Illustration : la composition du dit Conseil constitutionnel dit assez la dépendance et les liens étroits entre le pouvoir et lui…
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Tribune de Jean-Paul GARRAUD
Député français au Parlement européen
Président de l’Association professionnelle des magistrats
Comme il était malheureusement archi-prévisible, le Conseil Constitutionnel a mis en charpie la loi qui prévoyait, même encore trop timidement, d’imposer un contrôle aux personnes condamnées pour des faits de terrorisme après leur sortie de prison.
Éperdu de sollicitude pour le « respect de la vie privée », et, le « droit à une vie familiale normale » de ces ennemis de l’Etat, le Conseil n’accepte pas que leur dangerosité, prouvée par leur condamnation, quelle que soit la gravité des faits – car même « modeste », elle constitue un signal d’alerte pour la société et l’expérience a suffisamment montré qu’à le négliger, on se privait du moyen de prévenir les faits les plus graves- puisse ainsi légitimer des mesures de contrainte, en l’occurrence, pourtant bien modérées, destinées, tant à suivre et encadrer leur parcours en liberté, qu’à leur faire sentir le regard sur eux de l’autorité publique.
La décision touche au comble du ridicule et de la franche niaiserie quand elle fait grief au texte de n’avoir pas prévu… de mesures de réinsertion en détention ! Outre que le régime pénitentiaire offre à tous ceux qui en ont la volonté les possibilités de préparer leur « réinsertion », l’expérience a abondamment montré les limites des formules qui se veulent de « déradicalisation »…
Ainsi, se drapant dans la posture flatteuse à bon compte et tellement facile, de la défense des « grands principes », cet organe irresponsable désarme l’Etat de droit et offre aux pires ennemis de notre République, et spécialement aux fanatiques qui rêvent de lui imposer leur dictature coranique, une victoire symbolique et un atout, pratique et juridique, qu’ils n’ont pas fini d’exploiter à fond.
La majorité politique actuelle, dont le plus haut représentant, en la personne du Président de l’Assemblée, avait saisi le Conseil, ne subit pas seulement un nouveau camouflet : elle paye aussi toutes les ambiguïtés du « en même temps », avec des discours contradictoires en matière pénale, et le choix du garde des Sceaux dont la personnalité et le parcours sont un démenti évident à toute velléité qui se voudrait un tant soit peu « sécuritaire ».
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Il faut qu on le s vire tous ces e mpaffes de gros lords qui se g oinfrent sur le dos des francais et qui soutiennent ces vermines de racailles…
Est-ce normal dans une république qu’un quarteron élargi de vieux croutons se permettent de retoquer tout ce qu’ont voté les élus ??? Il faudrait recentrer le rôle du conseil constitutionnel en le limitant aux grands principes de fonctionnement de la constitution…
12 AOÛT 2020
Haut Conseil pour le climat
[Retour sur] le 19 février, la COMMISSION de l’aménagement du territoire et du développement durable A ENTENDU Corinne Le Quéré
:::: http://www.senat.fr/les_actus_en_detail/article/haut-conseil-pour-le-climat.html
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Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable
Mercredi 19 février 2020
Audition de Mme Corinne Le Quéré, présidente du Haut Conseil pour le climat
:::: http://videos.senat.fr/Datas/senat/portail/video.1528089_5e4b21711482a.haut-conseil-pour-le-climat—audition-de-mme-corinne-le-quere-presidente
Proposition de loi instaurant des mesures de sûreté à l’encontre des auteurs d’infractions terroristes à l’issue de leur peine
15 juillet 2020 :
Mesures de sûreté contre les auteurs d’infractions terroristes ( rapport – première lecture )
Par Mme Jacqueline EUSTACHE-BRINIO au nom de la commission des lois
Rapport n° 630 (2019-2020) de Mme Jacqueline EUSTACHE-BRINIO, fait au nom de la commission des lois, déposé le 15 juillet 2020
:::: https://www.senat.fr/rap/l19-630/l19-630.html
On est cernés ! Ils sont nommé par :
– Le président de la République
– Le président de l’Assemblée Nationale
– Le président du
ET
Tous les anciens présidents de la République encore en vie sont MEMBRES de DROIT.
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Mais rien ne nous empêche de supposer que l’exécutif savait par avance que le Parlement se trouverait désavoué par le Conseil Constitutionnel étant donné l’idéologie
du personnel politique vieux croutons nantis qui le compose. Pensez-vous qu’un Fafa, un VGE, etc, aient ainsi que leurs proches beaucoup à craindre des islamistes dingos lorsqu’ils font leurs emplettes chez Fauchon, Cartier ? D’après nos dirigeants nous sommes en guerre avec les islamistes mais par peur de contrarier les musulmans français qui ont une carte d’électeur il ne faudrait pas entraver, au nom de la sécurité de l’ensemble des français, la vie privée des jihadistes libérés ainsi que celle de leur petite famille !
Ce Conseil comme son nom l’indique ne devait avoir, lors de son établissement qu’un rôle consultatif,
qu’est-ce qui a changé et à quel moment, a-t-il pris le rôle de l’exécutif ??
oui, c’est une complicité évidente, de la niaiserie pour certains atteints de gâtisme, de la collahboration pour les sociaputes toujours représentés
Par leur posture droitdehommiste envers les traîtres de la Nation, quelle que soit leur nationalité en bi, les membres du Conseil d’État sont purement simplement de facto complices de terrorisme. À ce titre, ils devront en répondre lorsque le couperet populaire tombera. Enfin.
On a pas le cul sorti des ronces avec ce panier de crabes, tous collabos , vendus et favorable au grand remplacement.