L’enchantement de “I surrender”, de David Sylvian, vous connaissez ?

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Rubrique musique

L’un des plus grands titres de David Sylvian, l’une des plus belles mélodies qui soient.

I Surrender est le premier titre  de l’album Dead Bees on a cake, sorti en 1999.

Ecoutez, sans chercher à comprendre, ce refrain, cette mélodie enchanteurs… La beauté à l’état pur pendant 9 minutes…

 

David Sylvian

Nourri de toutes les musiques, de tous les genres, de ceux qu’il a testés, utilisés… comme de ceux qu’il a jetés, reniés… sa musique donne à connaître une bonne partie de la musique du XXème siècle, revisitée, sublimée, digérée, transformée… Son oeuvre est une quête, quête de la pierre philosophale ? Allez savoir. De la beauté, de l’OEUVRE absolue, certainement. 

Tout n’est pas à garder dans son oeuvre. Il y a à boire et à manger (du moins à mon goût). Je préfère largement le David Sylvian des années 2000 au David Sylvian des dernières années que je trouve plus ésotérique, moins humain...

Il a débuté très jeune comme chanteur et auteur-compositeur du groupe Japan très reconnu au Japon avant d’entreprendre une carrière solo influencée par des styles et genres musicaux variés, incluant jazz, musique électronique, ambient, et rock progressif. Moins reconnu en Europe, son groupe aura certainement influencé les groupes de new-wave, grand courant des années 80. La personnalité et style du chanteur fait aussi écho à celui de David Bowie où l’on retrouvera beaucoup de similitudes entre les deux artistes. Source wikipedia

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Chanteur et multi-instrumentiste du groupe de synthpop Japan, David Sylvian (né David Alan Batt à Beckenham, dans le Kent, le 23 février 1958) explore déjà ce qui tracera les principales lignes d’une carrière créatrice, faite d’exigence et de multiples collaborations. Une certaine attirance pour les musiques du monde et en particulier l’Asie, la musique ambient et électronique, l’expérimentation sonore et le travail sur les textures musicales. Si son premier album Brilliant Trees (1984) annonce un style singulier, à l’image de son chant maniéré, la suite prend l’allure d’une quête infinie avec le jeu de tonalités et d’atmosphères sur Gone to Earth (1986), Secrets of the Beehive (1987) et ses deux collaborations avec l’ex-Can Holger Czukay : Plight and Premonition (1988) et Flux + Mutability (1989). En 1991, David Sylvian renoue ensuite avec ses anciens comparses de Japan qui prend désormais le nom de Rain Tree Crow et enregistre un album homonyme resté unique. Puis il s’associe au guitariste Robert Fripp (King Crimson) sur The First Day (1993) et sa suite en public Damge: Live (1994). Après Dead Bees on a Cake (1999), les collaborations se multiplient et son approche musicale devient plus expérimentale. L’album Blemish (2003) reçoit la participation du guitariste d’avant-garde Derek Bailey et du programmeur Christian Fennesz. En 2005, il fomente le projet Nine Horses avec Steve Jansen et Burnt Friedman. En 2009, il publie Manafon, suivi de travaux collectifs avec Jan Bang, Arve Henriksen, Erik Honoré et Sidsel Andresen (Uncommon Delties, 2012), puis Stephan Mathieu (Wandermüde, 2013), Fennesz, John Tilbury et le poète Franz Wright (There Is a Light That Enters Houses with No Other House in Sight, 2014).

https://www.universalmusic.fr/artistes/20000029241

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Voir aussi : https://www.letemps.ch/culture/mari-pere-attendri-david-sylvian-celebre-chant-un-acte-foi

 

I Surrender, 

Je suis capable d’écouter ce morceau en boucle toute une nuit, sans m’en lasser, sans pouvoir m’empêcher de chanter en même temps que David Sylvian “I surrender”, le refrain accompagné de cet accord parfait entre guitare, piano, basse, clavier, batterie… Cette voix chaude et belle qui nous rappelle qu’on est humains et que c’est la plus belle chose qui soit.

