourage grandement les citoyens à remplir le rôle d’hébergeur à migrants (et c’est moins cher que l’hôtel !). Comme l’Église, il incite les nôtres, même très âgés, à accueillir l’Autre car, en effet, « dans la Bible, l’accueil de l’étranger est une « exigence éthique », ont plaidé les évêques de France à la veille de la Journée mondiale du migrant » (La Vie – 01/2018)

Ainsi, dans le mensuel Notre Temps, l’exemple est donné par Yvette, 81 ans (en « pantalon slim », c’est dire la jeunesse d’esprit), accueillant Gilda, 20 ans, une ancienne « mineure non accompagnée » venue d’Angola (devenu pourtant un eldorado grâce au pétrole…)

 

Yvette Bourgois: « Je partage ma maison avec une étudiante »

Quelques mètres carrés en trop… Et si c’était l’occasion d’en faire profiter un jeune? Tout le monde y gagne ! Yvette Bourgois, 81 ans, et Gilda Nsumbo Lider, 20 ans, témoignent d’une belle rencontre.

Direction Croix, une petite ville au nord de l’agglomération lilloise, dans un quartier tranquille aux maisons de briques rouges. Une porte s’ouvre et Yvette, en talons et pantalon slim, nous accueille avec un grand sourire et nous introduit dans un salon lumineux qui donne sur son jardin fleuri.

Au mur, des photos de ses trois enfants, dix petits-enfants, quatre arrière-petits-enfants, et des tableaux dont elle est l’auteur, car Yvette, ex-formatrice pour adultes, peint à ses heures. 

Gilda nous rejoint bientôt. C’est une jeune étudiante en sociologie d’origine angolaise.

Arrivée en France en 2012 en tant que mineure non accompagnée avec sa petite sœur, elle a été placée en foyer jusqu’à sa majorité.

Un long parcours sur lequel elle restera discrète. Le bac en poche, elle a dû trouver un logement et a été orientée vers l’association Générations & Cultures qui propose le dispositif « Un toit à partager ».

Vivre chez une personne âgée? Pourquoi pas, s’est dit Gilda. Accueillir une jeune fille à la maison? Bonne idée, a pensé Yvette. L’aventure a été tentée il y a deux ans déjà… avec succès !

[Suite merveilleuse et sans anicroche : https://www.notretemps.com/famille/intergeneration/yvette-bourgois-partage-maison-etudiante,i220201]

Générations & Cultures: l’association développe le dispositif « un toit à partager » dans l’agglomération lilloise et assure le suivi d’une cinquantaine de binômes. Compter 20€ de frais d’inscription, 5€ par mois versés à l’association par les deux parties et un loyer de 230 à 250€ par mois, non imposable, payé par l’hébergé à l’hébergeur: www.generationsetcultures.fr

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Et que dire de ce charmant migrant afghan aux petits oignons avec une dame de 75 ans ? Que de bobards injustes ne raconte-t-on pas sur l’islam puisque « sa culture […] ne laisse pas les femmes âgées faire les corvées ménagères ».

Le gentil étranger racisé et/ou musulman s’occupant d’une personne âgée délaissée, blanche et de culture chrétienne, c’est beau comme un conte de Noël. D’ailleurs Notre Temps appartient au groupe catho-gnagnan-dhimmi pro-migrants Bayard (Le Pélerin, La Croix…)

Un toit à partager

Ces personnes ont décidé de cohabiter sous le même toit malgré leurs différences d’âge, de culture, de mode de vie, « pour le meilleur et pour le pire ». Heureusement, on a surtout affaire au meilleur !

[…] Il y a même cette dame de 75 ans, qui a choisi d’ouvrir sa porte à un jeune migrant tout droit venu d’Afghanistan. Depuis, elle a interdiction de toucher à un chiffon, à un balai ou un aspirateur. La culture de ce jeune homme dans son pays d’origine est telle qu’on ne laisse pas les femmes âgées faire les corvées ménagères. C’est lui, maintenant, l’homme de la maison, et pas uniquement pour le bricolage…

https://short-edition.com/fr/oeuvre/tres-tres-court/un-toit-a-partager

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Loin de combattre l’invasion migratoire, l’État et ses institutions, au contraire, font tout pour l’encourager car la République, comme le précise cette annonce d’un site du Ministère de l’Enseignement supérieur (Crous, Cnous, bourses…), s’avère assurément « welcome refugees » en proposant de multiples aides, avantages, priorités, exonérations et conseils aux futurs « étudiants ».

Ainsi, plus tard, ce migrant afghan ou Gilda Nsumbo Lider, l’étudiante angolaise inscrite dans cette filière si prometteuse qu’est la sociologie, pourront parler à la télévision ou à Libé, de néoféminisme intersectionnel à ateliers non-mixtes racisés ainsi que de l’islamophobie d’État et du racisme systémique qui oppriment tant des leurs.