 

I Surrender,

Titre : je m’abandonne

I opened up the pathway of the heart

J’ai ouvert le chemin de mon coeur

The flowers died embittered from the start

Les fleurs rancunières étaient mortes au début

That night I crossed the bridge of sighs and I surrendered

Cette nuit là, j’ai franchi le pont des soupirs et je me suis abandonné

I looked back and glimpsed the outline of a boy

J’ai regardé en arrière et la silhouette d’un garçon s’est dessinée

 

His life of sorrows now collapsing into joy

Sa vie misérable se transformant en joie

And tonight the stars are all aligned and I surrender

Et cette nuit, les étoiles sont alignées et je m’abandonne

 

My mother cries beneath a southern sky and I surrender

Ma mère pleure sous un ciel méridional et je m’abandonne

Recording angels and the poets of the night

Les anges du souvenir et les poètes de la nuit

Bring back the trophies of the battles that we fight

me rappellent les trophées des batailles que nous avons menées

Searchlights fill the open skies and I surrender

Les projecteurs emplissent les cieux dégagés et je m’abandonne

Outrageous cries of love have called you back

Des cris fous d’amour t’ont rappelée

Derailed the trains of thought, demolished wayward tracks

ils ont fait dérailler l’engrenage des pensées, ont détruit les chemins imprévisibles

You tell me I’ve no need to wonder why I just surrender

tu me dis que je n’ai pas besoin de me demander pourquoi je m’abandonne maintenant

I stand too close to see the sleight of hand

je suis trop proche pour voir le tour de magie

How she found this child inside the frightened man

pour voir comment elle a trouvé l’enfant caché dans l’homme apeuré

Tonight I’m learning how to fly and I surrender

Ce soir, j’apprends à m’envoler et je m’abandonne

I’ve travelled all this way for your embrace

J’ai fait tout ce chemin pour ton étreinte

Enraptured by the recognition on your face

extasié en reconnaissant ton visage

Hold me now while my old life dies tonight and I surrender

Prends moi dans tes bras pendant ma vie antérieure meurt et je m’abandonne

My mother cries beneath the open skies and I surrender

Ma mère pleure sous les cieux dégagés et je m’abandonne

An ancient evening just before the fall

Une soirée d’autrefois juste avant la chute

 

The light in your eyes, the meaning of it all

La lumière dans tes yeux, tout ce que cela signifie

Birds fly and fill the summer skies and I surrender

les oiseaux volent dans le ciel estival et je m’abandonne

She throws the burning books into the sea

Elle jette les livres en feu à la mer

“Come find the meaning of the word inside of me”

Viens chercher la signification du mot en moi”

It’s alright the stars are all aligned and I surrender

Tout va bien, les étoiles sont alignées et je m’abandonne

 

My mother cries beneath the moonlit skies and I surrender

Ma mère pleure sous les les cieux éclairés par la lune et je m’abandonne

My body turns to ashes in her hands

Mon corps se transforme en cendres dans ses mains

The disappearing world of footprints in the sand

le monde des traces de pas dans le sable disparaît

 

Tell me now that this love will never die and I’ll surrender

Dis moi que cet amour ne mourra jamais et je m’abandonne

My mother cries beneath the open skies and I surrender

Ma mère pleure sous les  cieux dégagés et je m’abandonne

 

Traduction par Rochefortaise pour Résistance républicaine

 

Dead Bees on a cake (Abeilles mortes sur un gâteau)

C’est le nom de l’album d’où est tiré I Surrender.