Aidés, subventionnés, conseillés, protégés, ces centaines de milliers de colons migrants devenus français comme vous et moi et se multipliant comme des lapins avec des coreligionnaires de la même tribu ou du même clan, du même « shithole country », nous enjoindront, nous les concitoyens de souche ou Français de cœur, à nous métisser et à nous « décoloniser » (en gros : une version actualisée de « la valise ou le cercueil »)

 

 

Source : Campus France
Source : Campus France

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Enfin, l’accueil des migrants-étudiants ne concernent pas seulement que les « seniors » : tout bobo pré-retraité un tant soit peu friqué peut aussi les recevoir chez soi et dans sa piscine, en compagnie d’ados peu farouches en bikini, sous le regard attendri d’une maman compréhensive.

Et leur faire ainsi partager la chaleur d’un nouveau cocon familial tout en donnant l’exemple à ces salopards de prolo-fachos votant RN.

Car « accueillir des migrants, ça a changé leur vie » (Le Monde). Même si pour certains, le beau scénario s’est révélé… moins rose et plus saignant.

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13 Commentaires

  1. Pour changer tout ça, c’est pourtant simple:
    Il suffit de continuer à veauter pour les trouducs.
    Certains ont déjà leur bulletin en poche.
    Et de plus, même sur le tour de France, sa majesté vient faire sa propagande nauséabonde.

  2. @Mountain
    pour l’avoir vécu, combien de fois j’ai entendu: ah vous les jeunes de maintenant vous louez pas travailler comme nous, vous voulez juste avoir des diplômes bla bla bla….Mais quand c’est pour acceuillir des feignasses incapables de toutes les poubelles du monde là ça dégouline: Oh la la les pauv’gens c’est terrible s’qu’y racontent faut les aider!!
    Non mais que j’t’en foutrais!!!!

  3. Sans parler de toutes ces connes qui se font engrosser par du migrant dégénéré et qui de surcroît finissent par être tabassées
    avec le statut de mère isolée..du délire complet 😵

  4. les étudiants français ne peuvent pas toujours continuer leurs études , hier sur RTL il parlait de pauvreté et d’étudiant qui vivaient avec 200e ! il y a même des ados qui ne peuvent faire des études car les parents ne peuvent subvenir à leurs besoins ..il y a des ados dans la rue, me disait un homme qui faisait des maraudes quand des migrants sont logés à l’hôtel …

  5. avec la pénurie de logement en France , la plupart des étudiants (ou non étudiant) français ne peuvent plus se loger décemment. nos rues , villes et villages deviennent de véritables coupe gorges , aucunes régions n’est épargnés par cette immigration sauvage . et là ces cons ils offrent gites et couverts a ceux qui demain seront les futurs partisans de la ldna , du pir et du jihad . bandes de lâches !

  6. Et oui la bisounourserie n’a plus de limite ,pauvres clandestins ,pauvres illégaux ouppsss maintenant se sont des « migrants  » (je me gausse qu’ils soient appeler ainsi maintenant) pour moi ce sont des clandestins ,des envahisseurs , assassins ,violeurs , voleurs, fainéant . notre Patrie est submergée par la lie de l’humanité .

  7. Oui et les étudiants français alors ? Ils sentent le pâté, ?sans compter qu’on à déjà vu des exemples de gens qui les accueillent et se font agresser ou même trucider .

  8. L’Eglise mélange tout, à se demander si ses évêques ont les idées claires. Accueillir l’étranger, certes, cela s’appelle l’hospitalité. Mais l’accueillir définitivement, c’est tout autre chose. Surtout quand il n’a pas d’autre raison que de chercher un pays où il y a des avantages sociaux qui n’existent pas de son pays. Si dès le départ, l’hospitalité avait signifié accueillir autrui indéfiniment, voire même sans s’occuper des conséquences pour l’avenir de son propre groupe et de ses enfants, je doute que beaucoup de cultures y aient résisté. D’ailleurs les sociétés anciennes, si elles accueillaient les étrangers, – en Grèce, appelés métèques – ils devaient avoir des ressources propres et surtout, la nationalité ne leur était pas accordée, ils gardaient la leur et restaient sous le statut de « métèque ». Jusqu’à présent, toutes les sociétés ont voulu garder leurs spécificités et aujourd’hui on décrèterait qu’elles étaient « repliées sur elles-mêmes » et racistes ?

  9. C’est tellement touchant que j’ai envie de pleurer.
    Je vous laisse, je cours chercher mes Kleenex..
    😢

  10. Quand j’ai vu la photo, j’ai cru qu’on offrait des esclaves aux personnes âgées.
    Ben non, ce n’est pas ça. Ce serait même plutôt le contraire !

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