Art rock
Rock expérimental, musique savante, avant-garde, musique classique, pop baroque, musique psychédélique, folk, jazz, blues
Origines culturelles : Fin des années 19601
Instruments typiques : Clavier, synthétiseur, guitare, basse, batterie, chant
Voir aussi Sunshine pop, rock progressif
Genres dérivés : Glam rock, post-punk, new wave, rock gothique, post-rock
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L’art rock est un sous-genre du rock ayant émergé à la fin des années 1960 inspiré de la art music (Musique Savante en anglais) (avant-gardiste et classique). Le premier usage du terme, selon le Merriam-Webster Online Dictionary, date de 1968. L’art rock est une forme musicale qui « tentait d’aller au-delà des limites du rock and roll », et qui opte pour une approche expérimentale et conceptuelle. L’art rock s’inspire de nombreux genres, notamment de la musique classique et du rock expérimental, des musiques psychédéliques, avant-gardistes, folk, de la pop baroque, et, par la suite, du jazz.
De par son influence sur le classique et de sa nature expérimentale, l’art rock est souvent utilisé comme terme pour qualifier le rock progressif; néanmoins, il existe des différences entre les genres, le progressif se concentrant plus sur la symphonie et la mélodie, tandis que le premier se centre sur l’avant-garde. L’art rock, comme terme, peut également désigner du rock inspiré par le classique, ou une fusion rock-folk ce qui en fait un genre éclectique. L’art rock se compose traditionnellement d’albums concept1 et de thèmes lyriques « imaginatifs », philosophiques et politiques. Source wikipedia

A écouter aussi…

Du même album : Café Europa

 

Et celui-là : the ink in the well (l’encre dans le puits)

pour son message : il y a toujours quelque chose à faire… ne serait-ce que s’asseoir, rester tranquille et vouloir que cela arrive…

 

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27 Commentaires

  1. Il est vrai que j’ai cru comprendre que ce n’était pas toujours facile entre eux . Mais malgré les tempêtes, le couple mythique des années 60 70 est toujours là ! C’est qu’il y a quelque chose de fort entre eux!

  2. j’avais fait une intervention sur “69 année érotique et hard rock diabolique” … mais malheureusement fort tardive …
    je la renouvelle ici au cas où vous ne l’auriez pas visionnée …

    3 morceaux que j’aime beaucoup avec 3 femmes pour les féministes patriotes qui hantent ce site !

    Juliette Lewis – extrait du film Strange Days ( film science-fiction thriller)
    – titre « I Can Hardly Wait »
    https://www.youtube.com/watch?v=TlAii5OJ_Pc

    Nina Hagen la turco teutone allumée
    et son inoubliable “Naturträne”
    « Live » Westfalenhalle Dortmund 1978
    https://www.youtube.com/watch?v=4D-mQniVmis
    ( notez bien le cocorico de la fin ! )

    Beth Hart & Joe Bonamassa – Live in Amsterdam 2014
    – titre « I Love You More Than You’ll Ever Know »
    https://www.youtube.com/watch?v=bOQ07fVVDJQ

  3. Je ne connaissais pas David Sylvian belle découverte, mais par contre j’ai déjà écouté le groupe dont il est issu : Japan. Excellent!
    Jéremie Lecouvert parle de Tim Buckley, qui a engendré un fils très doué lui aussi : Jeff Buckley! II est rare que le fils d’un grand artiste soit aussi doué que sont père . Hors c’est ce qui s’est produit avec Jeff qui a été comme la continuité artistique de son père mort trop prématurément comme nombre d’artistes de sa génération . Et comme une malédiction filiale Jeff décèdera luii aussi très tôt à l’âge de 30 ans .
    Belle reprise de “Hallelujah ” de Leonard Cohen

    • Oui la dynastie Buckley c’est du haut vol, c’était, hélas !

    • Oui j’aime beaucoup Buckley, en effet j’aurais pu les rapprocher. Merci pour ce rappel

  4. Je n’ai rien contre ce chanteur compositeur que je ne conais pas au demeurant et je ne manquerai pas de l’écouter. mais je trouve que l’on fait la part belle à la culture anglo-américaine qui contribue à l’effacement de notre pays, de notre langue et de notre propre culture.
    Les séries et téléfilms produits en France sont systématiquement accompagnés en fond musical de chansons en anglais. De plus en plus de chanteurs français quelmque soit leurs origines privilégient l’anglais comme mode d’expression et de moins en moins de disques sortent en langue française. C’est très net parraport au début des années 2000 . Les radios FM diffusent de moins en moins de chansons françaises se battant pour diminuer sans arrêt les quotas de chansons françaises à la radio et les plateformes de téléchargement musical toutes américaines offrent peu de titres en français.
    La fascination pour la culture américaine, la dilution de notre langue dans le franglais entraîne l’américanbisation de la société française
    Ne vous étonnez pas après que les USA importent dans notre pays tous les délires communautariss exacerbés, luttes interesctionelles et mise en cause permanente des blancs.

    • Au XVIII ème siècle toutes les cours européennes parlaient français et les monarques étrangers lisaient Voltaire dans le texte notamment la Grande Catrherine et Frédéric, cela ne les empêchait pas d’être patriotes. Si le talent d’un Anglais ou d’un Américain le mérite il faut le saluer et le faire connaître, sauf à se ratatiner confit dans un certain narcissisme français. La culture n’a pas de frontières… l’intelligence non plus, l’art encore moins. Devrais-je passer des oeuvres de Platon et de Virgile sous prétexte qu’elles ont été écrites en grec et en latin ? Devrais-je cesser d’écouter Verdi car en italien ? Devrais-je cesser l’aller au théâtre applaudire Shakespeare parce qu’il avait la mauvaise idée de parler anglais ???? C’est là un très mauvais procès que vous faites, Rinocero et on ne vous suivra pas sur ce chemin, désolée

      • Je peux vous rassurer Christine je n’ai jamais pensé qu”on doit se limiter à la culture de son pays et ne pas s’intéresser à des oeuvres étrangères même et y comprises anglaises ou américaines.
        Au demeurant s’agissant du latin dont le français est issu on ne saurair parler de langue étrangère pas plus que pour le grec ancien qui a nourri notre langue dans le domaine du vocabulaire philosophique, scientifique et médical.
        Je regrette personnellement que tant les langues, les cultures et l’actualités des grands pays européens soient écrasées par la masse d’informations en provenance des USA. Il n’est pas normal qu’on ne puisse quasiment plus étudier en première langue vivante d’autres langues que l’anglais dans nos collèges. Récemment l’académie de Montpellier organise des échanges entres établissements scolaires français de cette région etdes établissement espagnols avec le soutien de l’UE. Bien évidemment, ces échanes ont lieu uniquement en anglais.
        Reste (on peut ne pas partager ce point de vue bien sûr) que la place prise par la langue anglo-américaine dans notre pays est exorbitante et renforce une acculturation chez les jeunes Français voulues par toutes les forces qui soustendent la mondialisation.
        La volonté des entreprises, des médias, des communicants/publicitaires, des universitaires et même des collectivités locales sans compter les réseaux sociaux d’imposer un maximum d’anglicismes dans notre langue ne fait qu’appauvrir celle-ci. Je pourrai prendre mille exemples mais je ne voudrai pas faire une réponse trop longue.
        Notre pays est en quelque sorte pris en étau entre une immigration massive de populations animées trop souvent d’un ressentiment post-colonial et d’un refus d’assimiler notre culture,, d’une islamisation de notre continent lourde de régressions et d’une américanisation des sociétés européennes, vecteur d’une culture mondialisée destructrice de nos nations et particulièrement de la nôtre.
        On assiste au démontage de notre langue qui est une composante de l’identité des Français dans l’indifférence malheureusement de beaucoup de nos compatriotes. Bien amicalement

  5. Merci à vous Christine. Les auteurs-chanteurs comme David Sylvian n’existent plus, ou si peu (il faut vraiment fouiller…), et félicitations à l’amie Rochefortaise pour une merveilleuse traduction à laquelle je n’aurais pas oser m’attaquer.

    • Ravie ami Jack que nous soyons là aussi sur la même longueur d’onde. En effet Rochefortaise a fait un superbe travail !

  6. Je découvre car j’ignorais jusqu’à l’existence de ce chanteur anglais. A la première écoute, sans analyser la musique mais à partir seulement des paroles et une certaine suavité mélodieuse, je le rapprocherais davantage des Beatles, mais en moins porteur de messages gnan-gnan. J’ai beaucoup aimé Bowie, c’était même un de mes préférés. Avec l’âge, je préfère désormais les musiques et paroles plus “sages” genre Françoise Hardy. Mais je suis plus âgée que toi !

    • je crois que ce n’est pas une question d’âge mais de goût, mon chanteur préféré demeure Brel pourtant j’adore Tom Waits, I Surrender, les Beatles, Rammstein…

        • j’aime beaucoup Françoise Hardy , que ce soit à ses débuts comme dans ces derniers album . Ce morceau ne déroge pas à la règle .
          J’aime aussi beaucoup son Dutronc de mari avec lequel j’ai partagé tout à fait par hasard un jour un demi dans une cafétéria d’entreprise. Entreprise dans laquelle il était venu faire un repérage pour un futur film et aussi pour s’imprégner de l’ambiance . Enfin, il faut dire que l’entreprise en question était un endroit emblématique de Paris et que lui cherchait désespérément un bar pour pouvoir se désaltérer ce que je lui ai et bien sûr il n’avait pas de monnaie donc je lui ai payé en plus le coup. Le truc que j’aime bien chez lui c’est son naturel, il est à la ville comme à la scène, les ray ban, le perfecto et la cigare et peu laconique mais toujours rigolard .Oui à l’époque dans les années 80 on pouvait boire une bière et fumer dans ces endroits et c’est pas pour cela que tout le monde était pochetronné.
          Aujourd’hui c’est interdit ,mais l’hypocrisie ambiante n’empêche pas de se faire un ligne de coke ou un ou même deux joints en loucedé avant d’aller au boulot et de faire subir ses changement d’humeur aux collègues!!

          • Merci pour votre réponse Bm77. Je vous avoue que j’aimais beaucoup moins son mari bien que j’appréciais quelques une de ses chansons. Il a beaucoup fait souffrir sa femme, elle ne le dit pas explicitiement mais j’ai cru le comprendre dans son autobiographie : le désespoir du singe. Mais elle a souffert à proportion de son amour pour lui.
            Je me rends compte que j’ai mis le même lien ! Celui de : si vous n’avez rien à me dire est :https://www.youtube.com/watch?v=uEi4W8mcN3Y

    • Merci Jeanval,je ne connaissais pas, j’aime moins mais au moins j’ai découvert d’autres artistes merci

    • C’est ce que l’on appelait la New Soul dans les années 90, avec Jill Scott , Macy Gray , Meshell Ndegeocello. Une résurgence agréable de la soul musique des années 70.

  7. Chère Christine.
    Je ne m’attendais pas à un tel émerveillement. J’ai suivi, à ma manière ton injonction. La main gauche posée sur le haut du genou et la droite sur le bureau, à suivre la mesure, je me suis laissé infiltrer par la mélodie, son harmonie, son courant m’entrainant vers l’inconnu. Puis j’ai pu saisir plus profondément encore l’âme de ce chant en lisant la traduction des paroles anglaises. Haaa que j’aimerais dire de tells choses. Merci Christine !

    • Ami Paco j’attendais avec impatience ton ressenti merci de n’avoir pas tardé à me le donner, et merci d’avoir employé le mot juste pour qualifier ce chant “émerveillement”…

      • Christine, il y a gémellité d’âme entre nous. Et la Liberté est notre port d’attache !

        • Que c’est bien dit… quand je pense que tu fais un complexe par rapport à David Sylvian…

          • Que nenni, Christine. mais chez moi le raisin est encore vert. même si quelques belles barriques passées par le fer et le feu attendent. Attendent !

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